L’antiracisme idéologie amenant la détestation de soi et promulguant la haine de la France a encore de très très beaux jours devant elle. Son association leader qui ne rassemble plus personne dans ce pays divisé comme jamais par le communautarisme religieux et ethnique, est au moins restée pour ces dirigeants une machine à cash.
L’argent y coule à flot tout le temps et toujours. Ils leurs suffit de claquer des doigts auprès de l’Etat ou d’une collectivité locale quelconque pour que celui-ci accourt avec de la monnaie sonnante et trébuchante. Pour Sos Racisme la crise n’existe pas, elle est pour les autres. Pensez donc, un budget d’1,4 million d’€ par an pour quelques une poignée de salariés. L’Acsé, le ministère de la jeunesse et des sports, de la justice, de l’éducation, de l’intérieur, le département du 93, l’Europe, la ville de Paris, le Conseil régionale Ile-de-France tous dans l’obligation de faire des chèques de plusieurs dizaines de milliers d’€ sous peine d’arrêter tout soutien. Pour des cotisations quasi nulles. Le parallèle peut-être fait avec la famille mafieuse Betoun du film sur le racket en France dans les années 60 « le grand Pardon ».
Je ne suis pas obtus, j’aurai pu comprendre si nous avions à faire à un organisme sérieux, responsable et d’utilité publique. Je n’aurais pas rédigé ce texte.
Seulement l’antiracisme est la négation de l’assimilation. Ainsi tout primo arrivant va rejeter tout ce qui est relatif à la France et à ses principes de société. On ne cherche plus à ressembler à l’autochtone autrefois admiré aujourd’hui honni, mais on désire rester avec sa culture étrangère partout, on l’impose aux autres et cela au nom du droit à la différence. J’appelle ça de « l’américanisation », les citoyens se définissant suivant la communauté à laquelle ils appartiennent, sans ressentir de sentiment national. Parce que la nation, mal suprême aux yeux de nos élites mondialisées, doit laisser place à l’appartenance extranationale. On est citoyen du monde. La France devenant une terre où l’on s’installe au gré des intérêts pécuniaires qu’elle aurait à offrir.
Le deuxième point à mes yeux tout aussi essentiel est que l’antiracisme engendre la haine de soi. Le roman national, les racines patriotiques ne sont plus enseignés, pire ils sont vomis par les élites médiatico-politiques, les corps intermédiaires, et ceux qui possèdent le savoir et l’autorité. On ringardise notre histoire commune car jugée inférieur à celle de l’étranger. On survalorise l’autre, on rabaisse ce que l’on est. L’autre est considéré comme plus important, car meilleur en tout point, physiquement, intellectuellement, culturellement etc. On culpabilise l’autochtone car coupable de tous les maux et de toutes les atrocités de l’histoire. Holocauste, collaboration, colonialisme, esclavage, croisades, peut-être même la casse du vase de Soisson. L’indigène français est le criminel c’est une certitude. Il est bœuf, il est franchouillard, paillard, grivois, il est le mal, celui qui doit-être rééduqué.
Sos Racisme est l’étendard de cette idéologie venu des USA et imposée par des communicants élyséens dont le regretté car brillant Jacque Pilhan. Sos Racisme est coupable d’avoir communautarisé ce pays, d’aller contre les intérêts de la France. Ce n’est donc pas aux français de financer une machine qui les dénigre, c’est à la poignée de ses militants de l’anti-France de mettre la main à leurs poches.
Source Contribuables et associés
http://www.lesenquetesducontribuable.fr/2015/01/27/sos-racisme-touche-pas-a-mes-aides/48743
Extrait de: Source et auteur
Les cinq dernières lignes de votre article résume en fait l’immoralité que dispense cette association depuis sa mise en valeur sous le régime de F.Mitterrand. Elle aura fait un mal fou à la France provocant un communautarisme à outrance depuis sa création. Et bien entendu elle aura coûté beaucoup d’argent aux contribuables que nous sommes pour attiser des tensions de violence et de haine entre les Français. Elle devrait être dissoute car elle ne sert à rien, sinon à rendre les propos énoncés ci-dessus plus réels et cohérents.
Soutenir financièrement les rats qui les grignotent s’apparente à de l’automutilation. Les responsables sont des malades mentaux dangereux pour eux même et pour la société. Ils mériteraient d’être internés de force.