La Réponse d’Oskar Freysinger au parti socialiste suisse

Alimuddin Usmani
Journaliste indépendant, Genève

 

Dimanche dernier, le président du Parti socialiste suisse a attaqué le parti d’Oskar Freysinger, l’UDC, de manière virulente. Le journal la Liberté suggère que l’UDC souhaite calmer le jeu par rapport à cette polémique[i]. C’est sans compter sur la liberté de parole d’Oskar Freysinger qui répond ici au PS de manière plutôt musclée. Il en profite également pour lancer une pique à François Hollande :

 

Alimuddin Usmani : Le Président du parti socialiste suisse, Christian Levrat, parle de "tendances fascistoïdes" à propos de la politique menée ces derniers mois par l'UDC. Le politicien fribourgeois ajoute que la situation actuelle avec l'UDC rappelle fortement "le début des années 30".[ii] Que lui répondez-vous?

 

Oskar Freysinger : Ça fait partie de l’application systématique par le PS du principe prôné par Josef Goebbels qui disait : « salissez, salissez, il restera toujours quelque chose ». Christian Levrat doit être en grand manque d’arguments pour ainsi basculer dans l’insulte, preuve ultime de son désarroi. Ce qui est intéressant, c’est que les socialistes traitent de « fascistes » et de « nazis » tous ceux qui défendent une politique migratoire responsable, la souveraineté du pays, les droits démocratiques, l’Etat de Droit, une politique de sécurité crédible. Pourtant, il est évident que le « parti des travailleurs national-socialiste » (NSDAP) fut fondamentalement de gauche. Hitler a copié toute l’organisation de l’Etat NS chez Staline. Quant à Mussolini, il était un syndicaliste de gauche. Ce qui caractérise les systèmes totalitaires (nazisme, fascisme et communisme) est la collectivisation forcée. L’Etat s’occupe de tout et ambitionne de créer l’égalité totale au mépris des droits individuels. Là où l’UDC se bat pour la responsabilité individuelle, le PS défend la soumission au collectif. Où l’UDC défend le fédéralisme, le PS défend un centralisme cherchant à niveler toutes les différences au nom de l’égalité. Où la droite argumente en pointant du doigt les dysfonctionnements du système, le PS n’a que l’opprobre et l’insulte à la bouche. En vérité, le PS utilise les bons sentiments pour détourner l’attention du fait que sa démarche est fondamentalement totalitaire et que les régimes les plus désastreux que la terre ait connus furent inspirés par l’idéologie marxiste-léniniste. Le début des années 30 en Allemagne a vu deux totalitarismes de gauche s’affronter en Allemagne : un socialisme internationaliste et un socialisme national. Le second a triomphé et fait basculer le monde dans une guerre mondiale. Mais aucun des deux mouvements n’était de droite. En ces temps-là (avant que le PS nous impose sa novlangue) la droite allemande était représentée par les catholiques-conservateurs bavarois et les aristocrates prussiens. Depuis 1945, le principe consistant à traiter les partis bourgeois de « fachos » permet aux socialistes de se décharger sur les autres de leur propre ignominie historique.

 

J'aimerais maintenant vous confronter à la pensée d'une personnalité française et d'une personnalité britannique qui se sont exprimées par rapport à la gauche et au parti socialiste.

 

Voici l'expression d'Alain Soral à propos du parti socialiste français en août 2013 :

 

« Depuis François Mitterrand et le tournant de la rigueur qui remonte à 1983, le socialisme du Parti socialiste est une escroquerie. Si vous regardez lorigine des ministres clefs du gouvernement socialiste actuel, aucun ne provient de la classe ouvrière. La différence entre nos bourgeois de gauche PS, style Pierre Bergé, et nos bourgeois de droite UMP, style Serge Dassault, ne se fait plus que sur des questions sociétales comme le droit des homosexuels»[iii]

  

Voici l'avis de Gilad Atzmon de février 2014 à propos de la gauche : 

 

« Bon nombre dentre nous étaient inspirés par la pensée politique de gauche des années 60-70 et embrouillés par le progressisme pendant un certain temps. Pour une raison quelconque, celle quon appelle « la nouvelle gauche » a très rapidement fait des compromis sur des sujets cruciaux que sont le travail ou la politique envers la classe ouvrière. Au lieu de se mettre du côté des travailleurs et des gens qui luttent pour améliorer leurs conditions sociales, la gauche post-soixante-huitarde a adopté le discours de la politique identitaire, destiné à diviser la société et à marginaliser la classe ouvrière. Cette approche a conduit à une paralysie politique qui a préparé les fondements dune invasion de la finance, de la culture de lhégémonie et de la globalisation. »[iv]

 

Que vous inspirent ces propos?

