Terrorisme. Burkhalter Didier, Conseiller fédéral. Naïveté feinte ou réelle ?

Uli Windisch
Rédacteur en chef

Ne pas nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde …

 

Le Conseiller fédéral Didier Burkhalter en ouverture de la session du Conseil des droits de l’homme lundi 2 mars à Genève : « il faut combattre le terrorisme à la racine », et il a « insisté sur la nécessité de préserver la tolérance et la dignité humaine ».

Quelques autres affirmations qui  me  laissent songeur :

-il a dénoncé « les groupes terroristes qui attaquent nos valeurs fondamentales au nom d’idéologies obscures »…Qu’y a-t-il de plus intolérant que de vouloir détruire les symboles et la réalité d’une religion, qu’elle soit juive, musulmane ou autre ?»

Le fait de pas citer la religion chrétienne ou simplement sous « autre » me semble tout simplement inacceptable. Est-ce un autre exemple que la christianophobie et les persécutions et exterminations massives et des plus cruelles et abominables  des chrétiens ne sont pas vraiment prises au sérieux, voire négligées comme le font nombre de médias et de politiques occidentaux alors que des responsables de ces communautés chrétiennes dans les pays concernés tentent depuis longtemps d’alerter l’Occident sur ces réalités criminelles et génocidaires. Ne plus oser citer nommément sa propre appartenance religieuse est d’une gravité rare pour un politique avec de telles responsabilités.

Ne pas nommer les choses, c’est ajouter au  malheur du monde …

« Nous devons faire davantage ; nous devons faire autrement, aussi : combattre le terrorisme à la racine et par les valeurs ».

« La tolérance et l’acceptation des différences font la force de notre société ouverte et libérale. Il faut préserver cette force ».

Oui, mais comment Monsieur le Conseiller fédéral ?

Les droits de  l’homme « sont remis en question, relativisés et contestés dans leur universalité …Cette relativisation constitue  aujourd’hui un danger qui déploie ses effets partout dans le monde et dans plusieurs domaines ».

Suite : « La liberté d’expression est restreinte ; la censure et l’autocensure se propagent ; l’intolérance se répand ; le dialogue et la compréhension mutuelle cèdent devant les préjugés, les accusations et les sentiments de vengeance »

Est-ce vraiment un programme de lutte efficace contre le terrorisme et les violations les plus graves et criminelles des droits de l’homme ?

On a vraiment l’impression qu’un tel discours serait compréhensible en période disons plus calme et normale. Mais ce Conseiller fédéral réalise-t-il  que c’est une guerre qui est déclarée à l’Occident et à la civilisation chrétienne, donc également à la Suisse, par des dizaines de milliers de grands criminels terroristes qui au nom de l’islam commettent les pires abominations et cela tout particulièrement contre les chrétiens, donc contre nous-mêmes, qui ne sommes jamais désignés nommément ici.

Encore une fois, ne pas nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde…

Il est question de liberté d’expression, très bien, d’intolérance, mais où est-elle cette intolérance ? Le dialogue…qui cède devant les préjugés ? Quels préjugés et de qui ? Est-ce une nouvelle fois nous qui sommes en faute et responsables de tous les malheurs du monde.

Il n’est plus possible de tenir un discours aussi général dans une période comme celle que nous vivons.

Les préjugés, la liberté d’expression, devant un Conseil des droits de l’homme de l’ONU dans lequel des dizaines de pays musulmans demandent que toute critique de l’islam soit associée au racisme et ils insistent et reviennent constamment sur cette demande, jusqu’à ce qu’ils obtiennent gain de cause.

Certes il y a les exigences du discours diplomatique mais cela ne peut empêcher que les réalités les plus épouvantables soient euphémisées, voire tout simplement tues. Un seul chrétien tué, décapité, violé, enterré vivant, crucifié, etc., devrait soulever une vague d’indignation  générale, puissante, massive très déterminée (où sont ces masses d’indignés pour d’autres situations bien moins graves ?).

