Des “réfugiés” africains installés dans un hôtel en Sardaigne se révoltent [vidéo]

Les "réfugiés" ne sont pas satisfaits de leurs vacances en Sardaigne. Ils bloquent la route et revendiquent.

Les clandestins protestent à nouveau à Alghero.  Il y a un mois, ils avaient déjà manifesté. Et cette semaine, mardi 28.04.15, les mêmes scènes ont recommencé dans la structure agriturismo “Zia Maria”, qui héberge une dizaine de 'clients africains' qui fuient des guerres inexistantes.

Ci-dessous, nous pouvons voir combien ils sont éprouvés par des vacances en Sardaigne qui durent depuis plusieurs mois :

Quels sont les motifs de leur révolte ? Une mauvaise nourriture, des chambre qui ne conviennent pas à leurs exigences et des horaires plus flexibles pour pouvoir aller en discothèque. C'est pour ces raisons qu'ils ont bloqué pendant plusieurs heures la route qui mène à l'hôtel "Zia Maria" (province Due Mari).

Au lieu de distribuer quelques salutaires coups de matraques et de les expulser, les soi-disant autorités leurs ont envoyé un des chef du commissariat pour écouter leurs doléances et discuter avec eux pour les convaincre de libérer la route.

"Nous voulons un rendez-vous à la préfecture - ont-ils hurlé en français - c'est notre droit"

Il est bien connu que la discothèque fait partie des droits humains.......

Source en italien (trad. D. Borer)

La Sardaigne nouveau lieu de débarquement des clandestins

Maintenant, les clandestins débarquent directement en Sardaigne.

Une mer calme et un vent favorable leur permet d'arriver dans des bateaux par petits groupes de 10 à 20. La quasi totalité d'entre eux se déclarent Algériens. La nouvelle route de la migration en provenance de l'Afrique du nord passe par le canal de Sardaigne. Durant le mois d'août, 6 débarquements ont eu lieu sur les côtes méridionales de la Sardaigne entre Treulada et Sant'Antioco.

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Les passeurs n'ont pu être retrouvés. Mais il est important de signaler que toutes les personnes arrivées en Sardaigne étaient en bonnes conditions physiques, secs et que certains avaient avec eux des habits de rechange. Ce fait pousse les enquêteurs à penser qu'ils viennent d'embarcations en mesure de traverser aisément la distance qui sépare la Sardaigne de la Tunisie et de l'Algérie (105 milles nautiques) et qu'ensuite ils mettent à la mer des barques au abord des eau territoriales non loin des rives. Ces soupçons ont été confirmés en voyant les barques par lesquelles les clandestins sont arrivés. Ce sont toutes des barques en bois, équipées d'un moteur extérieur, sans réserve de carburant, qui ne pourraient certainement pas faire la longue traversée qui sépare l'île des côtes nord-africaines.

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