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L’islam ne s’est intégré à aucune société durant XIII siècles
C’est bien beau, le vivre ensemble, mais ce ne fut pas le cas de l’islam en Orient durant 13 siècles. Les musulmans parlent de tolérance, alors que durant la première moitié du XXe siècle, l’Algérie a pourchassé ses juifs, qui étaient là bien avant l’islam.
C’est la stratégie du jihad idéologique à laquelle je fais allusion dans Lettre ouverte à Tariq Ramadan : adopter la culture de son ennemi jusqu’à prendre racine et transformer son identité.
Mais ce que feint d’ignorer – ou ignore en bon musulman narcissique – le sociologue de café du commerce est qu’une identité peut être manipulée dans des sociétés orientales hautement analphabètes. Ce qui fut le cas par le passé dans le Machreck et le Maghreb.
A l’inverse, il est difficile de dévoyer des identités dans des sociétés européennes instruites et ayant une tradition séculaire de liberté, de démocratie, de libre arbitre et de droits de l’homme. Cela ne peut se faire sans une confrontation frontale.
C’est ce qui risque de se passer en France et en Occident.
Dans un de ses ouvrages, Claude Levi-Strauss explique très clairement (ce qu’on sait par ailleurs), ce qu’il advient lorsque deux civilisations différentes se trouvent en confrontation sur un même territoire :
« On aperçoit mal comment une civilisation pourrait profiter du style de vie d’une autre, à moins de renoncer à être elle même. Deux possibilités existent : soit une désorganisation et un effondrement du pattern d’un des groupes ; soit une synthèse originale qui, alors, consiste en l’émergence d’un troisième pattern lequel devient irréductible par rapport aux deux autres ».
La réponse de Levi-Strauss à notre problème est donc : ou bien les nouveaux arrivants qui relèvent d’une autre civilisation que la notre abandonnent leur civilisation et s’intègrent, ou bien ils la conservent, et alors émergera une autre civilisation sur notre continent européen, une civilisation que Levi-Strauss qualifie de « troisième pattern », un nouveau modèle donc, « irréductible par rapport aux deux autres ».
Ce modèle fut possible, et historiquement vécu, dans toutes les traditions judéo-chrétiennes, animistes/ païennes et même asiatiques dans une certaine mesure, comme le Japon, qui a su faire la synthèse entre tradition et modernité. Mais jamais en islam et dans les sociétés musulmanes, notamment arabes (sauf dans des pays à minorité chrétienne importante, comme l’Égypte, où l’interculturalité s’ordonne dans une arabité relative).
Et comme historiquement, l’islam ne s’est jamais intégré à AUCUNE société durant XIII siècles, et que l’Occident, malgré le relativisme rampant, ne risque pas à moyen terme d’abandonner ses valeurs d’humanisme, de libre arbitre, de liberté, de droits de l’homme et de démocratie, la confrontation est inévitable.
C’est une question de temps. En cette époque de crises européennes profondes, ce clash viendra plus tôt qu’on le pense.
Mais je reste optimiste dans mon pessimisme.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.
Charles de Foucauld écrivait à René Bazin le 29 juillet 1916 :
« Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l’un, celui du medhi, il n’y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l’approche du jugement dernier le medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’ engage à subir avec calme son épreuve; » l’oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s’il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération « , disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècle mais, d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.
De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d’un peuple étranger qu’on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d’apostasie, un renoncement à la foi du medhi… »
Et en Suisse?
Nous n’avons pas un Zemmour qui appelle un chat un chat.
Cependant, en Suisse, les musulmans amènent aussi la criminalité, le communautarisme, le pillage de l’argent publique et un mode de vie incompatible avec le nôtre.
En Suisse aussi, les musulmans se considèrent prioritairement comme des « citoyens d’allah » et la majorité d’entre-eux souhaite que la charia règne.