La nouvelle task force Tetra – pour «terrorist travellers» – a présenté jeudi son premier rapport.
Pour réagir aux critiques, les autorités publient un rapport. Le nombre des combattants qui rejoignent l’Etat islamique augmente. Mais la Suisse admet qu’elle ne peut pas empêcher les sympathisants djihadistes de partir.
Ce que dit le document? Aucun cas concret n’est évoqué. Il s’agit d’un état des lieux du phénomène et d’un catalogue de mesures, prises ou à prendre. Avec une bonne dose d’auto-congratulation, mais aussi des aveux d’impuissance. «La Suisse connaît peu de cas de djihadistes, mais leur nombre est susceptible d’augmenter rapidement», souligne d’entrée de jeu le rapport.
Des extrémistes actifs dans le milieu salafiste depuis plusieurs années ne montrent aucun désir de quitter la Suisse, alors qu’«en moins de trois mois, une personne, même faiblement radicalisée, peut se retrouver dans un camp d’entraînement terroriste», ajoute encore le rapport, pour souligner la difficulté de surveiller les bonnes personnes.
Qu’elle se radicalise en restant en Suisse ou qu’elle parte pour vivre son délire chez ces dingos au Moyen-Orient, cette racaille devrait être exclue à vie du territoire suisse et privée de son passeport à croix blanche (pour les ressortissants helvétiques).
Quand on veut on peut!
Moi le problème c’est qu’ils restent ici…
Comme quoi, je n’ai pas du tout les mêmes priorités que notre gouvernement.
@rédaction:
http://www.rts.ch/info/suisse/6576516-oskar-freysinger-on-ne-va-pas-creer-un-etat-policier-contre-le-djihadisme.html
“Parti du Nord vaudois en octobre 2013, Abou* combat en Syrie dans les rangs de l’Etat islamique, après être passé par Jabhat al-Nosra. Selon plusieurs sources, il serait émir d’un groupe composé de dizaines de djihadistes francophones.
Abou* vivait jusqu’à il y a peu dans un petit village du Nord vaudois. Aujourd’hui, il combat en Syrie dans les rangs de l’Etat islamique (EI), groupe de djihadistes extrémistes qui vient de faire parler de lui en décapitant le journaliste américain James Foley. Adopté, d’origine maghrébine, Abou s’est converti à l’islam en 2012, s’est radicalisé via Internet, puis est parti en Syrie en octobre 2013. Plusieurs sources proches des milieux sécuritaires et djihadistes confirment au Temps qu’il occupe depuis des fonctions dirigeantes. Récit d’une surprenante et rapide ascension…..”
suite:
http://euro-jihad.com/blog/?p=20765
le problème n’est pas qu’ils partent, c’est qu’ils risquent de revenir
L’impuissance, cela se soigne !