A partir de 2012, le gouvernement socialiste s’est progressivement transformé en un régime socialiste de plus en plus sectaire et répressif. Contre La Manif Pour Tous (LMPT) à Paris, contre Génération Identitaire (GI) à Poitiers, et, plus récemment, contre une série de site et de blogues de droite, et, même, contre certains médias classiques, tel l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.
Il s’agit-là, très clairement, d’une dérive autoritaire. Elle est d’autant plus inquiétante que le régime socialiste utilise désormais la police comme une police politique, lorsque cela lui semble utile.
Au plan historique et sociologique, l’émergence de cette République socialiste autoritaire est très intéressante. Elle signifie notamment que le régime en place - et ses innombrables relais médiatiques - ne supportent plus que l’on puisse les critiquer ou les contester (sans doute parce qu’ils se savent non-représentatifs de la majorité des Français ; et sans doute aussi parce qu’au fond d’eux-mêmes, ils commencent à avoir peur).
Et de ce fait, ils vont jusqu’à réprimer, museler et même persécuter l’opposition de droite (on ne mettra pas ici « Les Républicains » dans la catégorie « de droite », car à l’évidence, ce parti issu de l’UMP est dominé et contrôlé par des centristes et mêmes de par personnalités de centre-gauche).
L’Affaire FdeSouche
Pierre Sautarel, un des contributeurs du site de ré-information http://www.fdesouche.com/, raconte les faits et donne sa propre interprétation de l’action policière menée à son encontre. Il en ressort quelques faits marquants sur l’évolution du système répressif socialiste français (ci-dessous quelques extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
L’attaque est policière et non plus milicienne
Jusqu’à présent, le PS s’appuyait sur des associations miliciennes, comme Actup, pour intimider par des actions violentes les citoyens de la ré-infosphère. On se souvient par exemple des infamies d’Actup contre la présidente de La Manif Pour Tous Ludovine de la Rochère, allant jusqu’à mettre en scène du faux sang sur les murs de la fondation Jérôme Lejeune, ou encore le saccage de la librairie d’Emmanuel Ratier par des militants socialo-fascistes.
Mais le PS semble avoir adopté des méthodes plus institutionnelles, profitant de son passage aux commandes de la République. Ainsi, Pierre Sautarel a fait l’objet d’une convocation et d’un interrogatoire musclé de la police, malgré la raison insignifiante, un prétexte : «J’ai reçu une convocation de la police pour une affaire de diffamation. Sur place j’ai appris que c’était dans le cadre d’une diffamation visant Pierre Bergé qui porte plainte. On me reproche d’avoir publié sur FdeSouche un lien vers un article du site Panamza que Pierre Bergé juge diffamatoire. Juste un lien. Même pas un copié-collé de l’article», explique la victime de l’action policière.
L’attaque vise la personne, sans relais médiatique
Jusqu’à présent, les militants PS excellait dans les actions symboliques à moindre frais, mais amplifiées grâce au relais des médias de propagande du système. Les Femen offrent les exemples les plus récents de ce type d’action dont le levier essentiel réside dans l’amplification médiatique des seins faméliques tristement associés à des messages de haine. Mais, dans le cas de Pierre Sautarel, la presse officielle n’a pas été mobilisée pour donner à l’interrogatoire une portée symbolique, l’attaque vise à atteindre la personne.
Il y a tout d’abord la volonté de trouver des chefs d’accusation qui n’existent pas. L’interrogatoire est musclé : «Ils voulaient absolument obtenir une chose : que je reconnaisse que je suis le directeur de la publication de FdeSouche. Or, je ne suis pas le directeur de publication du site». Bref, les grosses manœuvres pour créer un chef d’accusation.
Il y a ensuite la volonté d’humilier la personne en l’atteignant dans ses biens. En effet, les policiers ont perquisitionné au domicile et ont forcé la porte : «Ils ont saisi mon Smartphone que j’avais avec moi lors de la convocation. Ils se sont ensuite rendus chez moi, ont forcé la porte avec un serrurier et ont entièrement perquisitionné l’appartement à la recherche de mon matériel informatique et de mon ordinateur qu’ils n’ont pas trouvé.»
