Avec:
Pierre Dessemontet, géographe et président du PS Yverdon-les-Bains, conseiller communal
Philippe Roch, consultant indépendant, ancien directeur de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV)
Uli Windisch, professeur honoraire d'UNIGE, professeur des Universités au niveau international et rédacteur en chef du journal sur Internet "Lesobservateurs.ch"
Sandro Cattacin, professeur de sociologie de l'Université de Genève
François Schaller, rédacteur en chef du quotidien économique "L'Agefi"
Johan Rochel, vice-président du Foraus, Forum de politique étrangère
Deux écoles de sociologie, dont une qui réfléchit, un socialiste assez précis, un journaliste qui fait plaisir et un blogueur peu averti. Assez loin de la hargne politique, deux clans, deux tranchées, l'une qui résiste et l'autre qui collabore.
Merci M.Géo, votre illustration est très claire.
Mais la date du crash étant située dans un futur indéterminé, nos autorités font de la “gestion par caterpilar” : on pousse le problème devant soi jusqu’à ce qu’il tombe dans un trou. Malheureusement dans ce cas, non seulement le “trou” n’est celui qu’on pense, mais en plus, le problème devient rapidement gigantesque.
A l’approche de la votation du 9 février sur l’initiative UDC sur l’immigration, un des grands arguments des opposants consiste à parler de pyramides des âges et de l’apport indispensable de l’immigration pour assurer le financement de l’AVS. Pyramide est un mot qui devrait immédiatement faire penser à jeu de l’avion, système de Ponzi ou « cavalerie », mais curieusement, aucun de nos beaux esprits des médias suisses n’a l’air de s’y intéresser.
Voici la description du fonctionnement du système de Ponzi tirée de Wikipedia :
« Imaginons que quelqu’un propose un investissement à 100 % d’intérêts : vous lui donnez 10 euros, il vous en rend 20 en utilisant l’argent déposé par les clients suivants (il lui suffit d’ailleurs de proposer un rendement double des rendements connus du marché pour s’attirer de la clientèle et pour durer). Le système est viable tant que la clientèle afflue, attirée en masse par les promesses financières (et d’autant plus tentantes que les premiers investisseurs sont satisfaits et font une formidable publicité au placement). Les premiers clients, trop heureux de ce placement mirifique, replacent leur argent eux aussi, s’ajoutant à tous ceux qu’ils ont réussi à convaincre.
Le phénomène fait alors boule de neige, entretenu tant que l’argent rentre et permet de payer à 100 % les nouveaux investisseurs. L’organisateur prend une commission, bien compréhensible lorsque l’on voit les promesses qu’il fait, et qu’il tient. Le système peut durer tant que la demande suit la croissance exponentielle imposée par ce système, les clients arrivant par 2, 4, 8, 16, 32, etc. Lorsque les nouveaux arrivants se font rares, la chaîne se coupe, la bulle éclate : tous les derniers investisseurs sont spoliés. Les gagnants sont ceux qui ont quitté le navire à temps. »
Dans le système des retraites suisses, les gagnants sont ceux qui sont décédés avant le crash…
Pour moi le vrai Suisse a travaillé et vécu dans les 4 Suisses et parle ces langues ou dialectes, très peu sans doute, plus le pays est petit plus les gens sont identitaires c’est normal, par contre le pays le plus ouvert d’Europe me semble L’Argentine ou L’Australie, on ne demande pas d’ou tu vient, mais de quel bateau sont descendus tes ancêtres
Comme Jacouille, j’ai sursauté en entendant la présentation de Mme Memerebachi. Rien d’étonnant venant de cette animatrice totalement orientée qui croît maîtriser ses «débats» en proclamant que c’est elle qui dirige l’émission!
Dès le début….la première phrase de Mamarbashi : ” y a t il trop de travailleurs étrangers en Suisse” ?…….alors que le sujet est : “y a t il trop d’étrangers en Suisse” ?…….NUANCE !….Déjà le sujet est biaisé par cette péronnelle dont on connait bien trop les opinions politiques !….
Sandro Cattacin: “c’est clair que certains étranger viennent pour l’argent, mais une grande partie (30%) viennent pour l’amour, des gens qui tombent amoureux d’un suisse, ça existe”
Il pense que amour et argent sont indépendants… Comment peut-on être aussi naïf!
Une nation repose sur un réel passé commun et sur une volonté d’association : ce qui constitue une nation, ce n’est pas parler la même langue, ni appartenir à un groupe ethnographique commun, c’est « avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore » dans l’avenir.»
Ernest Renan
Or que voit-on ? Des députées socialistes d’origine immigrée dont le seul but semble être de venger les difficultés qu’ont connues papa e mama lors des années passées. Et qui seront bientôt majoritaires partout, tellement les “Suisses” de papier aiment les femmes socialistes…
Entre 30 et 60 % d’étrangers en Suisse. Tout le monde, de gauche ou de droite trouve cela très bien, sauf Philippe Roch, qui soutient Ecopop et qui a bien raison.
Y a un truc qui n’a pas été dit. Les étrangers en question n’ont pas la même culture que les Suisses. Et cela se voit dans deux domaines : si vous allez au Kosovo, vous constaterez que les camions d’ordures jettent leur contenu à chaque virage des cols de la région. Comme ces beaux, ces ordures déversées partout dans la montagne. Jetez vos ordures par terre en Suisse, ne serait-ce que pour bien montrer qui c’est qui commande ici…
Deuxième point : le racisme anti-suisse allemand. Ces étrangers devenus Suisses après avoir trouvé leur passeport dans une pochette surprise détestent les Suisses allemands, et cela s’entend très fort dans les médias romands, la radio en particulier. Ecoutez les émissions dites comiques qui ne le sont pas du tout : elles sont strictment idéologiques.
Ou Durand-Vallade (belge) disant à Jacques Neyrinck (belge) : “vous êtes en fait le seul député qui fait qqch pour ce pays, la Suisse” Vous pensez que c’est de l’humour ? Alors faites un gag sur les Noirs ou les Juifs…