Il est vrai qu’entre le discours socialiste, avec son dénigrement systématique des adversaires, et la réalité politique, il y a un abîme béant. La gauche actuelle continue à pratiquer un discours syndicaliste, humaniste et se présente en défenderesse des démunis. En réalité, elle a trahi depuis longtemps les « sans dents » — j’observe que ce mot ignoble de François Hollande à l’égard des pauvres aurait coûté son poste à un président «de droite» —, soit par son embourgeoisement indéniable et son enrichissement personnel indécent sur le dos de l’économie libérale qu’elle fustige, soit par sa soumission au diktat néolibéral de la globalisation. Hélas, dans un monde qu’elle a décrété absurde, sa schizophrénie passe presque inaperçue. Pour masquer sa propre dérive, elle nous enfume en accablant les autres sans motif.

 

Êtes-vous prêt à avoir un débat de fond avec Christian Levrat concernant les idées politiques?

Evidemment. S’il condescend à argumenter plutôt qu’à insulter son interlocuteur, le débat risque d’être nourri.

Propos recueillis par Alimuddin Usmani, le 16 septembre 2014

 

 

[i]http://www.laliberte.ch/news/suisse/l-ombre-du-fascisme-plane-sur-l-udc-256480#.VBhUK1eUiVo

 

[ii]http://www.lematin.ch/suisse/Pour-Christian-Levrat-l-UDC-est-sur-la-voie-du-fascisme/story/15025417

 

[iii]http://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Alain-Soral-sur-l-actualite-suisse-19664.html

 

[iv]http://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Gilad-Atzmon-sur-Dieudonne-Alain-Soral-et-le-sionisme-23181.html

 

23 commentaires

  1. Posté par pépé le moko le

    Freysinger est admirable et courageux, dommage qu’il soit conseiller d’ Etat et donc forcément jugulé dans ses paroles, fonction oblige !
    Bonne suite Oskar, la Suisse vous attends !

  2. Posté par Un Algérien le

    Heureusement que la Suisse a un Monsieur comme Freysinger.
    Les socialistes Suisses sont hors sol…ils vivent sous un dogme idéologique qui les aveugle. Oui, c’est bien d’être humaniste, généreux, internationaliste, rêveur. Mais, le monde a changé et il faut que les socialistes regardent le réel. La situation géo-économico-politique n’est plus celle des années 40.
    A chaque fois que j’entends un socialiste Suisse s’exprimer sur un sujet de société important ( immigration, Asile, criminalité etc… ) je me sens transporté dans un fable de Bisounours…un monde merveilleux plein d’humanité, d’amour ou tout est beau, simple, possible

  3. Posté par KANDEL le

    Francis Richard : Le socialisme échoue toujours, quelles que soient les formes qu’il prend, communisme ou social-démocratie, parce que la création de richesses ne se décrète pas, parce qu’elle n’est pas le résultat des stimuli des dépenses publiques, qui ne permettent que de faire plaisir à sa clientèle électorale, parce que seule la liberté économique permet la prospérité.
    Le libéralisme est une anarchie (par exemple Steve Jobs qui débute dans son garage, bien sûr sans aucune subvention ou autre incitation étatique, …, Henri Ford, …., Pasteur, …, Alexander Fleming,…, peut-être toi-même lecteur attentif, …. ) avec le respect des autres et des propriétés.
    Jean-Louis Caccomo : Le marché est cette réalité par laquelle tout le monde peut vivre en faisant vivre tout le monde. […] Au demeurant, c’est précisément la fonction du marché que d’articuler des décisions motivées par la poursuite de nos intérêts individuels.

    C.North & R. Thomas : De par son principe même, le commerce crée de la richesse en transférant des biens, à partir de personnes qui leur accordent une moindre valeur, vers d’autres qui leur reconnaissent une plus grande. Dans un échange volontaire, les deux parties sont gagnantes. En outre, la possibilité de commercer permet la spécialisation et abaisse le coût de l’invention et de l’innovation, apportant par là un nouveau supplément de richesse collective.

