Le Front National, sur une pente clairement ascendante, dans les esprits et dans les urnes, n'a pas eu de prêt d'une banque Française pour sa campagne. C'est pourquoi la présidente du parti, Marine le Pen, a été demander de l'argent auprès d'une banque russe pour obtenir un prêt de 9 millions d'euros emprunté à 6%. Ce qui fait scandale en France, notamment pour un parti qui veut défendre à tout prix la souveraineté de la France et son indépendance. Acte scandaleux ou pas ?
Qui fait polémique ?
Les extrémistes de gauche, alliés naturels de l'anti-démocratisme et idiots utiles des grandes banques, s'en félicitent :
felicitons les banques #BNPparibas #CIC #CREDITAGRICOLE #LCL et #UBS pour ne pas preter de l'argent au #FN parti d'extreme droite nauseabond
— Man @ Work ©™ (@angelobrighton) 8 Décembre 2014
Les banques ont-elles réellement ce raisonnement politique ? Oui, pour Marine le Pen, qui a affirmé sur Twitter que « Les banques françaises ne prêtent pas au @FN_officiel, il y a probablement des considérations politiques derrière cela ».
Face aux accusations de mensonge, le Front National s'est décidé à réagir. Il a publié les lettres de réponse des banques. Ainsi, on apprend par exemple que, dans sa lettre de réponse, LCL explique être «au regret de répondre que LCL n’a pas convenance à l’octroi d’un tel crédit». UBS a refusé car la banque «n’exerce pas, en France, d’activité de crédit aux entreprises». Entre autres...
Le Front National, un parti marxiste ?
Certains, intellectuellement plus véloces que la plupart des journalistes ou des twittos d'extrême-gauche, font remarquer que le programme économique du Front National n'est pas à la hauteur d'une économie moderne, saine et libérale, mais qu'il développe un programme d'extrême-gauche, jacobin, et, en un mot, désuet...
Dans le dernier numéro des 4 Vérités, Louis Aliot, le vice-président du Front National, affirme que « le front National n'est pas un parti marxiste », et que « Le marxisme n’a jamais influencé, ni de près ni de loin, notre ligne politique » ; le système social Français et les services publics peuvent être maintenus, notamment en faisant des économies sur l'immigration et les décentralisation. Si le Front National passe... il semble bien qu'il gouvernera sans la connivence perverse avec les banques !
Ce qui est, au fond, une excellente chose. C'est le capitalisme de connivence entre les banques et l'État qui permet cette convergence d’intérêts entre les grands groupes, notamment bancaires et financiers et l’extrême-gauche la plus nihiliste et progressiste (les mouvements révolutionnaires du XXe siècle, qu’ils soient national-socialistes ou marxistes-léninistes, et maintenant islamistes radicaux, ont tous été largement financés par des magnats de Wall Street ou de la City). Au fond, ce sont les grandes banques qui sont marxistes : piller le peuple avec le soutien et la connivence de haut-fonctionnaires tout-puissants. Le message à faire passer au Front National : on veut moins de banque, donc moins d'État ; et moins d'État, pour moins de banque.
Pour ceux qui se laissent endormir, les vrais marxistes sont aussi à Bruxelles et nos gauchistes leur servent de paravent. Ils ont pour la plupart migré à l’ouest fortune faite pour pouvoir enfin dépenser « leur » argent. Les vidéos du « Journal du siècle » de 2013 en témoignent. La nomenklatura en la personne du représentant du PC de Bohème qui vient toucher approximativement ses 260 € de dédommagement par séance en plus du fixe qui doit tourner dans les 12’000 € sauf erreur. La vidéo a bien mis en évidence que cet imposteur et bien d’autres, se contentait d’un passage fugace au guichet, pour s’en retourner dans sa résidence à 150 m. de là, sans avoir fait autre chose que de trimbaler sa valise à roulette.
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Preuve supplémentaire de cette situation de sujétion aux décisions des ex-barons de l’est et à leurs lobbyistes, les milliards balancés aux frais de l’ouest soi-disant pour ces peuples dépossédés de leurs biens, et l’afflux des roms avec la bénédiction et les injonctions de l’ex-« journaliste » du Luxembourg Viviane Reding. La machine totalitaire de l’Est a passé à l’ouest avec armes et bagages, les armes étant celle du pillage de l’ouest par l’immigration organisée. Le siège de l’ex-Union soviétique est donc à Bruxelles, pour anéantir la Russie qui doit détenir pas mal de preuves à ce sujet, ce que notre presse pravda se plaira soigneusement à nous cacher.
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J’attends avec impatience ce jour où le mot journaliste sera considéré comme une injure. A sale journaliste la réplique sera journalistophobe anti-journaliste. Voilà encore du grain à moudre et du fric à tirer pour ces organismes totalitaires qui normalisent le prêt à penser contre monnaie sonnante et trébuchante, auquel s’ajoutera la privation des droits politiques, tout ceci avec la complicité de tribunaux politisés à outrance.
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Ces derniers jour dans plusieurs quotidiens, une annonce mortuaire, pour Monsieur Pedro Alvarez, un ponte politique portugais de gauche qui « œuvrait » dans ce système, ne pouvait que nous interpeler. Pourquoi sa famille est ses amis ont-ils eu honte d’y détailler leurs noms en ne faisant état que de leurs seuls prénoms ? Vous avez dit bizarre, moi aussi ! Que peut donc bien cacher cette honte ?
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Dès lors quoi de plus normal que des organismes de la Russie prêtent au F.N.. Son rouble est au plus bas et ses investissements à l’ouest servent à sa stabilisation. Parce qu’en plus si la Russie s’écroule, devinez qui va passer à la caisse une seconde fois ?
Le Front national, un parti marxiste? Sûrement pas, sauf peut-être aux yeux des néoconservateurs américains (qui attaquent tous leurs opposants politiques comme d' »extrême-gauche » et qui sont en fait des mondialistes et des antinationalistes, tout comme les marxistes)