Où sont les réactions politiques, et qui devraient être maintenant surtout militaires, communes, internationales et unanimes, l’un des objectifs de l’ONU !

Or les massacres les plus horribles continuent et toujours de masse. En plus bien des acteurs, médias compris, affirment haut et fort que l’on ne devrait pas montrer ces horreurs absolues. Comment alors donner la force de réagir si ces horreurs finissent par devenir de pures abstractions ?

Quand des hommes, des pays, une civilisation ne se défendent plus de manière totalement déterminée et avec tous les moyens, le danger devient mortel et nos ennemis savent cela et l’utilisent en espérant accélérer cette déchéance, lâcheté et bientôt obtenir la « soumission » et dont ne parlent pas que certains écrivains.

Dire qu’il faut « combattre le terrorisme à la racine » c’est renvoyer à la recherche des causes, multiples et variées, et revient encore une fois à nous accuser nous-mêmes plutôt qu’à faire face concrètement à des situations immédiates et mortellement destructrices.

De « belles paroles », générales et abstraites, ne suffisent plus.

On dit que gouverner c’est prévoir ; or non seulement  on ne s’est pas réellement préparé car on n’osait pas imaginer de telles horreurs, mais en plus on refuse toujours de nommer clairement ces réalités  alors qu’elles deviennent massives, d’une évidence quotidienne.

Le syndrome de Stockholm touche-t-il au plus haut niveau ?

Il ne s’agit plus de combattre le terrorisme à la racine (il y en aura pour des dizaines d’années) mais d’être prêt à agir, d’agir immédiatement avec tous les moyens nécessaires, pas seulement policiers mais militaires, et cela après une période où les bien-pensants ont exigé de manière obsessionnelle et constante une réduction des armées.

Oui nous sommes en guerre, et face à une guerre nouvelle pour laquelle nos autorités politiques  nous ont guère préparés.

Il y a urgence. La « recherche des racines » ce sera pour demain,  pour l’instant ce doit être la guerre, au sens propre, à ce terrorisme qui dépasse l’entendement.

PS. Sont aussi beaucoup mentionnées de nos valeurs!

Mais qui rappelle, nomme et défend  inconditionnellement nos valeurs les plus fondamentales et historiques ? Plutôt que de les dénigrer et de les défigurer au nom « d’avancées inéluctables » prônées par des minorités insignifiantes mais omniprésentes politiquement et médiatiquement ? Situation qui, elle aussi, motive et dynamise les terroristes.

Oh ! Paradoxe. C’est le Président russe, V. Poutine,  à qui on attribue les pires crimes. Il n’est pas nécessaire d’être un saint pour défendre certaines valeurs, même par la force. Et à ce niveau de responsabilité on ne connaît pas de saint et pour défendre certaines valeurs essentielles, autre paradoxe, la force peut être nécessaire, sans pour autant justifier n’importe quelle pratique.

On ne combat pas les pires assassins de masse ou recherchant longuement leur raison d’être.

Cela pourra se faire une fois le Mal éradiqué, je le répète par tous les moyens et tout de suite.

Monsieur le Conseiller fédéral dites-nous et vite ce que vous voulez faire concrètement plutôt que d’attendre que ce nouveau mal absolu s’abatte sur nous, et sur vous!

Vous avez fait un important travail diplomatique pendant votre année présidentielle mais il s’agit maintenant à la fois de parler et d’agir, dans la mesure de nos moyens bien sûr, et ces moyens sont totalement insuffisants.

Il faut une conviction totale et le faire savoir.

Je ne veux pas voir de soudaines attaques terrifiantes que l’on « excusera » en disant qu’il s’agit d’une guerre nouvelle, inconnue, et que l’on était pas préparé pour y faire face.

