Priés de quitter le jardin du Sleep-In à Renens d'ici au 30 août, des dizaines de migrants ont décidé d'occuper un ancien collège appartenant à la municipalité de Lausanne. «Notre volonté est de rendre visible le fait que lorsqu’on les chasse, les gens ne disparaissent pas mais cherchent un autre espace et que nous refusons désormais que cette quête soit solitaire et souterraine», déclare le collectif Jean Dutoit dans un communiqué publié sur Facebook.
Et d'ajouter que l'ancien collège, situé à la route de Berne 50, a été choisi car «il s'est profilé comme l'unique bâtiment appartenant à la municipalité qui soit vide dans l'immédiat».
Que la justice s’occupe de ceux qui les entrainent qui savent pertinemment qu’ils auront les autorités à l’usure d’autant plus que cela pourrait nuire à l’image de la Suisse. UE oblige!
Que ce ramassi de gauchiasses à la municipalité dégage le plancher. On en à marre de ce cloaque.
À 20m de l’administration cantonale des impôts et du métro M2, trop cool. Et si ce sont des coupeurs de route, ils pourront racketter tous les soirs les bobos qui s’en retournent dans leurs villas des hauts de Lazône ou de la Broye.
D’après les articles déjà parus et les vidéos, il s’agit de migrants économiques, ils sont là pour recevoir sans rien faire et par ceux qui vont être de plus en plus imposés …
Les habitants de ce quartier sont certainement ravis!
Je leur suggère donc, comme prochaine occupation à tous ces repris de justice, un autobus. Et celui-ci, bien chargé, s’en ira tout droit au sud !
c’est marrant comme nos autorités, qui sont si intransigeantes pour nous réclamer 40 balles pour un parking, sont incapables de gérer autre chose. Faut dire que c’est plus facile de racketter des gens honnêtes. Pas vrai ?
ça va en attirer d’autres. Ils se posent là où la mollesse est de mise. Certains voyagent de pays en pays et les nouvelles vont vites. Et nos fossoyeurs crétins se prennent pour des héros. Ces illégaux n’arrêteront pas leurs revendications, au contraire…
Il faut les expulser… Eux et leurs petits copains gauchistes. À force d’attiser ça va mal tourner.