Portland : “Ma pancarte Biden est là. Ne détruisez rien, soyez pacifiques” – “Demander aux gens d’être pacifiques c’est du suprémacisme blanc !”

[La scène se déroule avant que les médias ne déclarent Joe Biden gagnant de l’élection]

 

Via Fdesouche

Autres scènes "pacifiques" de la part des gentils militants de gauche :

 

 

 

Note : Pendant ce temps, nos médias "impartiaux" incitent la population romande à se moquer de Donald Trump et de ses partisans à la moindre occasion tout en cachant les exactions violentes des Républicains.

 

 

 

 

Il est visiblement important d'être du même côté que la famille Soros :

 

Etats-Unis. Un démocrate déclare sans complexe : «Si Trump avait gagné, la ville brûlerait ce soir»

Sitôt la victoire en Pennsylvanie de Joe Biden annoncée samedi en fin de matinée, et donc son élection à la présidence, une foule en liesse s’est réunie face à l’Hôtel de Ville et au Convention Center de Philadelphie, où les bulletins étaient dépouillés.

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John me demande ce que j’ai pensé de cette élection. Ses yeux semblent fatigués par la journée festive et arrosée, comme pour des milliers de personnes en ce jour où Joe Biden a été annoncé élu à la présidence des États-Unis. «Il y a beaucoup d’espoir dans cette élection, mais il y aura aussi sûrement des déceptions par la suite», admettent-ils, lucides. John déclare alors: «Ce qui est sûr, c’est que si Trump avait gagné aujourd’hui, Philadelphie serait en feu ce soir.»

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20Min.ch


Note : Les démocrates ne dissimulent pas à quel point ils sont opposés à une décision démocratique qui ne va pas dans leur sens et que l'utilisation de la violence ne leur pose aucun problème. Mais ce sont eux les "gentils". Pendant ce temps, les militants de Trump restent pacifiques malgré les provocations des démocrates comme expliqué plus bas dans le même article :
"En fin d’après-midi, une douzaine de supporters de Trump, munis de drapeaux et de panneaux, se sont invités au tableau (...). Eux contestent les résultats et les invectives verbales de la part des pro-Démocrates ont fusé, mais sans déraper en violence, et en présence de policiers.

Trump jugé en janvier : «Ils ne sont pas après moi, ils sont après vous»

Donald Trump a été renvoyé mercredi en procès au Sénat dans le cadre d'une procédure de destitution («impeachment»).

 

Celui qui devient ainsi le troisième président de l'histoire des États-Unis à subir ce sort a immédiatement dénoncé la «haine» des démocrates sur Twitter.

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20min.ch

Mais qui est donc Stephen Bannon ?