Avez-vous simplement compris que nous sommes en guerre, nous aussi, même si ce n’est pas encore évident pour beaucoup. Je ne puis accepter une négligence de la part des plus hauts responsables politiques alors que bien des militaires sont au courant et ne demandent qu’à mieux se préparer.

Combattre le terrorisme qui s’est échappé de ses « racines », quelles que ce soient ces racines. Les racines ce sera pour éviter son retour. Pour l’instant il est déjà  parmi nous et de la manière la plus insidieuse et « ce n’est qu’un début », mais cette fois c’est certain.

 

Uli Windisch, 5 mars 2015

 

Source des citations : ATS/ SWIswissinfo, 2 mars 2015

 

 

 

19 commentaires

  1. Posté par bigjames le

    Nous avons un gouvernement de traîtres et d’incapables.
    732

  2. Posté par Pierre H. le

    Burkhalter Didier est DANGEREUX, et la Sommaruga est encore PIRE !!!

  3. Posté par François le

    Le Conseiller fédéral Didier Burkhalter assène une phrase forte : « il faut combattre le terrorisme à la racine »

    et déclare une phrase de bisounours qui démontre la volonté de ne rien faire : « insisté sur la nécessité de préserver la tolérance et la dignité humaine ».

    Donc pour répondre au titre, il n’y a pas naïveté mais cynisme !

  4. Posté par berset georges le

    Nous sommes envahis discrètement ! J’habite la Chaux-de-Fonds,et je sais de quoi je parle! Cet envahissement est le fait d’une horde de miséreux (qui arrivent tout de même à payer 3 à 4000 euros pour parvenir à leur fin) qui n’ont aucune affinité avec nous ni culturelle, ni spirituelle, ni politique! Une crise économique seule pourrait nous débarrasser de ce phénomène qui se développe à vitesse grand V. Bon Dieu, il faut ouvrir les YEUX!!!!!

  5. Posté par Leb le

    @Pierre H: Ils commencent à piger ce qui se passe dans la tête du peuple….

  6. Posté par Pierre H. le

    @Leb
    « La Suisse n’a pas besoin d’un général en TEMPS DE PAIX »

    Ils tremblent à l’idée que comme César, un général les court-circuite dans la hiérarchie et prennent le pouvoir ! De nouveau, ils voient leurs petits intérêts au lieu de voir celui de la Suisse.

  7. Posté par Michel Mottet le

    Très bon article. Monsieur Burhalter n’accepte qu’une seule vertu théologale : LA TOLÉRANCE. C’est la seule qui est promue par la FM, à la seule condition qu’elle soit définie par ses Instances Suprêmes, où le Christianisme est l’Obstacle à dégager par tous les moyens.
    Non, M. Doppler, M. Burkalter ne fait pas le poids. La Mutti Merkel tourne autour du monde pour récolter les voix pour son élection quasi assurée par le Grand Frère US.

  8. Posté par S. Wenger le

    Merci Uli Windisch de cette analyse pertinente.
    Une priorité est de stopper la machine de propagande appelée RTS. Lavage de cerveau en continu avec notre argent.

  9. Posté par Leb le

    Voici une très mauvaise idée doublement dangeureuse:
    « Vers une armée sans général ? Berne :
    Et si André Blattmann était le dernier chef de la grande muette ? C’est l’idée du président de la commission de sécurité du Conseil national, Thomas Hurter (UDC/SH).
    « La Suisse n’a pas besoin d’un général en TEMPS DE PAIX », a-t-il déclaré à
    La « Nordwestschweitz ». Le politicien estime que le MINISTRE DE LA DÉFENSE SUFFIT pour diriger l’armée. La commission en débattra lors de sa prochaine réunion. »
    20 minutes du 6.3.15, p.2

  10. Posté par Pierre H. le

    Youri Bezmenov, transfuge soviétique, disait dans les années 80 que les gens ne réaliseront ce qu’est vraiment le communisme que quand le bruit de pas des bottes soviétiques s’abattra dans nos pays. Aujourd’hui, on peut dire que les gens ne réaliseront ce qu’est vraiment l’islam que quand les cliquetis des couteaux égorgeurs se feront entendre.

