09/03/2015 – TRENTE (NOVOpress)
C’est le mot d’ordre martelé par Kashetu Kyenge : mettre « tous ceux qui discriminent de quelque manière que ce soit » au ban de la société. Un prof d’anglais du lycée Russell de la petite ville de Cles, dans le Trentin-Haut-Adige, a décidé de suivre ces injonctions, en transformant ses cours en inquisition antiraciste.
Vendredi matin, en cours d’anglais, il a posé à ses élèves la question piège : « si en vous promenant en ville vous rencontriez un étranger et un Italien en difficulté, qui aideriez-vous ? » Une élève de quatorze ans a donné la mauvaise réponse : « L’Italien ». Le prof l’a immédiatement insultée : « Petite Salvini, retourne d’où tu viens ». Puis il l’a soumise à « une sorte de procès devant la classe ».
Suite
Georges Berset : ça c’est de la claire voyance de chez claire voyance.
Le bateau Europe coule lentement et sûrement, en attendant ce sale type doit être viré sur le champ !
Si le prof est coutumier de ce genre de saleté, il mérite d’être expulsé de son lycée. Ou un coup de pied au… fondement, électrochoc du pauvre.
D’ici peu, au train ou vont les choses, la question ne se posera plus.L’Italien et l’étranger se foutront sur la figure. 10 euros sur l’Italien!
Il fallait tendre un piège au professeur.
– Monsieur, comment distingue-t-on un étranger d’un Italien, comme ça, dans la rue?
– (réponse variable; ex: la langue qu’il parle, son teint “basané”, ses vêtements)
– …Monsieur, en disant ça, vous ne seriez pas un peu raciste par hasard?