Vaud: Un artiste joue avec son pénis devant des enfants

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Certains visiteurs n'ont visiblement pas apprécié: «Une mère a quitté la pièce avec ses petits enfants. Quand l'artiste Gregory Stauffer a fini par toucher son pénis, j'ai moi aussi été envahie par un sentiment de honte. C'était un peu 'too much', surtout en plein après-midi.» Reste que M.N. ne se fait pas de soucis pour sa fille adolescente: «Ce n'était pas dramatique, mais ça aurait été mieux d'informer les visiteurs avant le show.»

Karine Tissot, directrice du centre d'art contemporain d'Yverdon-les-Bains, confirme: «Nous n'avons pas fixé de limite d'âge pour cette performance.» Elle estime également qu'il est insensé de mettre en garde les visiteurs. «Si nous l'avions fait, certaines personnes auraient exprès fait le déplacement pour ça. Nous voulions éviter cela.»

La directrice estime par ailleurs que la nudité ne doit pas être «diabolisée». «Le show n'est pas pornographique. On ne doit surtout pas confondre une performance artistique avec de la pornographie.»

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27 commentaires

  1. Posté par ahmed derrous le

    Je crois que cet « artiste » n’a rien d’autre à montrer en dehors des attributs qui font de lui un…mâle, j’allais dire un animal. Spectacle minable suivi par des spectateurs à la mine pitoyable.
    able.

  2. Posté par Balda le

    Un énorme paquet de merde. Il faut enfermer le trou du cul qui s’excite comme un con qu’il est.

  3. Posté par Cenator le

    @ Jim Jardashian
    Vous oubliez la cinglée qui pond des œufs et exhibe son corps sculpté par la chirurgie esthétique, fait tripoter son sexe par des usagers des transports publics, … en espérant véhiculer ainsi des messages moraux!

  4. Posté par Nicolas le

    Bon synopsis, Jim.

  5. Posté par Charles Alexis le

    @Jim Jardashian
    « Il fait bien sombre dans la ville de(s) Lumière(s). »
    Joli !
    Au siècle dit « des Lumières », tout n’était déjà pas forcément clair.
    Avec le temps, il me semble que de plus en plus d’artistes, d’exposants et critiques n’aient plus vraiment la lumière à tous les étages. 

  6. Posté par Célestine le

    Merci Jim Jardashian pour votre vaste culture. J’ignorais tout ça. Finalement, l’arrivée de l’Inquisition New Age (suivez mon regard voilé) mettra peut-être fin à toute cette fumisterie merdique qui va de pair avec les autres manifestations sataniques genre inauguration Tunnel du Gotthard et concerts des Eagles of Death Metal. Quoi que ….

  7. Posté par Tommy le

    Dans le public, on remarque pas mal de femmes dans la cinquantaine.
    Peut-être assistent-elles à ce  » happening » par nostalgie de leur jeunesse, pour revoir ce qu’elles n’ont plus pu observer depuis des décennies?
    Plus sérieusement, amis internautes et exhibitionnistes, ne vous privez pas des chaudes journées de cet été indien.
    Déambulez en tenue d’Adam dans les rues de la ville de votre choix. Si l’on vous interpelle, déclarez simplement que vous êtes en fait un artiste se livrant à une  » performance » qu’il s’agit de considérer au deuxième degré.
    Ou alors, présentez votre attirail à la sortie des écoles et affirmez que l’éducation sexuelle des enfants a grand besoin d’être réactualisée.

