Sur son blog, le conseiller d'Etat Oskar Freysinger estime que la Russie du temps de l'URSS a opté pour la bonne voie en matière d'éducation, contrairement à l'Occident qui est toujours dans l'erreur.
Le conseiller d’Etat Oskar Freysinger a mis en ligne sur son blog (ofreysinger.ch) un article qui porte le titre «L’école, c’est le futur». Un paragraphe est particulièrement étonnant, puisqu’il donne en exemple à suivre la Russie communiste.
«Au lendemain de la révolution d’Octobre, la Russie a été soumise, une douzaine d’années durant, à des expérimentations d’une remarquable ressemblance avec les théories en vogue chez les pédagogistes d’aujourd’hui: «l’enfant au centre», l’«autogestion du savoir», etc. Contraint par la crise et les menaces extérieures de redescendre sur terre, l’Etat soviétique a brutalement mis fin à l’expérience pour revenir à l’enseignement des matières de base : langue maternelle, histoire, mathématiques, physique… Sans cette volte-face, la Russie n’eût jamais vaincu Hitler ni envoyé le premier homme dans l’espace. Sans compter le bagage scientifique, artistique et culturel qu’elle a réussi à préserver malgré la folie idéologique de son régime.»
Le chef du Département de la formation explique encore que si le régime bolchevique a réussi à prendre le bon chemin, l’Occident, lui, persiste dans la mauvaise voie pédagogique, contrairement à l’Inde et à la... Chine.
Et pendant ce temps, sur Twitter, le chargé de communication du Département d’Oskar Freysinger, Slobodan Despot, commente les derniers événements d’Ukraine: «Ukraine: en bref. Un président élu renversé par une meute armée appuyée par des barbouzes et des néonazis. La démocratie triomphe!»
Extrait de: Source et auteur
Et vous, qu'en pensez vous ?