Mais où sont passées les féministes victimaires ?

article paru dans 20minutes.ch - par Abdoulaye Penda Ndiaye

Vaud: Elle se tire dans un genou pour incriminer son mec

 Résumé: Ces faits se sont déroulés à Sainte-Croix.
La femme est multirécidiviste avec un casier judiciaire chargé, sans activité lucrative.

[...] Durant l’été 2008, elle a écopé de 10 mois de prison pour brigandage, vol, délit manqué de vol, dommages à la propriété et violation de domicile. Cette condamnation avait été suspendue, mais elle en a ensuite connu bien d’autres, notamment pour des vols, des dommages à la propriété, des lésions corporelles simples et des affaires de stups. [...]

En couple à Sainte-Croix en 2020, enceinte, elle s'est plainte à la police que son compagnon avait été odieux et violent avec elle, "l’accusant de l’avoir étranglée, frappée, mais aussi d’avoir tiré sur son genou gauche avec une carabine à plombs."

Mais il s'est avéré qu'elle avait inventé ces histoires de toutes pièces pour se venger et qu'en réalité, c'est elle qui martyrisait son compagnon, lui a donné des coups de pied, coups de poing, a lancé contre lui des objets lourds, comme une plaque de marbre.

Elle été condamnée à une peine ferme de 120 jours de prison et à une amende de 400 francs pour dénonciation calomnieuse, et lésions corporelles simples qualifiées.

Sa nationalité n'est pas mentionnée, mais nous supposons que, si la dame était Suissesse de souche, cela aurait été rendu public.

Source: https://www.20min.ch/fr/story/elle-se-tire-dans-un-genou-pour-incriminer-son-mec-931916913195

**********

En réalité, les statistiques sur les violences conjugales sont totalement biaisées: il est très rare que les hommes portent plainte et la majorité des agressions commises par les femmes restent cachées; bien que l'issue fatale des agressions vienne davantage des hommes, surtout à cause des mœurs importées, mais aussi à cause de la force physique supérieure des hommes.

Les agressions psychologiques, les coups tordus se retrouvent d'une manière égale dans les deux camps. Mais la convergence des forces féministes fait que la souffrance des hommes est ignorée, et l'imposture de la victimisation automatique des femmes a encore de beaux jours devant elle.

L'histoire ci-dessus illustre également que c'est la femme qui a porté plainte alors que la seule victime de ce couple était l'homme, qui n'a fait que de se défendre devant la justice. Par miracle, le tribunal a démasqué la mythomane. Mais cette affaire aurait aussi pu finir tout autrement.

 Albert Coroz

*****

LES VIOLENCES CONJUGALES FAITES AUX HOMMES SONT IGNORÉES ! (11:05)

Dijon : Violences conjugales extrêmes d’un Soudanais “J’ignorais que c’était interdit en France. Au Soudan on fait comme ça.”

Un Soudanais de 43 ans a été condamné à huit mois de prison, dont cinq avec sursis, pour des violences à l'égard de son épouse, le 31 juillet.

"Un déchainement de violence, une sauvagerie extrême, une violence insupportable".

Le 31 juillet, un passant entend des cris effrayants au premier étage d'une résidence de l'avenue Jean-Baptiste-Greuze, à Dijon. Une jeune femme de 23 ans se fait tabasser sur le balcon, devant ses deux jeunes enfants. Cheveux tirés et arrachés, coups de poing et de pieds. La police constate que la victime a la tête en sang et le corps couvert d'ecchymoses et d'hématomes.

Lors de sa garde à vue, Mahel déclare : "Au Soudan, on pratique ainsi, j'ignorais que c'était interdit en France". Puis, les enquêteurs apprennent qu'il a déjà tenté une semaine avant d'étrangler sa jeune épouse, elle en porte encore les stigmates. Leur enfant de 5 ans a tenté de donner un tube en fer à sa mère pour qu'elle se défende, mais le père s'en est saisi et a frappé son épouse tellement violemment qu'elle s'est évanouie.

(...)

 

 

Le Bien public, 8 août 2018

 

Nos remerciements à street 45