  11. Posté par KANDEL le

    « Merci à Uli Windisch d’être aussi clair et précis : nous sommes en guerre ! »

    Parfaitement exact, … bien dit zouk k.

    Les six nullités du CF, il faut dégager, les mauviettes et les lâches font perdre les guerres à leur pays.

    Comme Churchill le répétait inlassablement, la guerre arrive, … il faut, avant tout, supprimer la libre circulation, rétablir le contrôle aux frontières, renforcer notre armée, …, et surtout oser regarder la situation telle qu’elle est, et redevenir courageux comme nos ancêtres « héros de 1291 ».

    L’islam, on n’en veut pas en Suisse, … l’immigration on a « déjà donné », beaucoup trop donné ; on est prospère mais on n’est plus « chez nous », les routes sont surchargées, les prisons (3 étoiles) sont remplies de délinquants/criminels étrangers, … on est beaucoup trop nombreux en Suisse et cela va empirer si on laisse les choses aller sans réagir.

    Oui, chère Madame de plus de 80 ans, il faut avoir « des poils au cul », « avoir des couilles », avoir du caractère (DB avait répondu : « Détrompez-vous, tout est gris à l’intérieur », en fait à l’extérieur aussi, un vrai Brejnev insipide.)

    Loin du bal, parasites grassement payés, l’heure est grave, vous allez faire couler le bateau SUISSE.

  12. Posté par Sentinelle le

    Je rappelle juste la dernière phrase de l’éditorial de la Weltwoche du 21 février 2015 où Roger Koeppel dit sans équivoque : « La résistance est le premier devoir du citoyen. » Peut-être que les feux autour de la Gouglera allaient-ils dans ce sens-là ? Dans l’émission Infrarouge consacrée à la réaction souvent hostile de la population, on se demande si nos autorités politiques ont vraiment compris ce qui se passe… Et puis Esther M., soucieuse, y discerne le Ku-Klux-Klan, mais la dame bien-pensante d’AI ne voit pas la nécessité de poster des Sécuritas dans les parages… Les cortèges de carnaval ne sont-ils pas terminés ? On verra leurs têtes quand cela commencera à cramer par ci, par là…

  13. Posté par zouk k le

    Merci à Uli Windisch d’être aussi clair et précis : nous sommes en guerre ! …le Burkhalter est à côté de la plaque, soutenu par la « sensibilité féminine » + les mous du Conseil fédéral et les gauchistes des partis.
    Maintenant il va y avoir du grabuge dans le pays (nous sommes en guerre), eh oui ça va pêter !

  14. Posté par Leb le

    Mr Windisch, 100% d’accord avec votre diagnostic.
    Néanmoins, « combattre le terrorisme à la racine » c’est combattre le Coran et ses adeptes. DB en est à mille lieues ; combattre, ce n’est pas sa spécialité.
    Je pense que DB n’est un fonctionnaire efficace que pour organiser les apéros et les séances photos.
    Un journaliste du Matin lui avait demandé récemment si, derrière son calme apparent, « ça bouillonnait à l’intérieur ». DB avait répondu : « Détrompez-vous, tout est gris à l’intérieur ».
    DB est un tiède, … que même Dieu vomit!
    En ce qui concerne les capacités de négociateur de DB, nous devons constater qu’il n’a pas réussi à trouver un accord quelconque dans la crise ukrainienne, le massacre de la population civile du Donbass s’est déroulé horriblement (tirs d’artillerie sur des immeubles habités !!). De plus, DB a cherché à plaire à chacun plutôt que de dénoncer les atrocités.
    D’autre part, il a instauré des mesures de boycott de la Russie à la suite de la catastrophe de l’avion de la Korean Airline alors que rien n’est établi quant aux circonstances effectives. DB a échoué dans cette mission, sur toute la ligne.