Le mensonge médiatique de la presse sous influence ne fonctionne plus
Mais le plus significatif, au-delà de la prétendue diffamation contre Pierre Bergé, c’est la prise de conscience par la caste médiatico-politique que leur mystification de l’opinion publique ne fonctionne plus. Et cela explique la violence, l’irrationnel même de l’action policière contre Pierre Sautarel. Il explique : «Dans une période où tout nous donne raison, ils sont ennuyés, oui. Que ce soit avec l’explosion de la délinquance, comme les 17 commissariats attaqués pendant la période du 14 juillet dont aucun média en vue n’a parlé, ou avec la montée des attentats islamistes, nous assistons à l’explosion de leur France plurielle et à une grave régression au niveau sécuritaire, identitaire et civilisationnel. Et les gens en prennent de plus en plus conscience. (…) Nous bousculons toute leur hiérarchisation de l’information et nous avons plus de visibilité que certains journaux professionnels ou même locaux. A ce qui serait passé complètement inaperçu, nous lui offrons une visibilité auprès du plus grand nombre. La profusion est éclatante. Les Français ne croient plus vraiment ce que leur disent les journaux télé lorsqu’ils constatent tout ce qui est passé sous silence » (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
Michel Garroté
http://24heuresactu.com/2015/08/03/persecutions-contre-fdesouche-le-systeme-saffole/
…, le Führer, François d’Arabie, actuellement, joue le Caudillo à la Mussolini. Patrick Lévy.
Depuis la révolution française, nous savons que les socialismes sont la cause des pires régimes autoritaires
N’oubliez pas de lire “Le socialisme en chemise brune” de Benoît Malbranque.
Quand tous ces imposteurs veulent de socialistes et de communistes et autres pseudos défenseurs de la démocratie traitent les membres ou les soutiens de partis comme l’UDC, le FN et autres partis patriotes, de fasciste, de nazis, ils ne le disent pas ainsi mais on fait toujours allusion aux années sombres de l’Europe, entendons par là les années 30, soit ils savent ce qu’est vraiment le nazisme et le fascisme mais on réussit un coup de propagande inouï pour détourner l’attention sur les sinistres réalités de leurs idéologies.
http://ben.lp.free.fr/lesocialismeenchemisebrune/Benoit%20Malbranque%20-%20Le%20Socialisme%20en%20Chemise%20Brune.pdf
C’est un précis dont je conseille la lecture à nos politiciens de droite, qu’ils s’en imprègnent et n’hésitent pas à l’avenir de rappeler aux roses-rouges qui était leur pseudo bête noire hitler.
En effet , c’est gravissime, c’est même dramatique !
N’est-ce pas la chancelière allemande qui a dit devant son parlement, il y a quelques années, que “le socialisme conduisait au totalitarisme”.
Nous y sommes !
Il y a en effet longtemps que la France n’est plus une démocratie .
Rappel:
“Avant, avant l’arrivée au pouvoir de Sarkozy et de l’UMP, la “démocratie française” était déja moribonde : modes de scrutin iniques, refus de toute proportionnelle,refus de la démocratie directe, refus du référendum d’initiative populaire, charcutage des circonscriptions,front dit “républicain”, etc (en 2002 le Système a fait descendre dans la rue des collégiens et des lycéens, des associations, des syndicats, pour protester contre la présence du FN au 2ème tour de la présidentielle.Tous les médias ont fait campagne contre le FN !!)
Bref, la démocratie française était à l’agonie.
Sitôt arrivés au pouvoir en 2007, Sarkozy et l’UMP se sont empressés de faire adopter, par les parlements réunis en congrès, le projet de constitution européenne que le peuple de France venait de rejeter par référendum. Ce fut la mise à mort de la démocratie. Un coup d’état contre le peuple.La trahison des représentants du peuple. C’est absolument inouï dans l’Histoire. Et cette forfaiture passa comme une lettre à la poste.Grâce naturellement à la totale collusion de la classe politique et des médias.
Ce coup d’état contre le peuple, cette extraordinaire trahison des élus du peuple, ne fit la UNE d’aucun média.”
Donc, nous vivons effectivement dans une dictature qui ne dit pas son nom. Certes, c’est une dictature soft : on ne fusille pas, ou pas encore, on ne déporte pas, ou pas encore. Mais les faits sont irréfutables : le peuple français n’a plus aucun pouvoir sur son destin. Tout opposant, au PROJET de notre oligarchie, est ostracisé , harcelé, muselé, censuré, condamné à une sorte de mort civile.
Monsieur Garroté, vous avez raison, c’est gravissime !
Mais que faire ?
Autre drame, si je puis dire: à partir du moment où la majorité du peuple ne comprend rien à rien, voir se moque de tout, que peut-on faire ?
Une chose est sûre, le bulletin de vote ne sert plus à rien………….
ré information ici:
http://fr.novopress.info/