    Turgot (1727-1781) : Le vrai rôle de l’État: éliminer les obstacles à la liberté et assurer le respect du Droit.

    Pascal Salin : Le libéralisme est une anarchie avec le respect des autres et de la propriété.

    Ludwig von Mises : Le socialisme ne produit rien, il se borne à dissiper ce qu’a créé la société fondée sur la propriété privée des moyens de production. Étant donné qu’il ne peut pas y avoir d’organisation socialiste de la société, toute étape dans la voie du socialisme aboutit à la destruction de l’ordre existant.
    Alexis de Tocqueville : Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle ; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine ; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme ; ce qui caractérise [les systèmes qui portent le nom de socialisme], c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières ; c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je ! son maître, son précepteur, son pédagogue ; que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir ; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine. À ce point que si en définitive j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude…

    Boukovsky: Le socialisme est devenu partie intégrante de la mentalité occidentale.
    Cette lancinante douleur de la liberté

    Boukovsky: Sous couvert de construction européenne, le socialisme est en marche sur le Vieux Continent ».
    « Les bolcheviks ont dû exterminer quarante millions de personnes avant de parvenir à établir leur monopole de la pensée. En Europe il a été accepté sans que personne n’ait tiré un seul coup de feu. C’est étonnant. Le fait de ne plus voir le débat politique qu’au travers du prisme de ce qui est « correct » – et de ce qui ne l’est pas – représente pour moi la plus grande menace contre la liberté depuis l’effondrement du communisme ».
    S’il est difficile de prévoir précisément quand, l’Union européenne s’effondrera à son tour :
    « Il est probable qu’elle va continuer de s’étendre de manière incontrôlable. Elle sera incapable de s’arrêter jusqu’à ce qu’elle tombe d’épuisement, comme son prédécesseur ».
    Avec le risque qu’elle nous enterre « sous ses décombres, dans une situation économique catastrophique ».
    Ne peut-on pas la réformer ?
    « En fait, les structures et les concepts socialistes sont irréformables. Ils ne peuvent que s’effondrer sous le poids de leurs propres contradictions, comme l’Union soviétique elle-même. Mais cela ne se fait qu’au terme d’une longue évolution, lorsqu’il ne reste plus une goutte de combustible pour entretenir encore la fiction que la machine avance et que son idéologie constitue l’horizon insurpassable de l’humanité. »

    Boukovsky: Il est étonnant qu’après avoir enterré un monstre, l’URSS, on en construise un tout autre semblable, l’Union Européenne.

    Boukovsky: L’EXPERIENCE SOVIETIQUE A PERMIS UNE CONCLUSION TOUT A FAIT INATTENDUE : NOUS AVONS PU CONSTATER QUE LES BIENS, LA PROPRIETE NE SONT NULLEMENT UNE VALEUR MATERIELLE, MAIS AU CONTRAIRE SPIRITUELLE. POUR L’IMMENSE MAJORITE, C’EST PLUS EXACTEMENT UN MOYEN D’EXPRESSION, DE REALISATION DE SOI.

    Boukovsky: L’égalité est un état artificiel qui demande à être constamment entretenu d’une manière artificielle. Les hommes ne sont pas égaux par définition.

    Kandel: L’égalité, au sens « des socialistes », ne peut exister, pour des humains, que dans une situation de misère absolue, lorsqu’aucune ressource n’est présente.
    Dans ce sens, le seul exemple d’égalité socialiste serait le suivant : des hommes nus dérivant sur un morceau de banquise qui s’est détaché, et cela par une température de -20 C°.

    Igor Chafarévitch (Le phénomène socialiste):
    Kandel : Si l’on devait résumer en deux mots le livre Le phénomène socialiste de Chafarévitch, ça donnerait cela: le socialisme c’est l’amour de la mort, le capitalisme c’est l’amour de la vie.

    La pensée du jour de Jean d’Ormesson 4 mars 2014 : “Je suis pleinement favorable au mariage gay, mais seulement entre socialistes. Tout ce qui peut contribuer à leur non-reproduction est un bienfait pour tous!”