  8. Posté par Jim Jardashian le

    Voici un autre aspect de l’Art Contemporain, l’art officiel du mondialisme et des élites hypermodnialisées.
    An(n)ales d’Histoire de l’Art en Régime de Modernité
    Quelques étapes dans l’assaut excrémentiel mené par l’Art dit Contemporain (on le dit aussi avant-gardiste ou moderne):
    1917: Marcel Duchamp inaugure cette noble entreprise en exposant un urinoir à New York, qu’il intitule tout innocemment « Fountain » (en français, Fontaine).
    1961: Piero Manzoni, bon élève du grand génie Duchamp (que certains n’ont eu aucun scrupule à comparer à Léonard de Vinci), expose et vend de la « Merda d’Artista » en boîte.
    Années 1960: A Vienne, sévit le Groupe d’action viennois, composé de personnages tels que Otto Mühl, Herman Nitsch et Günter Brus. En 1968, Brus effectue ce qu’il intitule « Aktion 30. Der helle Wahnsinn » (30e Action. La folie pure), au cours de laquelle il urine et défèque en public. Il commente en ces termes: « L’analyse n’a plus besoin de la symbolique, c’est désormais le corps lui-même, ses fonctions, réactions et excréments qui constituent le médium. » Le 7 juin 1968, à l’université de Vienne, Brus et Mühl organisent un évènement intitulé « Kunst & Revolution » (Art et révolution). On y fouette un masochiste en lisant un pamphlet, un philosophe y dispense ses élucubrations, et les membres du Direct Art Group jouent à celui qui urinera le plus loin. Brus se met à nu, se taillade le flanc, boit son urine, défèque et se barbouille le corps de ses excréments, se couche sur le sol et se masturbe en chantant l’hymne national autrichien. En 1970, à Cologne, Mühl et Nitsch remettent cela dans « Sang et matières fécales ».
    L’actionisme viennois donnera lieu à l’art corporel. François Pluchart, grand prophète de cette auguste discipline déclarera: « L’art corporel n’est pas le tout-à-l’égout des grands avortons picturaux du XXe siècle. Il n’est pas une nouvelle recette artistique destinée à s’inscrire tranquillement dans une histoire de l’art qui a fait faillite. Il est exclusif, arrogant, intransigeant. … Il renverse, refuse et nie la totalité des anciennes valeurs esthétiques et morales… »
    1993: Todd Alden, artiste new-yorkais auto-proclamé (comme le sont tous les Artistes Contemporains), décide de lancer le projet « Collector’s Shit: *Detachment from the Collection ». Alden eut l’idée renversante d’envoyer une requête de selles à 400 collectionneurs d’art dans le monde, en assurant ses contributeurs potentiels qu’en lui procurant des échantillons de leur fiente, ils participeraient à « a contemporary rethinking of the Italian artist Piero Manzoni’s epoch-making work ‘Merda d’artista' » (une reconsidération de l’oeuvre fondamentale de l’artiste italien Piero Manzoni « Merda d’artista »). Alden s’engageait à mettre les bouses en boîte et à exposer les boîtes. Un seul des collectionneurs répondit à l’invitation. Lors de l’annonce de son projet, Alden avait confié la chose suivante à un journaliste: « scatology is emerging as an increasingly significant part of artistic inquiry in the 1990s » (la scatologie est en train de devenir une part significative de la recherche artistique durant les années 1990). Il avait ajouté que dans cette action les rôles d’artiste et de collectionneur se trouvaient inversés, et que le collectionneur devenait le « créateur de l’oeuvre ».
    1997: A New York, le duo britannique « Gilbert and George » se distingue en exhibant des photos de leurs anus à côté d’images magnifiées de leurs excréments.
    2000: Pipilotti Rist, de son vrai nom Elisabeth Charlotte Rist, fort bien dressée par les personnages précédents, remet cela en plaçant une caméra infrarouge sous une cuvette de WC transparente, ce qui permet au sujet déféquant de contempler son activité. Cette « installation » s’intitule « Closed Circuit. »
    L’anglais est quasiment toujours de rigueur dans l’Art Contemporain, comme d’ailleurs dans les autres domaines du marché mondialiste (il suffit d’aller dans nos centres d’achat pour s’en faire une idée).
    2013: Martin Creed, au pedigree excrémentiel impeccable, expose une pyramide de rouleaux de papier de toilette dans une galerie très tendance (c’est normal, non ?) à New York, le prix de ce remarquable assemblage n’étant que de 90.000 euros (c’est presque donné !).
    A l’occasion de cette démonstration d’originalité stratosphérique, la critique d’art états-unienne Roberta Smith se pâme devant l' »esprit subversif » (« subversive wit ») de Creed et son « sens plutôt contenu, presque classique de la beauté » (« rather restrained, almost classic sense of beauty »). Parler de mesure à propos d’Art Contemporain, qui est une des manifestations centrales de l’illimité dans le domaine culturel, c’est une prouesse qu’il faut apprécier.
    Remarquons qu’un artiste contemporain — ou plasticien, comme ces personnes aiment aussi à se décrire — est, il faut bien le dire, toujours subversif, cela est canonique; s’il ne l’était pas, il ne serait pas contemporain et serait ignoré par nos organes de propagande, les médias (ou merdias) dominants.
    2014: Paul McCarthy, un « late bloomer » dans la mouvance scatologique, mais au pedigree qui ne laisse aucun doute sur le sérieux de son militantisme anal et sodomite, soutenu par la Mairie de Paris et les plus hautes instances gouvernementales, installe une réplique gonflable géante et verte d’un godemiché anal à la Place Vendôme.
    Elève parfaitement rompu à la discipline excrémentielle de « notre-père-qui-êtes-aux cieux » Marcel Duchamp et de ses successeurs ingénieux et inégalés, McCarty nous refile le coup de l’innocence en intitulant son godemiché « Arbre » et, de surcroît, le décrit comme « un arbre de Noël » (un arbre dans la plus pure tradition minimaliste, s’entend, puisqu’il ne comporte aucune décoration ou illumination).
    Des sans-dents patriotes qui en ont ras le bol de se faire humilier par l’Art Contemporain dégonflent l’Arbre enculeur en coupant ses cables. Le président de la Hollandie, outré, exprime son indignation face à cet acte blasphématoire et iconoclaste en nous déclarant tout à fait sérieusement que McCarthy a été « souillé dans son art. »
    2014: La ville de Paris, n’étant pas encore satisfaite, remet cela en ouvrant les portes de la Monnaie de Paris au sire McCarthy qui y expose des bouche-culs en chocolat. Il fait bien sombre dans la ville de(s) Lumière(s). 
    2016: A Manifesta 11, la biennale d’art contemporain qui se tint à Zurich du 9 juin au 18 septembre, le scatologue californien Mike Bouchet présente « The Zurich Load », à savoir 300 caisses de bois remplies des excréments produits par les habitants de la ville en un jour.
    Astrid Näff, « art mediator » de Manifesta 11, nous assure, en anglais naturellement, que ce tas de merde a « prompted lively discussions even before Manifesta 11 opened its doors » (suscité des discussions animées avant même l’ouverture des portes de Manifesta 11).

