Et la V ème République enfanta “Emmanuel Neron Macron”

Que Macron manipule, mente, insulte et méprise, franchement ce n'est pas une surprise. Jamais nous n'avons eu un président, dans le monde, qui méprise et insulte autant son peuple ! Sauf Neron, l'empereur fou de Rome, qui incendia la capitale et fit périr des dizaines de milliers de romains.

Mais je regrette que les opposants d'Emmnel Macron ne soient pas plus virulents sur son bilan. Pourtant, il y a le choix ! Jamais un gouvernement n'a eu autant de "démissions". Jamais un gouvernement n'a eu autant de ministres avec des problèmes de justice. Comme si les gouvernements de Macron avaient été constitués par les SPIP (services pénitentiaires d'insertion et de probation).

Jamais un entourage de président n'a eu autant d'histoires sordides : agressions sexuelles, vols, corruption, détournements de fonds, exhibitions sexuelles....  Avec des champions comme Benalla , Sybeth , Buzyn , Griset, Dussopt, Dupont-Moretti, Bayrou, Elimas, Ferrand, Fabius, de Sarnez, Goulard, Darmanin,...... liste non exhaustive ! Vingt huit ministres concernés. Le président du conseil constitutionnel aussi ! Il y aurait de quoi écrire un livre "Le casier judiciaire de la République".

Mais, dimanche, le "Vox Populi" a parlé. Les candidats de 70 % des français mécontents ont été écartés des arènes de la démocratie par "Neron Macron". Même s'il est détesté par tous ceux qu'il a déçus.

Jamais un chef de l'état de la V ème République n' autant occupé l'espace médiatique à son profit lorsque le pays croule sous les malheurs. Par exemple, en prononçant neuf allocutions sur le Covid-19 en à peine deux ans. Ou en usurpant sa fonction à des fins électorales lors d'échéances mal engagées pour LREM. Avant les dernières élections régionales, il a engagé un tour de France, aux frais de l'état, pour soutenir des listes LREM partisanes et incompétentes.

Plus récemment, il a usurpé sa fonction en retardant, jusqu'à l'extrême limite sa déclaration de candidature.

Emmanuel Neron Macron n'a jamis réussi à se défaire vraiment de l'image d'arrogance, voire de mépris, qui lui colle à la peau depuis ses années de conseiller à l'Elysée, puis au ministère de l'économie. Jouisseur, Emmanuel Neron Macron prend un évident plaisir à exercer seul le pouvoir suprême et à favoriser les grandes fortunes du pays.

Emmanuel Neron Macron, très ami avec Laurent Fabius et son fils Victor Fabius, a octroyé de gros marchés financiers à des cabinets conseils qui emploient  le fils Fabius. Et pas de la menu monnaie, mais des dizaines de milliers d'euros, dont les contrats ont été couverts par le président du conseil constitutionnel Laurent Fabius. Le livre enquête « les Infiltrés », écrit par les journalistes Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre, grands reporters à « l’Obs », a révélé que des cabinets de conseil (dont McKinsey, Accenture, Boston Consulting Group, Capgemini) avaient reçu des sommes fantastiques du gouvernement notamment pour connaître l’état des stocks de masques en France au début de la crise sanitaire.

Ce sont ces mêmes cabinets conseils qui, grassement payés, ont demandé au gouvernement de baisser les APL, et de retire 5 euros sur les APL des étudiants, citoyens vulnérables financièrement.

https://www.nouvelobs.com/politique/20210627.OBS45815/des-milliards-depenses-pour-se-substituer-a-l-etat-enquete-sur-la-republique-des-consultants.html

Le parquet national financier s'est saisi de cette affaire pénalement répréhensible. Mais le candidat Emmanuel Neron Macron a refusé de fournir la moindre explication sur ce qui ressemble à des détournements de fonds, impliquant Victor, le fils Fabius. S'il n'est pas réélu le 24 avril prochain, le citoyen Emmanuel Macron devra rendre des comptes à la justice. Réélu, il bénéficiera de l'immunité présidentielle pendant cinq ans.

https://www.nouvelobs.com/economie/20210623.OBS45630/les-bons-conseils-du-cabinet-mckinsey-au-president-macron.html

Le rapport des économistes, demandé par Emmanuel Macron et rendu le 23 juin, se réfère à quatorze reprises au cabinet McKinsey. Qui recommande l’intelligence artificielle pour améliorer le contrôle fiscal, la qualité de l’emploi et la productivité.

Or, les liens entre Emmanuel Macron et le cabinet McKinsey remontent à 2007. Emmanuel Macron est alors inspecteur des finances, à 29 ans. Il devient rapporteur général adjoint de la commission Attali, dont le rôle était de proposer des réformes économiques au président Nicolas Sarkozy. Emmanuel Macron impressionne l’assistance. Parmi les membres présents,: Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France, qui se lie d'amitié avec Macron.

