Fort heureusement,la Première de “notre” radio veille et a donc offert au 12h30 ce dimanche la parole au Professeur Claude Rouiller, ancien président du Tribunal fédéral. Cet éminent juriste a pu à loisir expliquer que la proposition Guéniat était absurde et dangereuse.
"La sévérité accrue, le bannissement ou l’expulsion sont de fausses solutions qui nous sont servies et resservies pour des raisons politiques, mais qui ne marchent pas". De qui émanent ces fortes paroles ?
Du Chef de la police judiciaire neuchâteloise de l'époque Olivier Guéniat, propos tenus lors d'une interview accordée à l'Illustré en décembre 2010. Ses déclarations faisaient naturellement les délices de la bien-pensance qui tenait une référence policière de grand talent à même de ridiculiser le discours sécuritaire et ses solutions naturellement simplistes et inadéquates. Compte tenu de sa vulgate, ce docteur en sciences criminelles a très vite été érigé en icône suprême, appelé dès lors à donner son avis à chaque fois qu'un fait divers laissait à penser que la sécurité s'étiolait quelque peu.
De retour sur ses terres jurassiennes pour prendre la tête de la police cantonale de l'endroit, l'homme a démontré de brillante manière qu'il n'est de loin pas un imbécile, quitte à provoquer de violents maux d'estomac à ses inconditionnels. Que dit-il aujourd'hui dans un quotidien dominical ?
Que le nombre de délits commis en Suisse explose, que cette situation est incontestablement liée à la suractivité de certains requérants d'asile, notamment tunisiens et que le nouveau Code de procédure pénale et le Code pénal – avec ses jours amendes avec sursis – font doucement rigoler les délinquants qui au surplus contestent tout, y compris l'évidence tout en se moquant bien sûr de la police.
Voilà qui détonne quelque peu dans la bouche d'un homme qui d'ordinaire chantait plutôt "Tout va très bien Madamela Marquise". Olivier Guéniat ne se contente pas du constat, il propose une mesure choc, le prélèvement systématique d'ADN chez les requérants d'asile, à tout le moins celui des hommes seuls et sans papiers dont personne ne connaît la véritable identité. Compte tenu des diverses entraves infligées à la chaîne judiciaire, cette proposition constitue le seul moyen quelque peu efficace d'enrayer la dégradation de la sécurité et de contrarier un tantinet les délinquants qui prennent notre pays pour un self-service gratuit.
Naturellement, la chose a fortement déplu à la gauche qui, à peine revenue de sa stupeur de voir son héros tenir pareille ânerie, s'est empressée de dire tout le mal qu'elle pense d'une telle mesure. On stigmatise, on tient des propos réducteurs, on monte en épingle un phénomène marginal, on fait le lit du racisme et de la xénophobie, enfin bref l'éventail complet des reproches habituellement réservés au premier parti de Suisse. Compte tenu de cette situation, il y a gros à parier que bien du temps passera encore d'ici à ce que la proposition d'Olivier Guéniat devienne réalité. Peut-être faudra-t-il que le peuple bouscule l'inertie du Parlement par le biais d'une initiative populaire.
En attendant, on constate déjà les premiers effets de ce discours nouveau. Olivier Guéniat est désormais inutilisable pour la gauche, il faut d'urgence lui trouver un remplaçant. Fort heureusement,la Première de "notre" radio veille et a donc offert au 12h30 ce dimanche la parole au Professeur Claude Rouiller, ancien président du Tribunal fédéral. Cet éminent juriste a pu à loisir expliquer que la proposition Guéniat était absurde et dangereuse. Nul doute qu'avec de tels adjectifs, ce personnage a gagné son brevet de nouvelle référence pour tous ceux que le Commandant de la police jurassienne a laissés orphelins.
Je remarque que vous n’avez pas publié mon commentaire. Je vous rappelle qu’encore récemment le président de la Fédération suisse des fonctionnaires de police se plaignait de Schengen alors qu’il suffisait de connaître la situation en France pour savoir ce qui allait se passer:
http://www.24heures.ch/suisse/manque-15-000-policiers-frontiere-passoire/story/17681613
On peut se demander si une telle NAÏVETE, pour ne pas dire plus, n’est pas une faute professionnelle, puisque n’importe quel Français sait que sa police française n’arrive même plus à fonctionner faute de budget et d’ordres contradictoires:
http://www.reduitnational.com/?p=19403
Le résultat était pourtant évident pour n’importe quelle personne possédant un minimum de connaissances de la France. Il est fort désagréable que même en ayant raison de manière aussi évidente durant des années (je suis administrateur de sites patriotes français depuis 2004), vous ne m’écoutiez pas. A la place, vous préférez pleurnicher sur la gauche et ses techniques de manipulation alors que la France vous donne quotidiennement un aperçu de ce qui va se passer et par conséquent des ARGUMENTS pour contrer le fanatisme de ces apatrides. Et c’est parce que vous vous contentez de réagir au lieu d’informer que nos chères forces de police se trouvent aujourd’hui totalement larguées par ce qui leur arrive. Un tel mépris de votre part me dégoûte de tout le travail effectué durant ces années.
Comment se fait-il qu’aucun politicien helvète ne tienne compte de ce qui se passe en France depuis 30 ans? Je croyais naïvement que nos prétentieux représentants possédaient une vision “globale” mais visiblement ils sont ici dépassés alors que cette immigration maghrébine a prouvé ses méfaits chez notre voisin depuis belle lurette. Trop difficile d’analyser les problèmes juste de l’autre côté de la frontière? Les zones de non droit, les viols collectifs, l’hyper violence, racisme anti-Blancs sont-ils à ce point insignifiants pour que nos politiciens et autres policiers n’y réfléchissent jamais?
On croirait qu’ils découvrent le phénomène, eux qui se targuent d’être plus intelligents que la populace. Prévoir c’est gouverner ? Pas en Suisse malheureusement. La France a énormément à nous apprendre. Pas sur le plan des solutions mais sur le plan de la stratégie de la gauche pour arriver à ses fins et détruire un pays. Là aussi, j’encourage nos UDC à se pencher sur le cas français en profondeur.
Je rappelle que le Conseil fédéral est garant de la sécurité intérieure. Or c’est ce même Conseil fédéral qui ouvre aujourd’hui des centres de requérants d’asile à perte de vue au nom de “notre tradition humanitaire” tout en passant sous silence les dangers pour la population locale. Mieux même, on a vu un centre de requérants s’ouvrir à côté d’un établissement scolaire dans le canton de Vaud ! http://www.reduitnational.com/?p=22287
Il faut déjà dire que depuis les années 80, cette notion de «tradition humanitaire» est de plus en plus annexée par les politiciens dans une manipulation de masse sans limite. Or c’est un sophisme: Les étrangers en situation de danger ont été tolérés en Suisse tant qu’ils s’y tenaient tranquilles! En rejetant le renvoi des criminels étrangers, la gauche qui réclame tant cet accueil trahit en vérité l’essence même de cette tradition et ses conditions. De l’autre côté de la frontière, la gauche française utilise la culpabilité basée sur le colonialisme (en évitant soigneusement le chapitre des barbaresques ou le travail effectué pour les autochtones en Algérie) pour forcer les Français à accepter les Africains. On pourrait d’ailleurs énumérer toutes ces techniques afin d’être prêt à les parer (enrichissement, joie du multiculturalisme, le pays les a faits venir, on les a parqués et utilisés, ils pratiquent le travail que personne ne veut faire…). Autres techniques, même objectif.