  9. Posté par laurent le

    Il faut poursuivre ce pervers en justice pour exhibitionnisme et les parents doivent déposer plainte. Se servir du prétexte de l’art pour pervertir les valeurs morales et mieux détruire la société en prônant la sexualité débridée est au programme des mondialistes qui avancent leurs pions puisque le transgenre est encouragé par l’ONU. Dans le même style : le plug géant gonflable à Paris, le vagin de la reine (sculpture) dans les jardins du château de Versailles, et maintenant des pénis géants et dessins obscènes sur des façades à Saint Gilles. Tout cela ressort du même combat et l’étape suivante: pédophile, zoophilie…..https://www.youtube.com/watch?v=DFwgMy7R8bY

  10. Posté par Charles Alexis le

    Et puis quoi encore, demain, les pédocriminels demanderont que leur « art » soit aussi reconnu ?
    Ca commence vraiment à déconner grave !

  11. Posté par Steiner André le

    L’art Suisse dans toute sa splendeur (ou pas) !!! On a touché le fond !! Se montrer en publique les c……. à l’air c’est purement de l’exhibition et rien de plus. Demain je peux être artiste ! Faut l’envoyer à l’Eurosong avec l’armée du salut à poil et on a des chances de gagner cette fois !! Misère.

  12. Posté par Michel le

    ça, une « performance » ? Imposer cela à un public venu en confiance assister à un spectacle, c’est un délit !
    Jouer avec son corps est un stade du développement qui n’appartient qu’au petit enfant.
    Nos enfants, nous, sommes les proies de soi-disant « artistes » tarés qui seraient mieux à leur place en instituts spécialisés pour exhibitionnisme ainsi que leurs malades de psychologues .
    Après le « plug anal » place Vendôme, le « vagin de la Reine » à Versailles, voici que nous continuons à êtres assaillis par d’autres tarés , tout un ramassis de malades du sexe .
    Cette imposture contemporaine n’est en fait que de l’ordur’art.

