Tentative de meurtre contre un politicien finlandais, élu d’un parti d’anti-immigration

Deux agresseurs ont pénétré de force chez Pekka Kataja et l'ont très violemment battu.

Vendredi matin, Pekka Kataja, un politicien finlandais, le président pour la circonscription de Finlande centrale du Parti des Finlandais (Perussuomalaiset), un parti eurosceptique et anti-immigrants, a été victime d’une tentative de meurtre dans son appartement à Jämsänkoski. Pekka Kataja avait d’abord dit à l’enquêteur que ses agresseurs avaient une apparence arabe, avant de se rétracter.

Le politicien a ouvert la porte après un coup de sonnette. Deux hommes, se faisant passer pour des militants du parti, lui ont demandé son nom et son identité avant de l'attaquer. Ils ont poussé la porte, l'ont renversé et, lorsqu'il a heurté le sol, l'ont frappé violemment.

Après le départ des assaillants, Kataja a encore pu avertir la police et les ambulances, qui sont arrivées rapidement. Sa vie a été sauvée grâce à une intervention médicale rapide.

Kataja a été grièvement blessé. Il a reçu 21 coups à la tête qui ont nécessité 151 points de suture. Selon les médecins, c'est un miracle qu'il ait survécu. Des fractures du crâne et des hémorragies cérébrales, entre autres, ont été diagnostiquées à l'hôpital universitaire de Tampere. De plus, son pouce et trois de ses côtes ont été cassés.

Vu les circonstances, les autorités parlent d’une agression politique. Cette hypothèse peut également être étayée par le fait que Kataja, en tant que représentant de la ville de Jämsä, a demandé à plusieurs reprises la suppression des centres d'accueil pour étrangers.

Au départ, les journaux ont parlé d’une tentative de vol. Puis d’une tentative de meurtre.
Jusqu'à mardi soir, le cas n'avait été rapporté que par la presse du Parti finlandais (Suomen Uutiset).

Ferenc Fenyvessy, Finlande

traduction libre, résumé: Cenator

sources: http://szentkoronaradio.com/blog/2020/07/20/arabnak-latszo-kopogtatok-vertek-ossze-egy-migracioellenes-politikust/

Pekka Kataja, who was the target of a suspected assassination attempt, on his way to a secret place - “I will hide there until the suspects are caught” | tellerreport.com

France: Tentative d’assassinat d’un surveillant de prison par des islamistes. “L’un d’eux a ensuite badigeonné la porte de sa cellule avec le sang de sa victime, et levé les mains au ciel afin de prier”

Ce dimanche 4 septembre, un membre des équipes de surveillance de la prison d'Osny a été violemment agressé par plusieurs détenus. Ces derniers auraient cherché à reproduire une mise à mort comme celles pratiquées et médiatisées par Daesh.

Des sources pénitentiaires font un récit glaçant de l'agression de l'un de leurs collègues, ce dimanche 4 septembre, à la prison d'Osny. Contactées par le Figaro, elles précisent qu'il ne s'agirait probablement pas de l'acte soudain d'un loup solitaire, mais bien d'un acte prémédité, organisé et coordonné entre plusieurs détenus. Aidés de complices, les prisonniers auraient attaqué un surveillant en tentant de reproduire une exécution comme celles pratiquées par l'Etat islamique : «Une lame de 25 centimètres très fine et très aiguisée qui a transpercé de part en part la gorge du surveillant à 2 millimètres de la carotide puis est passée à quelques millimètres du poumon.»

Toujours selon le personnel pénitentiaire de la maison d'arrêt d'Osny, l'auteur de l'agression, un certain Bilal T., aurait ensuite badigeonné la porte de sa cellule avec le sang de sa victime, et levé les mains au ciel afin de prier. Ce dernier, considéré par la justice comme particulièrement dangereux, aurait été arrêté en Turquie il y a quelques mois avec l'intention de rejoindre l'Etat islamique. Enfin, dans la cellule de l'un des détenus impliqués dans cette attaque, un téléphone portable a été retrouvé.

Le parquet antiterroriste de Paris a ouvert une information judiciaire pour terrorisme, et les enquêteurs s'interrogent désormais sur les liens entre ces détenus et Larossi Abballa, le tueur du couple de policiers de Magnanville le 16 juin 2016. En effet, dans sa dernière vidéo, ce dernier appelait à exécuter des surveillants de prison au même titre que des policiers.

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" Autrement dit, ces individus ne doivent pas se rencontrer, et il faut qu’il y ait au moins trois surveillants par détenu. Mais l’on préfère mettre en place des programmes qui n’ont ni queue ni tête. Nous sommes fatigués de ce mot de déradicalisation qui ne veut rien dire».

Ces détenus reçoivent des massages de masseurs professionnels et des cours d'escrime..."

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