A Göteborg, en Suède, un homme de 43 ans a porté plainte contre l'hôpital dans lequel il était soigné après avoir entendu une conversation entre les médecins et son amie sur... le prélèvement de ses organes. Annoncé en état de mort de cérébrale par les chirurgiens, Jimi Fritze était encore conscient.
Victime d'une apoplexie, il est devenu totalement paralysé.
"Les médecins ont examiné le scanner du cerveau et ont expliqué à ma copine qu'il n'y avait plus beaucoup d'espoir et qu'il ne me restait pas beaucoup de temps à vivre". "Ma compagne pleurait tout le temps mais je n'étais pas en état de parler ou de bouger. Je ne pouvais qu'entendre". "Ils parlaient de donations, ils voulaient effectuer des tests sur mon foie et mes reins en vue d'un don à d'autres patients". "J'avais très peur de subir une mort terrifiante. Je craignais qu'ils m'incinèrent. Je me demandais si j'allais voir et sentir les flammes".
Un autre chirurgien plus expérimenté, rentré de vacances, après avoir à nouveau analysé le scan, ce médecin a directement réalisé qu'il y avait encore de l'espoir. L'administration de nouveaux médicaments a permis de faire diminuer ses lésions au cerveau. Quelques jours plus tard, Jimi était capable de communiquer avec sa famille à l'aide de hochements de la tête.
A l'issue d'une revalidation de deux ans, il est à nouveau en mesure de parler et de bouger, même s'il reste cloué dans une chaise roulante.
Extrait de: Source et auteur
comme dit le dicton la nuit porte conseil et qui va piano va sano. Cependant pour en revenir au dons d’organes quand on sait les nombreuses sales langues qui affirment avec fierté ,j’ai signé pour mes organes afin que quelqu’un puisse en bénéficier ,il y a fort affaire que le patient transplanté ne souffre pas d’un problème quelconque et ce d’autant si la personne a été sous traitement médicamenteux comme c’est souvent le cas chez les personnes plus toutes jeunes .Sans examen complet de santé du donateur comment peut-on être certain de l’immunité de ses organes ?