  13. Posté par Vautrin le

    Si « être en phase avec son temps » c’est être pervers, notre civilisation est perdue ! De telles exhibitions méritent la vindicte de la foule, et, pourquoi pas ? Le supplice d’Abélard.

  14. Posté par Vivi le

    Quand il n’y plus de limites …. ils iront encore plus loin … il aurait pu aussi jouer avec son trou du cul .. qui produit de l’art lui aussi ?!

  15. Posté par Chambaz le

    N’importe quoi! Mais on devient fou!…???

  16. Posté par Propane Nightmares le

    Un artiste ça ? Un malade mental exhibitionniste qui dans n’importe quel pays normal aurait été mis en taule… si vous avez été choqué, tout mon respect, et bravo : vous faites partie du peuple décent …

  17. Posté par Sophie Edouard le

    Bon maintenant on est prévenu.. la prochaine fois que vs verrez un exhibitionniste ça sera nommé « une performance artistique »…

  18. Posté par Gaston Siebesiech le

    Il faut absolument soutenir le lard contemporain, une vrai cochonnerie que ces dames selon la photo semblent admirer.

  19. Posté par Martin Leu le

    Il vaut la peine de se pencher sur ce que proclame le site du Centre d’art contemporain d’Yverdon. «L’ex Galerie de l’Hôtel-de-Ville rebaptisée CACY (à prononcer comme kaki) s’est fixé un nouveau cap ambitieux et donné une identité et un fonctionnement plus en phase avec son temps. A la fois pointu et soucieux d’atteindre le plus grand nombre, son projet est bien ficelé, l’attente grande et la volonté politique affirmée… Le centre est un espace qui s’affirme à la fois comme un laboratoire dynamique de l’art en train de se faire et comme une plate-forme d’ouverture et de partage avec le public».
    Donc, le type qui sa balade à poil sur scène et se touche la queue en public «fonctionne plus en phase avec son temps et son projet est bien ficelé».
    Donc, un crétin qui s’exhibe devant une école pourra désormais rembarrer en ces termes le gendarme qui voudrait l’embarquer: «Je fonctionne en phase avec mon temps et je pratique un art bien ficelé, soutenu par un laboratoire dynamique de l’art en train de se faire… Je suis irréprochable puisque sponsorisé par les autorités de la ville d’Yverdon.
    Retenez bien le nom de la directrice de ce machin tordu: Karine Tissot. Elle vient d’inventer une nouvelle vision de l’exhibitionnisme pervers. On verra si la justice approuvera ce concept !

  20. Posté par Bussy le

    C’est un message subliminal contre les restrictions budgétaires…. plus de fric pour acheter des costumes !

  21. Posté par Yves le

    Ça paie bien ? Parce que ça, j’arrive aussi sans problème …

  22. Posté par aline le

    Alors c’est ça la culture qu’on soutient avec de l’argent publique? Quel est la contribution culturelle de montrer quelque chose qu’on n’a pas envie de voir? J’aimerais bien savoir dans quel contexte cette « exhibition » a eu lieu.

  23. Posté par Le Taz le

    Un pas de plus dans la décadence, montrer ses parties génitales, une performance artistique !!! C’est quoi la prochaine performance artistique, s’enfiler une batte de baseball dans le…. ?

    Je me pose une question, qui peut être assez con pour aller regarder des trucs pareils ? Il faut à coup sûr être de gauche ou s’informer sur la TSR !

    Qu’il aille faire ses conneries dans l’espace celui-là !

  24. Posté par Nicolas le

    Si se frotter le manche est une performance artistique, plus besoin de faire les beaux-arts pour percer.

  25. Posté par white elefant le

    « Si nous l’avions fait, certaines personnes auraient exprès fait le déplacement pour ça.  » Euh, sans oublier ceux qui n’auraient PAS fait le déplacement! Ce qui serait intéressant à savoir: qui a payé pour ca? Combien de subventions d’impots?

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