Affaire HSBC: Sommaruga dénonce l’UDC comme complice

Pour le conseiller national Carlo Sommaruga (PS/GE), le PLR et l’UDC sont des «complices politiques» dans l’affaire HSBC. Vives réactions des partis bourgeois.

Contacté par «Le Matin», le Genevois précise sa pensée: «Comme on l’a vu avec UBS aux Etats-Unis et en France, et aujourd’hui avec HSBC, un système s’est développé en Suisse. C’est un système général qui organise la fraude massive des fiscs étrangers. Ce système est défendu par le PLR et l’UDC d’une manière idéologique. Encore aujourd’hui à travers leur initiative pour la sauvegarde de la sphère privée et du secret bancaire. Ces partis sont responsables d’un système qui prive de ressources les Etats et les services publics pour en faire profiter des ploutocrates.»

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4 commentaires

  1. Posté par Ueli Davel le

    Il faut l’interner. On devrait trouver une place en psychiatrie pour le camarade Sommaruga. C’est un malade, il souffre de la suissophobie virale maligne. Cette maladie est transmissible par voie médiale. La maladie c’est développée dans les pays de l’est avant la chute du mur. Le virus STASI forme original, attaquait les neurones des têtes du parti. La forme valdo-genevoise est particulièrement tragique et active.

  2. Posté par G. Vuilliomenet le

    “Cet individu reproche à ses adversaires politiques de vouloir résister aux injonctions de l’étranger. Aurait-il invité, en son temps, la Wehrmacht à entrer en Suisse au pas de l’oie, par souci de «réalisme» et pour n’avoir pas l’air de céder «à reculons» ?”

    Mais entre socialistes, ils se seraient compris!

    CAR N’OUBLIONS JAMAIS, LE NAZISME EST UN SOCIALISME !

  3. Posté par Normandy le

    Ce sénestre individu est fondamentalement antisuisse ! Sa nième provocation dans ce sens fait écho à la revendication (arrogante, absurde et vaine, d’ailleurs) de son collègue de parti, président d’une commission franco-spoliatrice (je sais, c’est un pléonasme) sur l’évasion fiscale. De plus, il mélange tout, par malveillance et par malhonnêteté. Ni les institutions helvétiques, ni les politiques, ne sont en cause. Seule la banque qui a eu l’idée saugrenue de confier ses données au traître-espion Falciani, un franco-italien, est concernée. Notons que médias et gauchistes poussent des cris d’orfraie déchirants au moindre soupçon (vérifié ou non) de recherche discrète d’informations sur les milieux contestataires voire subversifs, mais adoubent hypocritement les délateurs en tant que vertueux «lanceurs d’alerte», et se délectent de tels lynchages et mises au pilori. Non seulement ça fait malheureusement vendre autant que les seins nus d’une princesse, mais ça correspond à une mentalité de «justicier» (en français «charognard») qui habite beaucoup de journalistes. Remarquons que les médias romands Le Temps et L’Hebdo, notamment, sont à la remorque rédactionnelle (donc idéologique) de Le Monde, ce «journal de révérences» comme l’a si justement qualifié un commentateur. Ces organes de propagande et de désinformation dissimulent par contre jalousement l’identité de leurs indics, aussi superficielles, malveillantes et même diffamatoires soient leurs dénonciations.

    Le parlementaire gauchiste italo-suisse pousse la confusion et la malhonnêteté jusqu’à mélanger, volontairement, évasion fiscale et blanchiment d’argent criminel, qui répondent à des principes et à des règles juridiques totalement différentes. Durant la période considérée, l’évasion fiscale ne violait ni le droit suisse ni aucun traité international. Quant au blanchiment, il est depuis longtemps poursuivi en cas de soupçon, et sanctionné si avéré. Sommaruga préférerait probablement une nouvelle constitution suisse rédigée par ses camarades du PS français, le plus rétrograde du monde civilisé, à l’image de ce que firent les collabos de la chaotique et brève République Helvétique.

    Cet individu reproche à ses adversaires politiques de vouloir résister aux injonctions de l’étranger. Aurait-il invité, en son temps, la Wehrmacht à entrer en Suisse au pas de l’oie, par souci de «réalisme» et pour n’avoir pas l’air de céder «à reculons» ? Selon lui, rendre les armes, il faut le faire immédiatement, au moindre froncement de sourcil et sans contrepartie. Notons que l’expression «ploutocrates» qu’il utilise, s’appliquait alors aux Juifs et aux francs-maçons … de la part des nazis !

  4. Posté par Economico le

    Je ne pense pas que l’on peut accorder une faute à un parti plus qu’un autre, sachant que le CF aurait du avoir connaissance de ses pratiques.

    “FINMA qui «pinaille volontiers quand il s’agit de petits dysfonctionnements», mais qui «ne voit pas passer un éléphant»” selon Sommaruga
    Il est clair que la FINMA ne fait pas son travail. Elle a mis en place des mesures pour concentrer le marché et éviter la multiplication de petits acteurs, alors que le problème réside au niveau des dinosaure de la finance. Le “too big to fail” n’est plus que jamais valable, HSBC était trop grand pour être contrôlé. Sans n’avoir rien contre la personne du DG (Mark Branson – UK) de la FINMA, il serait souhaitable de nommer des Suisses au management de l’organisme de régulation.

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