France. Education : l’enseignement de la langue arabe contre le djihadisme

post_thumb_default

 

Tribune de Marwan Lahoud, directeur général délégué, international, stratégie et affaires publiques d’Airbus Group, et Hakim El Karoui, ancien conseiller à Matignon et fondateur du Club XXIe siècle sur l’enseignement de l’arabe à « l’école de la République ». En laissant le champ libre aux associations religieuses, la République leur donne des moyens, puisque l’enseignement de l’arabe […]

Cet article France. Education : l’enseignement de la langue arabe contre le djihadisme est apparu en premier sur Fdesouche.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

2 commentaires

  1. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Convertir toute l’Europe à l’islam aiderait aussi à réduire le djihadisme- on y va?

  2. Posté par Vautrin le

    Quelle rhétorique spécieuse ! Récapitulons : puisque l’on n’enseigne pas systématiquement l’arabe à l’école, il s’enseigne en catimini dans les mosquées. Or les mosquées (enfin, certaines, hein, pas toutes !) sont des lieux d’endoctrinement au djihadisme. Donc enseignons l’arabe dans les écoles. CQFD.
    C’est ainsi qu’allah est grand !
    On ne voit pas quel intérêt il y aurait à dépenser l’argent spolié au contribuable pour enseigner à l’école la langue de l’envahisseur venu le remplacer sur son propre sol. Il s’agit bien ici d’une mesure communautariste, légalisant, en somme, le refus des musulmans de s’intégrer. Il n’est pas étonnant que Belkacem s’en fasse le chantre. Mais alors, pourquoi veut-elle en même temps la langue arabe et les théories du genre ? Il y a une incohérence notoire. Décidément, ce régime bananier est un sac de contradictions. Il est très nocif.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.