Sangar Ahmad désinfecte les hôpitaux d’un pays qui ne veut pas de lui
Un Kurde d’Irak domicilié à Vevey est en première ligne face au Covid-19. Le Secrétariat d’État aux migrations ne lui laisse pourtant que quelques jours pour quitter la Suisse. Plus...
ABO+Par Antoine Hürlimann 07.04.2020 8 Commentaires
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Le 7.04.2020, 24 heures, en pleine pandémie veut faire pleurer dans les chaumières en consacrant une page entière au sort de Sangar Ahmad, un requérant d’asile débouté en cours de renvoi.
Ce Kurde d’Irak devra quitter la Suisse à moins qu’une Xème tentative de son avocat aboutisse et qu’il puisse rester malgré tout ; ses frais d’avocats illimités étant à la charge des contribuables en Suisse. Cette gratuité des frais d’avocats ayant été votée par le peuple après une campagne de culpabilisation par les médias et une entourloupette de Simonetta Sommaruga.
Et comme la justice en Suisse, et surtout en Suisse romande, a massivement glissé clairement à gauche, n’aurait-il pas fallu plutôt que le peuple exige que les avocats assument leur orientation politique et défendent gratuitement leurs protégés?
Sangar Ahmad déclare que malgré ses deux recours rejetés, il va tout faire pour rester en Suisse. C’est pour appuyer son dossier qu’après trois ans de résidence en Suisse, il manie désormais la serpillière et le piston de la pompe à désinfectant.
Sangar Ahmad qui se dit Kurde d’Irak est un homme instruit, il est producteur de cinéma, professeur de langue et, actuellement, en désespoir de cause, employé par une entreprise de nettoyage/désinfection. Son patron, Bzhar Morier, crie à l’injustice : son employé est bien intégré, si utile depuis son engagement au mois d’octobre.
Auparavant, Sangar Ahmad a tourné un long métrage titré « Le bonheur », film financé par les contribuables, racheté par des instances subventionnées, et probablement primé dans des festivals subventionnés.
Sangar Ahmad nous avise, il est en train de terminer son deuxième documentaire en Suisse, qui a comme titre : Le Capitalisme.
Prière de ne pas mourir de rire, cet ignare de gauche veut parler d’un sujet dont il ignore tout… tout comme les idiots utiles qui vont plébisciter ce film.
Dans son film précédent, « Le bonheur », on peut déjà saisir son orientation politique, nous ne serions certainement pas désarçonnés par ses prises de position.
Mais pourquoi, bon sang, un communiste anticapitaliste d’Irak vient-il demander l’asile chez nous, alors que la Chine communiste est bien plus proche de l’Irak que la Suisse ? La gamelle capitaliste serait mieux garnie ?
Mais bien sûr, il le sait… et tout le monde le sait aussi !
Sangar Ahmad a fait la liste des manifestations culturelles auxquelles il a participé durant son inoubliable séjour en terre helvétique, comme bénévole... ou non :
Visions du Réel (projection de son film),
Paléo Festival,
Festival de Nyon,
Festival de la Terre à Lausanne,
Electrolizes à Sion.
Toutes, absolument toutes ces manifestations « culturelles » sont subventionnées et dans les mains de gens de la gauche qui dénigrent et détruit la Suisse. Ces derniers tiennent en main tout ce qu’on peut appeler « culture », dédié à 100% à la diffusion de la vision du monde des bien-pensants.
Nous sommes au bord d’un effondrement économique, mais ces nababs de la Gauche ont déjà leurs garanties de financement d’État pour continuer de fonctionner comme si de rien n’était.
Cenator