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Mais pas un mot de Taubéria ou de Vallsdjinski et sa Tcheka pour excuser la maladresse d’un malfrat incapable d’échapper honnêtement à son poursuivant : y a plus de justice, vraiment ! Et voyez donc, en Suisse, comme ils sont beaux les résultats de l’analyse psy : un gars jugé inoffensif par son psy (encore une victoire de la psy..), mais dont le casier déborde de viols et de violences, se rend accompagné de sa « socio-thérapeute» à une leçon d’équitation … (suite: www://tdg.ch) N’y a que la Suisse pour offrir à un rastaquouère, gratis pro Deo avec l’impôt, ce que le pékin-contribuable ne pourra jamais se payer; ce n’est pas un paradoxe, c’est la réalité judiciaire de ce pays de cocagne ! Comme en France, la justice devancée par le crime, c’est tout à fait l’étape classique d’une société délitée, en fin de course, parce qu’il n’y a plus d’élites politiques; le chacun pour soi sectaire a pourri la nation depuis si longtemps que ce n’est pas un Hollande qui sera, aujourd’hui, capable de faire le ménage comme il faudrait; quand on a vu l’état de la Corrèze après lui, on se demande ce qu’il pourrait bien faire à mettre son nez, en outre, dans l’affaire syrienne: il n’y a plus d’Etat en France, il n’y a que des impôts et des profiteurs … officiels.
Que voulez-vous dire par comment, Monsieur Raymond?
Ce n’est pas le seul endroit ou cela se passe, premièrement chez nous avant l’arrivée de cette immigration, qui pense que nous leur devons tout et surtout appuyée par les autochtones gauchistes, jusqu’à la fin des années 70 nos maisons (je parle du Valais) étaient rarement fermées à clefs, même chose pour les véhicules, il y avait bien sur un ou l’autre habitant connu pour commettre des larcins, les immigrés italiens avaient une culture similaire à la notre.
Deuxièmement en Thaïlande ou au Japon, entre autres car je l’ai personnellement remarquée, c’est la même culture cela se passe aussi comme dans vos venelles turques.
En conclusion chez nous il faut un grand coup de balai qu’il soit de riz ou sig.
En marge voici un souvenir étonnant. Il y a quelque années, au cours d’un voyage en Turquie, je fais halte à Antalya. Passant dans une venelle pentue je vois une jolie boutique, fort bien achalandée. Elle est ouverte sur la ruelle. Le tenancier, pnché sur l’étalage est avenant. Ayant travaillé treize ans en Suisse il parle très bien le français. Nous fraternisons. Puis, le laissant répondre à d’autres clients, j’entre dans la boutique. Dans laquelle il y a une table, au milieu, sur laquelle une liasse de billets de banque est posée. L’équivalent de plusieurs centaines de francs. Les gens circulent dans les rayons et le marchand tourne le dos. Un peu après je lui demande s’il ne craint pas pour l’argent. Il me dit, presque ingénument, non! Pourquoi?
Vous rendez-vous compte? Et si nous demandions: comment?
C’est le monde à l’envers. Mauvais signal envoyé dans les banlieues.
Est-ce.à dire que finalement de se défendre contre un bracage, c’est s’exposer aux foudres d’une certaine justice ? Ça doit bien rigoler dans le 13eme arr de Marseille.
Bravo Tobira