    Thomas Sowell : Le socialisme ne fonctionne qu’au paradis, où l’on peut s’en passer, et en enfer, où on l’a vraiment.

    Gustave Le Bon : Si la jalousie, l’envie et la haine pouvaient être éliminés de l’univers, le socialisme disparaîtrait le même jour.

  4. Posté par KANDEL le

    Jessica, … en plein dans le mille !
    En mai 40, Churchill expose courageusement la situation : « Je n’ai rien d’autre à offrir que du sang, de la peine, de la sueur et des larmes ».
    Notre CF, composé majoritairement de mauviettes, se serait aplati devant Hitler puisqu’il le fait maintenant devant l’UE, la bienpensance ambiante, la dictature du politiquement correct !
    Demander du COURAGE à Mmes Leuthard et Sommaruga ou à M. Burkhalter ça déclenche irrésistiblement un fou rire impossible à contenir.
    Il s’agit du même rire jaune qui viendrait si l’on demandait de la DROITURE à Mme Widmer-Schlumpf.
    Décidément, on est mal barré, les Anglais avaient mis Churchill aux commandes en 1940, nous nous avons éjecté M. Blocher (notre Churchill) du CF en 2010.
    Les terroristes égorgeurs (musulmans, mais, pardon, il ne faut pas le dire) qui lorgnent sur notre pays doivent bien se frotter les mains !

  5. Posté par jessica le

    Pierre H. Renevey J’adore vos commentaires du 25 septembre 00h29, entre autre …. Le socialisme, je pense, est une maladie mentale dont ceux qui en sont atteint ont perdu tout contact avec la réalité. C’est une maladie mentale ……..etc. On ne saurait mieux dire.

  6. Posté par Pierre H. Renevey le

    Par ailleurs, d’où vient cette incroyable socialisation socialisante du monde Occidental ? Les valeurs qu’ont m’a enseignées à l’école primaire au début des années soixantes font aujourd’hui de moi un raciste nationaliste et un fasciste. Qu’est-ce que la perception a changé !!! Ou alors ? Il y a là une explication (qui est un fait) de ce qui s’est passé pour qu’un tas de monde perde ses repères et devienne gauchiste. Fantastique video, perle rare, en anglais sous-titré français d’un transfuge soviétique dans les années 70, Youri Bezmenov, qui explique le processus d’intoxication dont le résultat est catastrophique plus que jamais aujourd’hui et explique la gauchisation de la société occidentale.

    http://www.dailymotion.com/video/x9bn3i_yuri-bezmenov-techniques-de-manipul_news

  7. Posté par Pierre H. Renevey le

    Oskar Freysinger frappe toujours avec une précision chirurgicale ! Il trouve souvent les mots qui expliquent de façon claire les mêmes concepts que les miens sans que je n’aie la même aisance à trouver les mots appropriés pour les expliquer. Je trouve brillante son explication sur Hitler, Mussolini et le soit-disant « fascisme » qui n’est en réalité qu’une forme de socialisme.

    Le socialisme, je pense, est une maladie mentale dont ceux qui en sont atteint ont perdu tout contact avec la réalité. C’est une maladie mentale car tous ceux qui en sont atteint ont les mêmes symptômes. Ils pensent pareil, parlent pareil… La pensée unique, l’information unique (toutes les sources disent la même chose). C’est une folie de groupe, une folie collective. La maladie du collectivisme. Le nivellement de la pensée par le bas et surtout le bannissement de tous ceux qui pensent autrement et qui n’adhèrent pas au prêt à penser. Si ce sont eux qui continuent à nous « diriger », le monde court à sa perte. Les grandes inventions ou découvertes dans l’histoire de l’humanité sont le fait d’individus et non pas de collectifs ou de groupes. D’individus qui pensaient pensent autrement.

  8. Posté par J.Pierre le

    Bravo M. Freysinger. Je constate, que plus les caisses de l’Etat se vident, plus les élus, surtout de gauche, tentent de se servir à pleine main pour payer leurs fantasmes. Un peu plus de sérieux svp.

  9. Posté par coco Dannecy le

    Bravo à tous, vous avez une analyse de la situation en France, totalement juste.
    Pour y vivre, je peux vous dire que le totalitarisme règne, mais que voulez vous, on a le gouvernement qu’on mérite. Si je peux vous donnez un conseil, chaque fois que vous avez un prétentieux de gauche qui ouvre sa bouche, rappelez lui ouvertement le désastre que ces con-génères ont organisé. C’est la débacle totale ici.

