“Jolis ramassis de minables…” : des étudiants de droite de l’Université de Rouen insultés par une professeure d’université

L’association de la droite étudiante a été prise pour cible par une enseignante se présentant comme “Anarcho-pédago-gaucho-punk-à-chat”.

Comme le relaye le compte Twitter UNI Rouen, l’association de la droite étudiante a été la cible d’insultes lancées sur le réseau social par une professeure en Histoire-Géographie. « Jolis ramassis de minables. C’est bon, on voit bien vos tronches », a lancé l’enseignante en réagissant à une photo de l’UNI. La réponse de l’association ne s’est pas fait attendre. « Fichage ? Menaces ? La syndicaliste et prof Mila Saint Anne montre à quel point le monde de l’éducation est gangrené par l’extrême gauche qui ne supporte pas la contradiction », écrit l’UNI sur Twitter.

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Valeurs Actuelles

France. Près de Rouan: Violente rixe entre 50 personnes à coups de machettes, battes de baseball, barres de fer

Une rixe impliquant une cinquantaine de personnes a eu lieu dans la nuit du 17 au 18 juillet 2017, à Maromme (Seine-Maritime). Un jeune homme de 23 ans est entre la vie et la mort.

Une rixe a dégénéré, dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 juillet 2017, rue Jean-Effel, à Maromme (Seine-Maritime), près de Rouen. Une cinquantaine de personnes ont été impliquées, dont plusieurs armées et encagoulées. Un jeune homme de 23 ans a été grièvement blessé par un coup de machette. Son pronostic vital est engagé.

Armés de machettes, battes de baseball, barres de fer…

Il n’est pas tout à fait 22h, lundi soir, quand les forces de police sont informées d’une rixe en cours à Maromme. Une cinquantaine de jeunes se battent, rue Jean-Effel. Lorsque les différentes unités mobilisées – anti-criminalité, canine et police-secours – arrivent sur place, les affrontements sont terminés. Une source judiciaire indique à Normandie-actu :

Un individu est retrouvé gisant au sol, il saigne abondamment d’une cuisse. Une vingtaine de jeunes sont toujours sur place, dont certains sont encagoulés et armés de battes de baseball, de barres de fer…

L’homme au sol est âgé de 23 ans. Grièvement blessé, il a été touché à la cuisse par un coup de machette. Sur place, Smur et sapeurs-pompiers médicalisent la victime, dont le pronostic vital est engagé. « Il a perdu beaucoup de sang, son état est très sérieux », précise la même source judiciaire. L’homme, demeurant dans le quartier où la rixe s’est produite, est immédiatement transporté au CHU de Rouen.

Un véhicule démoli, des policiers pris à partie

Les esprits des belligérants échauffés, ces derniers s’en prennent à un véhicule « oublié sur place par la partie adverse ». Alors que les policiers forment un barrage pour protéger la voiture ciblée, ils sont pris à partie.

C’était plus de la bousculade, les jeunes ont voulu forcer le cordon pour s’attaquer au véhicule, situe notre source. Ils ont essuyé des jets de projectiles. Le véhicule a été démoli, il est maintenant en fourrière.

Aucun policier n’a été blessé lors de ces échauffourées. Les forces de l’ordre ont eu du mal à rétablir le calme. Elles ont quitté les lieux peu avant 1h du matin, mardi 18 juillet. Les circonstances de cette rixe ne sont pas encore connues, pas plus que l’origine de la bande rivale. Une enquête est désormais en cours pour tenter de comprendre ce qu’il s’est passé ce soir-là.

Source

Rouen : l’archevêque exprime sa « crainte de l’amalgame pour nos amis Musulmans »

C’est dans la basilique de Bonsecours (Seine-Maritime) que plusieurs centaines de fidèles se sont réunis hier soir (samedi 16 juillet). Dans le même temps, le comité interconfessionnel de Rouen a exprimé sa douleur et son effroi.

 

Avant celle de ce dimanche matin à Bihorel, l’archevêque avait invité les croyants à se rassembler ce samedi à 18h30 dans l’église de Bonsecours pour une messe dédiée aux victimes de l’attentat de Nice, ainsi qu’à leurs familles et leurs proches, touchés par ce drame.

Dominique Lebrun a exprimé sa « crainte de l’amalgame pour nos amis Musulmans » et appelé tous les croyants à réapprendre à vivre ensemble. [...]

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