Haine du Blanc : le “trouble mental” comme excuse à toutes les atrocités

Angleterre : Une fillette de 7 ans qui roulait à trottinette dans un parc a été assassinée par une Somalienne. Motif inconnu, nous dit-on !

Emily Jones (photo) était en train de profiter du beau temps avec sa famille dans un parc de Heaton, en banlieue de Manchester, le 22 mars, lorsqu’une Somalienne de 30 ans, assise sur un banc, l’a poignardée au cou mortellement.

Alan Walsh, le coroner chargé de l’enquête, a dit que la mort d’Emily était « l’un des cas les plus tragiques » qu’il ait eus à traiter au cours de ses 20 ans de carrière.

« La perte d’une enfant de sept ans si belle, innocente, vive, intelligente et adorable est une tragédie inimaginable », a-t-il répété. « Je comprends bien que les parents d’Emily soient plus que dévastés et mes pensées sincères sont avec eux. »

Au cours de l’enquête judiciaire, l’agente de police Rebecca Gardner a déclaré à la Cour : « Emily jouait sur sa trottinette. Alors qu’elle passait devant un banc en bois, une femme assise sur le banc l’a brusquement attaquée, la poignardant au cou et lui causant des blessures catastrophiques. »

L’accusée a été arrêtée sur place et détenue en vertu de la loi sur la santé mentale. Elle demeure dans un établissement de haute sécurité. Les réseaux sociaux l’ont identifiée comme une immigrante musulmane somalienne. La police n’a pas encore confirmé l’identité de la femme.

Source : Scallywag&Vagabond via Bare Naked Islam
Résumé Cenator

Neuchâtel : une Somalienne illettrée mutille ses deux filles conformément à sa culture. “Les femmes non excisées sont considérées comme des prostituées.”

En clair, ils considèrent nos filles comme des putes. Bien entendu, lorsque ce racisme se fait à notre détriment, la Confédération et les officines "antiracisme" regardent ailleurs.

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Le Tribunal de Boudry (NE) devra d’abord déterminer si la trentenaire illettrée, dont le procès est prévu demain, pourra être jugée sous nos latitudes pour des faits commis à l’étranger.

Sur le fond, l’avocate dit «ne pas croire une seconde» que le mari de sa mandante lui aurait interdit de faire mutiler leurs fillettes avant leur départ pour l’Europe. Ne serait-ce qu’au regard du contexte de «violences conjugales extrêmes» subies par la mère de famille durant leurs onze mois de vie commune. L’époux a en tout cas été reconnu coupable l’an dernier de mise en danger de la vie, suite à une tentative d’étranglement. Elle-même excisée, l’accusée explique avoir agi pour protéger la réputation de ses filles, conformément à la culture somalienne, qui veut que les femmes non mutilées ne soient jamais mariées, car considérées comme des prostituées.

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