Swissinfo, financé par les contribuables, met sur orbite le droit de vote des étrangers en Suisse

Par RENAT KUENZI

Selon vous, qui devrait obtenir le droit de vote et l'éligibilité après les femmes? Pourquoi?

Le suffrage féminin est désormais une réalité dans le monde entier. Mais les étrangers, les jeunes et les personnes gravement handicapées sont encore souvent exclus. Devraient-ils également être autorisés à voter? Ecrivez-nous votre avis!

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Note : C'est la Confédération qui octroie des mandats à Swissinfo. Le directeur a pour tâche d’exécuter le mandat de prestations prévu par le Conseil fédéral et de positionner swissinfo.ch comme plate-forme d’informations leader en neuf langues, tant pour les Suisses de l’étranger que pour le public international intéressé par le pays.

La SSR est financée en grande partie par la redevance que paient tous les ménages et toutes les entreprises suisses. SWI swissinfo.ch voit son budget alimenté à 50% par la redevance et à 50% par une subvention fédérale, gérée par l’Office fédéral de la communication (OFCOM).

Swissinfo, financé par nos impôts, met de l’huile sur le feu : “Profilage racial, discriminations: en Suisse, un racisme structurel existe aussi”

Texte scandaleux de ce média  qui ne parle aucunement de toute l'aide que la Suisse envoie en Afrique et aux pays en voie de développement depuis des décennies sans aucun remerciement ni des crimes liés à l'immigration en Europe à l'encontre des Européens.

Tout ne doit être fait que dans un seul sens.

 


La situation du racisme en Suisse est, selon les spécialistes, sans commune mesure avec celle observée aux Etats-Unis. Les minorités, en particulier les personnes noires, sont toutefois plus souvent contrôlées par la police et toujours nettement pénalisées sur les marchés de l’emploi et du logement.

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Propagande de Susanne Leuenberger, spécialiste des religions: “L’islam est une religion suisse.”

Christian Hofer: Je vous laisse apprécier tous les mensonges de cette universitaire dont la rhétorique minimise la violence et la discrimination dont l'islam fait preuve à l'égard de tout ce qui est étranger à son dogme. Un "Suisse" converti n'a plus rien en commun avec ses compatriotes, ni sur le plan culturel, ni sur la nourriture, ni sur ses références cultuelles. Le respect même des lois suisses passe après les lois d'Allah. Le musulman au contraire traite le christianisme de religion mensongère, la Bible étant falsifiée pour l'islam. Quel splendide compatriote en effet.

Prétendre que la lapidation fait partie d'une religion "suisse", que la discrimination entre musulman et non musulmans est un élément qu'un Suisse peut revendiquer démontre le travail de sape qui est pratiqué aujourd'hui pour nous endormir. Les musulmans en position démographique favorable ne feront aucun cadeau aux non musulmans. Pendant que les islamistes continuent à découper du kouffar dans de nombreux pays, une universitaire nous chante les louanges du gentil islam, même lorsqu'il est fondamentaliste. On croit rêver!

Pire, elle prétend que seuls "quelques pays musulmans" sont coupables d'exactions et surtout qu'il faut regarder ailleurs pendant que les chrétiens sont génocidés, discriminés, condamnés à mort pour un blasphème fantasmé. Bien entendu, le génocide arménien, la souffrance des Macéoniens, l'occupation de la Bulgarie (il aura fallu 5 siècles à ce pays pour se débarrasser de l'islam!), les attaques répétées des musulmans contre l'Europe, l'islamisation de l'Albanie ne sont guère évoqués lors de l'interview. Il ne faudrait surtout pas que le Suisse se rende compte de ce qu'est réellement cette religion.

On rappellera que l'islam divise le monde en 3 parties, dont le charmant Dar al-Harb, le « domaine de la guerre », la discrimination et la conquête étant inhérentes à son fonctionnement.

D'autre part, ce sont les Suisses qui doivent accepter ces musulmans, qui doivent modifier leur vision alors que le musulman ne remettra jamais en question son dogme responsable de nombreuses atrocités, que cela soit à travers les barbaresques ou la traite arabo-musulmane. Car pour lui, l'islam est parfait et aucune accusation ne doit être tolérée.

Enfin, on relèvera toute la nocivité du socialisme dans le processus de conversion, nos femmes étant converties "après avoir rencontré un musulman". Or ce sont les socialistes qui ont ouvert les portes de notre pays aux nombreux Balkaniques musulmans, imposant cette immigration au nom de "la tradition humanitaire".

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Pourquoi la société suisse est-elle à ce point irritée et déstabilisée par les personnes qui se convertissent à l’islam?

Les convertis nous mettent en face d’une part étrangère et inquiétante de nous-même, ou, plus précisément, ils perturbent notre image de l’étranger. Tout à coup, les figures que nous voyons sur les affiches de l’UDC, c’est nous. Et, parce qu’ils sont aussi bien suisses que musulmans, les convertis ne nous permettent pas de nous démarquer de l’Islam comme d’un phénomène absolument étranger. On ne peut plus le considérer simplement comme la religion des étrangers.

On entend souvent parler de convertis impliqués dans des actes terroristes - déjoués ou perpétrés. Une menace très concrète?

Oui, l’environnement d’Al-Qaïda est aussi constitué essentiellement de «born again», des musulmans qui ont «redécouvert» leur foi ou qui le sont devenus. Une minorité de convertis se sent attirée par l’islam fondamentaliste – qui n’est pas nécessairement violent. Mais la grande majorité d’entre eux est constituée de braves gens tout à fait normaux. Il faut essayer de regarder l’islam en Suisse en faisant abstraction de tout ce qui se passe en Irak, en Arabie saoudite, en Iran et en Afghanistan. Les musulmans de Suisse sont bien intégrés et, jusqu’à présent, il n’y a pour ainsi dire pas eu de problème.

Pourtant, des convertis tels que Nicolas Blancho, du Conseil central islamique suisse (CCIS), n’encouragent pas vraiment l’intégration.

Blancho dit clairement qu’en tant que musulman suivant le Coran, il souhaite pouvoir porter en Suisse la barbe et le bonnet de prière sans passer immédiatement pour un terroriste. Mais, apparemment, ce n’est pas possible aujourd’hui et il ne fait pas avancer le débat. Je pense que le chemin sera encore long avant que les hommes barbus et les femmes en burqa ne fassent plus peur ou qu’on cesse de se demander s’ils sont vraiment suisses.

Il y a cependant plus de convertis. Qu’est-ce que cela signifie pour l’islam en Suisse?

Depuis l’initiative contre les minarets, les musulmans de Suisse ressentent le besoin de gérer leur image tout en cherchant pour eux-mêmes à définir ce qu’est l’islam en Suisse, quelle est sa place et quel rôle il pourrait y jouer. De nombreux convertis participent à ce processus. Ils savent comment fonctionne notre Etat, s’expriment bien et sont en mesure de défendre souverainement les droits des musulmans. On ne peut pas renvoyer un converti là d’où il vient. Ce qui montre aussi clairement que l’islam est bien devenu une religion suisse.

Est-ce qu’il est vrai que les nouveaux convertis sont surtout des jeunes hommes?

Peut-être qu’aujourd’hui, il y a davantage de jeunes hommes qui se convertissent. Mais, traditionnellement, la conversion est un phénomène qui concerne surtout les femmes et elle est souvent liée à une histoire d’amour. Les femmes se convertissent à l’islam après avoir rencontré un musulman ici ou à l’étranger.

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