Alors que le Gripen pouvait avoir une véritable fonction, on retrouve les socialistes aux avant-postes pour dépenser l'argent des contribuables lorsque celui-ci peut être utilisé au service des autres.
Aussi cocasse que ça puisse paraître, quelques mois après le refus des Gripen, Ueli Maurer pourrait bien se voir imposer l’achat d’un avion militaire. La manœuvre aurait été déjà tentée par Didier Burkhalter en séance du Conseil fédéral mais le ministre de la Défense s’y est fermement opposé. Cette fois, c’est le parlement qui lance une double offensive.
En effet, deux conseillers aux Etats, Géraldine Savary (PS/VD) et Peter Bieri (PDC/ZG), ont déposé chacun une motion pour demander au Conseil fédéral d’étudier l’achat d’un avion de transport militaire destiné aux missions de promotion de la paix et de coopération à l’étranger.
Source
“Les gens de gauche ont rarement de grands projets. Ils font de la démagogie et se servent des mouvements d’opinions. La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça qu’on a fini dans l’abîme en 1940…
Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les a jamais vu dépenser efficacement les crédits… Je n’aime pas les socialistes car ils ne sont pas socialistes…
Parce qu’ils sont incapables, ils sont dangereux…”
Général Charles de Gaulle
Quand va-t-on en finir avec ce colonialisme qui va fourrer son nez dans les politiques des pays du Tiers Monde?
Ces pays sont adultes et responsables de leur situation. Il faut encourager les migrants qui ont vu comment cela se passe en Europe à rentrer chez eux et à y œuvrer eux-mêmes pour leur progrès.
Que l’armée suisse s’occupe de défendre les Suisses.
Qu’elle aille se faire foutre ! Les socialos ne veulent ni avions militaires, ni armée… Qu’ils assument leur maladie !
Je suis en accord avec tous les commentaires… la Savary est une c…. point barre, tout comme la gauche !
Une socialo binationale (franco-suisse) de plus, qui n’en a rien à f.. aire de la Suisse !
Donnant-donnant. Promotion de la paix dans le monde mais également en Suisse. Si ce coucou a des soutes assez larges pour servir au rapatriement de nos hôtes indésirables, pourquoi pas.
Ce sont les mêmes qui envoient l’armée jouer aux casques bleus au Kosovo tout en ne prenant aucun risque, bien au chaud, et en se prétendant “moralement supérieurs”. Les casques bleus qui avaient ordre de ne pas riposter tout en se faisant tirer dessus.
Pour eux, un soldat qui meurt c’est un “fasciste” de moins. Un objet, un outil au service de leur idéologie et tant pis si on l’envoie dans une zone où il ne pourra pas se défendre. Le respect de l’être humain ne peut se conjuguer qu’avec un étranger, de préférence non européen.
C’est vrai que l’armée n’a plus rien à foutre sur le territoire des Helvètes. Allons parader sur tous les coins de la planète. A cet effet, pour satisfaire la perfidie de la gauche et un peu du PDC plus quelques stratèges du DDPS en manque de réalisme et d’occupation intelligente, on peut commander de suite une ou deux dizaines d’Airbus A400M. Mais attention la livraison pourrait être subordonnée à l’acceptation de fournir toutes données fiscales au voisin hexagonal !! Affaire à suivre !
Au lieu de systématiquement chercher à claquer le pognon des autres, elle n’a qu’à organiser une collecte avec ses potes débilo-socialos afin de financer ses délires de bisounours. Charité bien ordonnée commence par soi-même. La Suisse est attaquée de toutes parts sur le secret bancaire, la fiscalité, la libre circulation, etc. Alors il me semble qu’il y a déjà suffisamment de problèmes à régler chez nous.
Le rôle d’une armée est de « COMBATTRE » et certainement pas de faire de l’humanitaire ! Cette obsession de vouloir transformer une armée en « Resto du coeur » est grotesque !
Ces socialos avec leur détestation de l’armée nous les auront toutes faites. Leurs fantasmes sont renversants.
Pourtant en 2004, l’armée avait souhaité acheter deux avions de transports Casa CN-235… Les crédits avaient été refusés par les députés, au grand dam de M. le conseiller Fédéral Schmidt.