    Actuellement, au CF, nous avons des incapables coûteux, et dangereux pour le pays.
    Sont-ils conscients, ou non, de la gravité de la situation, mystère ?
    Quand la situation sécuritaire en Suisse se dégradera méchamment, les gars comme DB seront les premiers à quitter le navire (emmenant sa délicieuse épouse – une chance pour la Suisse – et sa famille dans un endroit secure)!
    « L’inconscience » arrange bien les chambres fédérales et le CF; ils peuvent tous couler une vie de fonctionnaire pénard et grassement payée. Le reste, l’avenir du pays, ils s’en fichent totalement. TANT QUE ÇA DURE…
    Mr BLOCHER voulait les mettre au boulot et sabrer dans leurs avantages et les gaspillages : il a giclé…et le peuple boit, va boire encore plus, le calice.

    Comment sortir de cette impasse mortifère?
    Comment faire pour que la Suisse se considère OFFICIELLEMENT en ÉTAT de GUERRE et prennent les mesures qui s’imposent ?
    Il n’y a probablement pas 36 manières de faire. Ou bien les pouvoirs en poste, aux trois niveaux, laisseront la place (de bon gré ou pas), à temps, à des personnalités capables de mobiliser les forces saines du pays ou bien notre pays se laissera violer par les barbares jusqu’à ce que la mort et le chaos s’installent.

    P.S. : au centre de Lausanne, on peut percevoir l’agressivité montante des dealers africains, gare à celui qui leur jette un regard de désapprobation.
    Nous, les autochtones, nous sommes très mal barrés.

  15. Posté par Pierre H. le

    Et oui, l’heure est grave et n’est plus aux beaux discours stériles. On commence déjà à voir dans nos rues des étrangers d’obédience musulmane devenir arrogants ou excités et se prendre de bec avec des autochtones dans la rue. Les problèmes et la violence qui vont arriver, ça n’est pas pour dans 20 ans. On y est en plein et on verra ça à mon avis déjà avant la fin de l’année. L’heure est très grave et le désastre est imminent !

  16. Posté par Jac Etter le

    Bravo M. Windisch, merci de continuer à dénoncer le cirque des hypocrites. Neuchâteloise d’origine, j’ai une amie à Neuchâtel qui vous applaudirait à pleines mains. Femme de maturité, 80 ans passés, pure comme le diamant, franche comme l’or, on ne le lui l’a fait pas, le diagnostic de M. Burkhalter a été très vite posé : « Cet homme n’a pas de poils au cul ». Trivial, choquant pour les habitués des salons et des bouchées Ferrero, mais efficace et criant de vérités !

  17. Posté par KANDEL le

    Au CF, à part M. Maurer, tous se seraient félicités des Accords de Munich avec Hitler.

    DB nous aurait pondu un splendide speech sur « le dialogue », « le dialogue » … encore « le dialogue ».

    Daladier avait bien saisi la situation avec son « Ah les cons ! S’ils savaient ! »

    Maintenant tout Suisse animé de l’esprit de 1291, « Sait où l’on en est. ».
    Les déclarations de DB « il faut combattre le terrorisme à la racine », et il a « insisté sur la nécessité de préserver la tolérance et la dignité humaine » c’est du vent politiquement correct pour plaire aux médias et aux bienpensants.
    DB, Daladier, même combat, même lâcheté, … maudite lâcheté!

    On a notre Churchill, il s’appelle Christoph Blocher … et nos parlementaires futés et lâches l’ont mis à la porte !

  18. Posté par Derek Doppler le

    Burkhalter s’imagine finir sa carrière de cloporte politique à l’ONU ou dans l’une de ses officines. Qui sait, ce sinistre guignol se voit peut-être déjà à la place de Ban Ki Moon le 1er janvier 2017. Alors le pauvre type donne des gages, tartine sur les valeurs, déblatère du conformisme narratif. Minable.

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