  10. Posté par Alex le

    Je vois que les socialistes Suisses sont aussi cons que ceux où j’habite (La France)

  11. Posté par Jean Magnin le

    Et sinon, la caisse unique, un truck de gauchiste ?

  12. Posté par michel bertschy le

    M Levrat insulte l’UDC mais il ferait mieux de lire un peu l’histoire de ces deniers années. Bravo Monsieur Freysinger

  13. Posté par Pierre Cocasse le

    Pauvre Levrat, c’est un frustré… ne pas pouvoir faire jeu égal avec l’UDC sur le plan politique ça lui reste en travers de la gorge. Il paie ses magouilles avec la Widmer-Schlumpf. De plus en plus de citoyens ne se retrouvent plus à l’aise sous ses ordres. Bravo Oskar Freysinger pour votre réponse !

  14. Posté par oinoin le

    Bravo Oskar depuis des années je te suit est te rencontre a chaque occasion

  15. Posté par Masha Granges le

    Merci Oscar, heureusement il y a dans ce paysage politique désastreux UN homme qui n’a pas peur de d’affronter Levrat qui je l’espère disparaitra au prochaines élections. Un être dstructeur pour notre pays.

  16. Posté par Jean-Michel le

    Il fut un temps ou le socialisme défendait le social et les ouvriers, ce temps est malheureusement depuis longtemps révolu. Au sein du groupement socialiste, on compte bien trop de nantis, défendant de manière bien maladroite leurs acquis…. Pauvre gauche. Plus rien de constructif, juste la démolition d’autrui pour se mettre en valeur…..

  17. Posté par jcb le

    bravo Oskar et total soutien.

  18. Posté par Christine Bussat le

    Les Socialistes, Levrat en tête, ne sont pas capables de formuler une phrase sans prononcer le mot « UDC ». Certains combattent la criminalité, la pauvreté, l’injustice, mais les Socialistes, eux, leur priorité est le combat contre l’UDC. Laissons les faire! Le Socialisme est devenu inutile! Laissons-le quitter doucement, mais sûrement, toute crédibilité.

  19. Posté par C. Clément le

    C’est celui qui dit qui l’est, entendait-on dans les cours de récréation des classes enfantines. 

    Serait-ce une vérité universelle que celle qui sort de la bouche des enfants ? 

    Non mais soyons sérieux.  Nous avons la chance d’avoir, à côté de chez nous, et en français, le plus bel exemple de tentative d’instauration d’une dictature, par les moyens les plus fachistes qu’a connu l’Europe depuis Hitler. 

    Mais observez, de grâce observez ! 

    Lisez « boulevard voltaire », lisez et écoutez François Asselineau, lisez Soral, et suivez tous les liens que vous y trouverez. 

    Au début, vous ne pourrez même pas en croire vos yeux et vos oreilles. Mais quand vous aurez par vous-même observé la cohérence et la convergence de ce que vous y trouverez, le peu de ce que vous arriverez à croire vous suffira pour comprendre comment la gauche est en train de nous trahir, par ses propos fascistes, pour assigner la population à la dictature, au servage du Grand Capital. 

    Naïveté, inconscience et absence de capacité de discernement obligent, observez ccomment la gauche nous entraîne dans le mur, dans la révolution, dans la guerre, probablement à son insu. 

  20. Posté par Ueli Davel le

    Leverat et ses complice veullent mettre plus d’un tier des Suisses au goulag.

  21. Posté par john Simpson le

    La riposte d’Oskar Freysinger est pour le moins percutante! Levrat risque de regretter d’avoir enclenché cette polémique. Les analyses d’Alain Soral et de Gilad Atzmon sont également très intéressantes et difficiles à contrer…

  22. Posté par G. Vuilliomenet le

    Comme tout bon socialiste, je suis persuadé que levrat déclinera la proposition d’un débat avec Oskar Freysinger.
    Le courage n’est pas la vertu cardinale du socialisme, de la gauche en général.

  23. Posté par john Simpson le

    Voyons voir si Levrat relèvera le défi d’Oskar Freysinger au risque de passer pour un pleutre…

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