“On se réunissait le soir jusqu’à minuit dans une salle du Sénat avec Attali et Macron, raconte un ancien membre de la commission au quotidien Le Monde. Dans les sièges du public, il y avait trois ou quatre jeunes de McKinsey. Ils faisaient des simulations sur Excel. Leur chef était si brillant qu’on l’écoutait comme s’il était membre à part entière”. Ce chef s’appelle Karim Tadjeddine. Il est passé par les prestigieuses écoles d’ingénieur françaises Polytechnique et les Ponts et Chaussées. Le cabinet McKinsey intervient gratuitement. Une mission appelée “pro bono” dans le milieu (“pour le bien public”) ou “reputation building” (“construction de réputation”) au sein du cabinet.

L'enquête du Parquet national financier a mis à jour une confusion des genres entre le cabinet conseil et Emmanuel Neron Macron et son entourage. Car une fois Emmanuel Macron élu en 2017, de jeunes consultants de McKinsey rejoignent le pouvoir et occupent  les postes clés de directeur adjoint du cabinet du secrétaire d’Etat au Numérique (Mounir Majoubi à l'époque), de chef du “pôle projets” de la République en Marche, de directeur général de la République en Marche. Éric Labaye, le dirigeant de McKinsey qu’Emmanuel Macron avait rencontré en 2007, a été nommé président de Polytechnique par Emmanuel Macron en août 2018. De son côté, l’ancien patron des Jeunes avec Macron, Martin Bohmert, a rejoint le cabinet McKinsey en 2020.

Le parquet national financier tente de déterminer si des sommes ont été versées par le cabinet conseil McKinsey à Emmanuel Neron Macron dans un paradis fiscal, avant sa première élection de 2017. Car rien n'a été mentionné dans la déclaration de patrimoine du même Macron en 2017. Cherchez l'erreur !

Le gâteau des cabinets conseils, grassement payés par les gouvernements de Macron, a bénéficié à Victor Fabius, fils de Laurent Fabius, nommé président du conseil constitutionnel par Emmanuel Neron Macron.

France: L’ex-ministre Sylvie Goulard touchait 10 000 euros par mois d’un « think tank » américain pro-UE

Avec pour mission de faire la promotion de l’Union européenne, le Council on the Future of Europe a employé l’eurodéputée durant deux ans, pour plus de 270 000 euros. Cette révélation survient peu après son départ du gouvernement.

Pour des revenus supérieurs à 10 000 euros par mois, Sylvie Goulard a occupé un poste de «conseiller spécial» pour le think tank «Council on the Future of Europe», peut-on lire sur sa déclaration d’intérêts financiers au Parlement européen de Strasbourg, révélée par le JDD le 25 juin.

Cet institut, qui «fait la promotion de l'Union européenne et contribue au débat d'idées», selon l’ancienne ministre des Armées, l’aurait rémunéré d’octobre 2013 à janvier 2016, précise l’hebdomadaire.

Cela représenterait au total des émoluments d’au moins 270 000 euros, versés par l’organisme basé en Californie à celle qui était alors député européenne.

«Tout était déclaré et ces sommes étaient brutes», souligne un proche de Sylvie Goulard cité par le JDD, alors que l’ex-ministre parle pour sa part d’un «non-sujet».

Fondé en septembre 2011 à l’initiative de personnalités comme l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair, l’ancien ministre de l’Economie français Jacques Delors ou encore l’économiste Alain Minc, le Council on the Future of Europe fait partie de l’Institut Berggruen, un think tank américain spécialisé dans la gouvernance. Il milite pour davantage d’intégration européenne.

Le 20 juin, Sylvie Goulard a annoncé dans un communiqué son départ du gouvernement d’Edouard Philippe.

Dans le JDD, le 25 juin, l’ancienne ministre laisse entendre que c’est l'enquête sur les assistants parlementaires du Modem, où son nom est cité, qui l’a conduite à quitter l’Elysée : «Vous imaginez un acte judiciaire me concernant en pleine opération militaire ou terroriste ? J'ai estimé que ce n'était pas possible. C'est tout.»

Source

Lorsque Sylvie Goulard, nouvelle ministre des Armées, était humiliée en direct par le frontiste Florian Philippot

Sylvie Goulard "Si vous étiez plus au Parlement Européen, vous sauriez qu'on est en train de la réviser Monsieur."

Florian Philippot "Mais Madame Goulard, je suis 24ème en France au classement du Parlement Européen. Vous êtes 40ème. 16 plages derrière moi."

Sylvie Goulard "Sur quels critères Monsieur?"

Florian Philippot "Mepranking, c'est le plus officiel qui a toujours été utilisé par les journalistes. (...) Je n'ai pas de leçons à recevoir de vous."