Etude: Le lait maternel s’adapte au sexe du bébé

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Nouvelle contradiction de la "théorie du genre" ?

Les mères produisent un lait différent selon qu’elles donnent naissance à un garçon ou à une fille, selon une étude britannique.

« Les mères produisent des recettes biologiques différentes pour un garçon et pour une fille », a expliqué Katie Hinde, une biologiste de l’Université de Harvard. Des études sur des humains, des singes et d’autres mammifères ont révélé une variété de différences dans le contenu du lait et la quantité produite.
Ainsi les petits garçons ont du lait plus riche en graisse et en protéines donc énergétique tandis que les petites filles obtiennent de plus grande quantités de lait. Plusieurs théories ont été avancées pour expliquer ce phénomène, a relevé Katie Hinde lors d’une présentation à la conférence annuelle de l’Association américaine pour l’avancement de la science (AAAS) réunie à Chicago du 13 au 17 février.

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2 commentaires

  1. Posté par pierre-Henri Reymond le

    J’aime bien les mots de Stevan, en première et légère lecture. Je vais donc y répondre de manière viscérale, sans approfondir. A la suite de la lecture de quelques articles concernant la théorie du « gender », je suis fondé de croire que ceux qui la professent, dans nos contrées, la pervertissent par leurs motivations. Il se peut également que son initiatrice, dont j’ai oublié le nom, fasse de même. Çette théorie met en évidence des questions non dépourvues de sens. Par la bande, si j’ose dire. Même si ce ne sont pas les bonnes questions. Car, si j’ai bien compris le discours ambiant, la qualité de mâle ne serait pas déterminée par l’attribution d’organes reproductifs. Ce qui ne peut être une bonne question, puisque c’est une affirmation. La bonne question serait plutôt, « qu’est-ce qui fait de ce garçon un macho »? Et de cette fillette une future macho femelle? Sinon l’environnement direct et social, la mentalité du temps et du lieu.
    Comme le dit Stevan, « l’environnement est déterminant dans le processus de construction identitaire ». Notre environnement est, depuis longtemps, judéo-chrétien. Ne sommes nous pas, que nous le voulions ou non, en l’an 2014 après Jésus-Christ? Notre environnement est donc conditionné par une lecture de la Bible. Prenons, si vous le voulez bien, pour exemple le mariage, et un texte de référence qui s’y rapporte. » Que l’homme ne sépare pas ce que Dieu a joint ». Qu’est-ce à dire ? Que deux fois dans ma vie j’ai été une marionnette? Et en plus, ce sont elles qui m’ont jeté! Cela ne tient pas debout. Ce n’est pas tout car, si j’en crois le livre de la genèse, Dieu les a séparé! Et c’est Monsieur Adam qui change de nom après cette séparation. C’est écrit ! Pas en français, mais en petit-nègre. En hébreu! Ou dans la traduction du rabbinat français. Genèse 2:23 « celle-ci sera nommée Icha parce qu’elle a été prise de Ich ». Où diable est passé Adam?
    Mais ce n’est pas tout ! Car, juste avant dans le même verset, il la déclare « même », os de MON os et chair de MA chair. Le premier homo? En fait, je suis loin d’être certain que celle dont il est question ici soit une petite naïade propre à exciter le désir. Ce qui signifie, en deux mots, que tout est à revoir! Tout. Y compris les écrits du fameux Paul. Lesquels induisent la schizophrénie et là font accepter comme normale. En douteriez-vous? La messe de minuit, célébrée par le pape en personne à la basilique de Saint-Pierre à Rome, devrait vous convaincre. Pouvez-vous imaginez les enfants d’un Dieu sauveur invoquer sa pitié? C’est pourtant ce que Sa Sainteté et sa cour font!
    Et assurément, c’est un environnement déterminant. Mais, il n’y a pas que lui! Car une nulle sagesse, si séduisante fut-elle, ne circonscrira le mystère, dont le nom s’écrit en quatre lettres. Représentant toutes les formes du verbe être, au présent, au futur au passé.

  2. Posté par Stevan Miljevic le

    Ce genre de faits ne contredit pas la théorie du genre. La théorie du genre ne nie pas les différences biologiques, elle nient l’impact de cette même biologie sur la construction identitaire. Selon cette théorie, la plasticité du cerveau est telle que l’environnement est déterminant dans le processus de construction identitaire. A mon avis, il est plus intéressant de regarder du côté des différences physiques amenant une perception différente du monde (comme le fait Alain Soral dans “vers la féminisation de la société), dans l’impact des hormones masculines et féminines durant l’ensemble de la vie. Enfin, outre ces différences, il faut se demander simplement si ce nivellement est souhaitable, analyser les conséquences potentielles de ce bouleversement majeur sur la société. A mon avis, il est impossible de tenir une telle ligne, on ne peut pas faire passer le “bonheur potentiel” de quelques individus (je dis bien “potentiel” parce qu’il n’est de loin pas prouvé que d'”aider” les gens à choisir leur genre leur apporte le bonheur, certaines expériences menées jusqu’à ce jour ont plutôt largement tendance à aller dans un autre sens) avant le bien être commun. Promouvoir une telle théorie, c’est d’avance condamner encore un peu plus le taux de natalité alors que notre société a cruellement besoin de sang frais, c’est amener le trouble dans l’identité de gens qui sont bien établis dans leur identité sexuelle etc. En définitive, et comme toujours dans les idées aberrantes de la gauche, la défense des privilèges d’une petite minorité au détriment du bien commun. La gauche est une monarchie absolue qui s’ignore, une monarchie fondée non plus sur l’ordre traditionnel, mais sur l’incapacité des individus à canaliser leurs pulsions sexuelles et sur leur origine éthnique (forcément autre!) La gauche en est arrivée à un stade de régression si avancé qu’elle se positionne aujourd’hui à l’exact place de ceux dont elle critiquait hier les agissements….

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