Urgent: Un appel à l’aide du dessinateur Artiste Mal Pensant

Son appel suite à son éviction de son école d'art. Nos bien-pensants qui se gargarisent de morale n'hésitent pas à briser la vie d'un jeune homme pour quelques dessins mais s'agenouillent devant des requérants d'asile qui profitent de nos largesses sans aucune limite.

Ici pas d'Ovam ni de Caritas pour s'apitoyer, financer le médecin, la nourriture, l'appartement, le dentiste, les déplacements... Il est vrai que dans l'esprit gauchiste, l'entraide ne peut se conjuguer que pour les allogènes, les Suisses étant "naturellement riches".

Si nous ne sommes pas capables d'aider nos jeunes face à l'inadmissible, alors à quoi servons-nous?

"Bonjour à tous, Ma situation est catastrophique. Pour ce qui est de mon diplôme, c'est complètement foutu mais merci de ne pas prendre à parti l'école, la situation est déjà assez tendue comme ça.

Je dois IMPÉRATIVEMENT trouver du travail dans les plus brefs délais. Un rapide stage en carrosserie m'a montré que ce n'est pas ma voie et que la reprise de formation n'est pas envisageable.

Je cherche donc un emploi non-qualifié dans des domaines variés: déménagements, logistique, livraison, gardiennage... dans la région Chablais-Val d'Illiez.

Il me faut un revenu me permettant de subvenir à mes propres besoins, obtenir mon autonomie et calmer de nombreuses tensions le plus vite possible, c'est vital. M'aider en ce sens est ce qui me rend le plus service. Je vous remercie de vos soutiens."

Julien Udressy

Lien de son facebook pour prendre contact.

10 commentaires

  1. Posté par Wallace le

    Ses dessins sur les juifs étaient parfois très « limite » et son propalestinisme soralien ne me plaisait pas trop. Pour autant, je trouve que son école est allée beaucoup trop loin en le renvoyant…

  2. Posté par Vengeur le

    Voilà ce qu’est la saloperie gauchiste, ainsi que tout ceux qui défendent cette « morale » faussement humaniste mais bien faschiste Cette société de malade commence depuis quelques années à payer ses propres excès. La suite ??? La guerre civile et le chaos suivront c’est alors que certains se souviendront de ce qu’ils ont perdus et qu’ils ne retrouveront plus. Ce jeune homme n’a rien fait faux… il a dessiné ses pensées et cela n’est pas différend des caricatures de mahomet, on connaît la suite……..

  3. Posté par JeanDa le

    Je pense que son ex-école a fait une faute grave !
    Une école c’est fait pour enseigner, guider, contrôler la formation de ses élèves. Si l’un d’entre eux fait une faute, on le corrige, et si c’est grave, on l’oblige à s’excuser et à réparer dans la mesure du possible. ON NE LE FOUT PAS DEHORS !!!
    Et juste avant l’obtention de son diplôme, cela relève de la barbarie sadique.
    Quant à la licra, … non rien.

  4. Posté par Christian Hofer le

    Si cela est possible, j’aimerais que ce jeune homme soit aidé, que nos actes soient aussi productifs que le sont nos analyses.

  5. Posté par Jean Corminboeuf le

    Voilà qui me fait penser à un très bon artiste français, Marsault. Ses dessins sont très politiquement incorrects, mais le soutient de son public lui a permis de s’en sortir.

  6. Posté par Dominique Schwander le

    Cette méchanceté sadique d’expulser un étudiant juste avant son diplôme (alors qu’il dessine fort bien) est une attaque sous fausse bannière (« false flag attack ») destinée à museler la liberté d’expression des Suisses. En démocratie, dans le cadre d’une conversation, d’un débat public ou d’une publication, la critique argumentée ou humoristique envers une idéologie, une doctrine politique ou une religion est non seulement autorisée mais bienvenue, tant qu’on n’incite pas à la haine et à la violence physique envers telle ou telle personne qui pratique ou est manipulée par cette idéologie, cette doctrine politique ou cette religion. La directrice de cette école n’a le droit défendre ses croyances qu’avec des arguments; le mal dit, écrit ou dessiné et l’erreur doivent être combattus par la parole, par l’écrit, par l’humour, par le boycott, non par la loi, ni par la censure, ni par l’Etat, ni par la force, la violence ou l’expulsion d’un lieu de formation. Honte à cette directrice! La liberté d’expression inclut la liberté de rire, d’offenser et de choquer. Seuls la menace physique et l’appel à la violence peuvent être interdits dans une société civilisée démocratique. La liberté d’exprimer des opinions doit s’appliquer à tous, y compris à nos adversaires et aux étudiants. La liberté d’expression implique de tolérer les gens dont on juge qu’ils ont tort ou font un mauvais usage de nos libertés. La notion de crime contre une idéologie comme l’islam, contre une religion comme la juive ou contre la pensée n’existe pas, tout simplement parce que la seule définition rationnelle du crime c’est une agression physique contre la personne et les biens d’autrui.

  7. Posté par G. Vuilliomenet le

    Exact Philippe! Nous ne sommes qu’au début des procès staliniens en Suisse, pays qui devient de plus en plus rance et moisi.

    Sérieusement, merci aux petits commissaires staliniens de la CFR.

  8. Posté par Philippe le

    On touche à la base de la liberté d’expression ! Qui seront les prochains. Pourquoi pas le site « les observateurs ». Il faut faire une pétition en ligne pour ce jeune homme. Si nous ne faisons rien demain ça sera notre tour.

  9. Posté par Harpo le

     » Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer. »

  10. Posté par George Soros le

    Ce jeune homme sert d’exemple aux élites mondialistes qui veulent faire taire tous ceux qui sortent du rang. Pas besoin de chercher plus loin.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.