Devant l'Assemblée générale, le président de la Confédération a souhaité que les jeunes soient mieux protégés.
Le président de la Confédération Didier Burkhalter a appelé, mercredi, à New York, devant l'ONU, les Etats à renforcer leurs liens. "Les jeunes sont en droit d'attendre que nous" leur remettions demain "une humanité qui rime pleinement avec sécurité, liberté et prospérité", a-t-il lancé.
"Jamais depuis la Seconde Guerre mondiale, l'humanité n'a compté autant de personnes déplacées ou exilées", a relevé le président de la Confédération à la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies. Plus de 50 millions de personnes ont été "arrachées à leur maison".
En raison de ce "fleuve d'insécurité", 75 millions de jeunes âgés de 15 et 24 ans se retrouvent sans travail, a poursuivi le ministre des Affaires étrangères. Dans certaines régions, le chômage des jeunes est tellement élevé qu'une personne sur deux de cette tranche d'âge est touchée.
Les Etats ont l'obligation de protéger les jeunes des horreurs de la guerre. Leur donner la possibilité de s'instruire et des perspectives de travail est le meilleur moyen de les éloigner de la violence, a déclaré le Neuchâtelois.
Condamnation de l'EI
La Suisse va intensifier son action pour la protection et la santé des femmes, notamment en matière sexuelle. Elle entend également lutter contre l'engagement des jeunes dans les conflits et le phénomène des enfants-soldats.
Didier Burkhalter s'est dit particulièrement préoccupé par l'évolution de la situation au Moyen-Orient, notamment en Syrie et en Irak. "La Suisse condamne avec la plus grande fermeté les actes brutaux du groupe qui s'autoproclame Etat islamique (réd: EI) et de ceux qui lui sont associés." Ces groupes "bafouent la dignité humaine" .
En outre, le président de la Confédération devait rencontrer le président iranien Hassan Rohani et le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. ATS
Extrait de: Source et auteur
Une vraie langue de bois quoi ! Il y a une menace islamiste en suisse qu’en pensez vous Mr. Burkhalter ? Oui j’en ai entendu parler, ma foi il faut que je consulte les services de renseignement.
Rochebin mentionne l’époque où les missiles soviétiques, autrement plus menaçants, étaient pointées sue nous. Et que l’on ne s’est pas attaqué aux proches de Brejnev comme on s’attaque à ceux de Poutine aujourd’hui. Répons de Burkhalter: « Ouais ouais…. bon ça c’est évidement le point de vue russe, … si vous vous mettez du côté russe évidemment qu’c’est vexatoire. Et vexaient (sic) évidement que ça va encore toucher l’âme russe encore un peu plus et pousser également à réagir…. et il conclut qu’il faut plus que ça, il faut autre chose que les sanctions. Il ne dit pas quoi!
Mais vous aurez noté le « ouais ouais » qui, entendu avec le ton négligeant avec lequel il a été prononcé, révèle le coeur de son auteur.
Et voici que soudain je pense, par une étrange association d’idées, au psychiatre Silvion Fanti. Fondateur de la micropsychanalyse et partissent de séances longues, de trois heures au minimum. Et que je vois un Burkhalter mis en question sur tout, pendant huit heures de suite! Et même davantage! Coincé dans toutes ses échappatoires jusqu’à ce que sorte la vérité, sa vérité.
Jusqu’à ce qu’enfin émerge l’enfant dérisoire, celui que Jésus invite à venir à JE!
Laissez venir à JE les enfants, ne les en empêchez pas!
Didier Burkhalter? Parlons-en donc? Mais, fichtre, ou ai-je fourré les notes que j’ai prises des premières minutes de son entrevue avec Darius Rochebin? Dans « pardonnez-moi » du 14 septembre. De ces instants je garde la mémoire d’un regard halluciné, fixe, inexpressif, mort.
Mais j’ai conservé l’enregistrement. Voici donc ce que j’en note.
Rochebin le félicite pour le prix de la fondation pour Genève qu’il a reçu. La réponse commence bien: « c’est surtout un prix pour l’ensemble de l’équipe qui travaille pour l’avenir… euh… de Genève… » Mais ensuite ça se corse car il ajoute: « pas tellement un prix pour le passé ». Le prix de la bien-pensance? Les bonnes intentions récompensées?
En ce qui concerne le déploiement des forces russes en Ukraine: « oui, c’est évidemment inquiétant tous ces indices, donc(?) on a pas de faits avérés mais on a des indices, il y a évidemment les différents euh pays qui ont des images satellitaires qui font leurs propres déductions… »
Question de Rochebin: « les sanctions n’ont elles pas quelque chose de vexatoire contre la Russie »? Réponse: « bon, euh, les sanctions elles sont là quelque part pour pousser en principe les différents acteurs (!!!) à se reparler… mais elles ne règlent pas le problème. Donc ce qui est important pour nous ce n’est pas tellement les sanctions, les sanctions sont un fait euh, elles sont inquiétantes parfois parce qu’elles se font comme si on essayait de monter encore les problèmes, mais ce que nous souhaitons nous (je me demande qui est ce « nous »!) c’est surtout qu’on (qui »on »?) arrive à maintenir les différents dialogues que nous (?) avons lancé et ça a marché ces derniers temps, en particulier dans le groupe de contact international… »
Le Président de la Confédération Helvétique a parlé! Vous, je ne sais pas, mais en ce qui me concerne ce sera tout pour ce jour. La suite est à l’avenant.