Aleteia-1

   
Michel Garroté - A propos de Donald Trump et de Stephen Bannon, j'avais publié, sur Les Observateurs, l'excellente analyse de Gilles William Goldnadel, intitulée "Trump et Bannon – Procès en sorcellerie" (voir premier lien vers source en bas de page). Ci-dessous, je publie les extraits d'une chronique publiée par Thomas Renaud sur le site catholique français 'Aleteia'.
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Cette chronique détaille le parcours professionnel et personnel de Stephen Bannon. Je n'approuve qu'en partie ce qu'écrit Thomas Renaud et cependant je publie sa chronique (serais-je "démocrate", moi le "facho" de service ?) car elle fournit des éléments intéressants sur Bannon, éléments que je n'ai trouvé nulle part ailleurs (et ce serait moi le "facho" ?...).
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Or donc, le chroniqueur - un brin progressiste et un brin anti-libéral - Thomas Renaud écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il fut le premier membre de la future équipe du président Trump à être titularisé le 13 novembre dernier. Stephen Bannon sera l’un des hommes forts de la Maison-Blanche. Nommé « chef de la stratégie », il sera le plus proche conseiller de Donald Trump pour les quatre années à venir.
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Rares sont pourtant ceux qui savent qui il est réellement. Les grands médias français, qui ne se sont pas distingués par leur sens de la mesure durant la campagne présidentielle américaine, ne prennent pas de gants pour qualifier ce spin doctor atypique : « Idéologue incendiaire » pour Le Monde, « sulfureux stratège » pour France Info, le JDD titrant clairement « un raciste à la Maison-Blanche ».
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Comme cela est assez naturel pour les « conseillers de l’ombre », la biographie de Stephen Bannon est relativement méconnue. Quelques repères succincts permettent cependant de mieux comprendre son parcours. Né en Virginie, dans la ville de Norfolk, il a grandi dans une famille modeste d’origine irlandaise et a donc assez naturellement été élevé dans la religion catholique. Passé par la prestigieuse Virginia Tech, il obtint ensuite un master à l’université de Georgetown puis en 1983 un MBA de la Harvard Business School.
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Stephen Bannon débute sa carrière dans la finance, au sein de  la banque Goldman Sachs (ndmg - c'était à ses débuts et puis personne n'est parfait), avant de lancer sa propre banque d’investissement. C’est en misant sur des sociétés de production audiovisuelle qu’il découvre le monde médiatique. En 2012 il prend la tête de Breitbart News, fer de lance du Tea-Party aux États-Unis. Ce site d’information jouera un rôle de premier plan, notamment à travers les réseaux sociaux pour appuyer la candidature de Donald Trump et concentrer les tirs sur sa rivale Hillary Clinton. Stephen Bannon ne rejoindra officiellement l’équipe Trump que tardivement, le 17 août 2016.
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Stephen Bannon oriente son propos autour de deux grandes crises des sociétés occidentales. D’un côté, une crise du capitalisme qui a vu un « capitalisme éclairé » remplacé dans certains pays par le capitalisme d’État et dans d’autres par une vision ultralibérale débridée (ndmg - en France, dès que quelqu'un se dit 'libéral', on le dénonce comme 'ultralibéral'). De l’autre, une crise morale, celle de la sécularisation de masse, dont « la marche irrésistible de la pop culture » est l’incarnation. Cette double crise voit ses conséquences néfastes amplifiées par le jihadisme islamique qui profite de ces faiblesses.
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Si les positions de Stephen Bannon peuvent sembler particulièrement déroutantes à de nombreux catholiques, elles n’en ont pas moins rencontré un large échos auprès de la majorité chrétienne américaine. Il assume en effet clairement la théorie du choc des civilisations développée par Samuel Huntington. Il appelle à un front international des pays chrétiens pour défendre les chrétiens d’Orient et contrer la barbarie islamique.
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Et pour cela, les chrétiens doivent selon lui se mobiliser : « Que faisons-nous de notre argent ? Que faisons-nous de ce que la Providence nous a donné comme dons pour créer de la richesse et des emplois », demande-t-il. Avant de répondre : « Nous devons réinvestir tout cela pour des causes vertueuses ». comprendre : dans une résistance massive des chrétiens en Occident comme en Orient.
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Bannon appelle à un populisme chrétien — thème popularisé par un autre spin doctor, Français celui-ci : Patrick Buisson — contre le « parti de Davos », celui des super-élites mondialisées. En 2014, Stephen Bannon appelait à un « Tea-Party mondial », nom qu’il donnait au mouvement de fond qui voie l’émergence des partis populistes (ndmg - populaires, pas "populistes"...) en de très nombreux pays, ajoute Thomas Renaud (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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https://lesobservateurs.ch/2016/11/22/trump-bannon-proces-sorcellerie/
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http://fr.aleteia.org/2016/11/23/etats-unis-qui-est-vraiment-stephen-bannon/
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Magouilles entre le PS et les Républicains: “Il y aura des compensations pour ceux qui ne se sont pas présentés au second tour au nom de l’esprit républicain”

ND Christian Hofer: En clair, même si le PS s'est désisté pour laisser passer les Républicains contre le FN, le PS pourra bénéficier de l'argent des contribuables. "L'esprit républicain" étant invoqué pour barrer la route au FN: tous les partis contre le FN, magnifique esprit républicain en effet. 

Le vainqueur LR des régionales rencontre cet après-midi Michel Vauzelle, président sortant PS, pour préparer les contours de cette nouvelle instance.

Au lendemain de son élection en PACA face à Marion Maréchal-Le Pen, Christian Estrosi prépare déjà sa future mandature et notamment la création du Conseil territorial qu’il a promis à la gauche. [...]

Une manière de permettre « à ceux qui ont fait le sacrifice de ne pas être candidats au second tour par esprit républicain, de pouvoir s’exprimer et se prononcer sur la vie de la collectivité », assurait le candidat LR-UDI-MoDem dans les colonnes de La Provence le 8 décembre.

[...] « C’est une foutaise absolue » confie à LCP le conseiller régional FN nouvellement élu, Franck Allisio. Pour l’ancien LR qui fut le porte-parole de campagne de Marion Maréchal Le Pen, cette instance constitue « un nouveau machin qui ne sert à rien et qui va coûter des millions ». « Seul le conseil régional sera légitime, » poursuit l’élu marseillais, « le reste n’a aucune valeur légale, c’est un énième comité Théodule, juste une pompe à fric ». [...]

Source

La République reprochable de Sarkozy


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Sarkozy a imposé Nathalie Kosciusko-Morizet comme vice-présidente déléguée et numéro deux du Parti des Républicains. Laurent Wauquiez sera secrétaire général. Eric Woerth délégué général « au projet » (?). Les deux porte-paroles seront Lydia Guirous et Sébastien Huyghe. Luc Chatel et Brice Hortefeux seront conseillers politiques. Isabelle Le Callennec déléguée générale adjointe « au projet » (??). C’est ça, le changement à l’UMP : on change le nom et on garde les mêmes, en vue d’une politique centriste déguisée, comme toujours, en soi-disant politique de droite. C’est Marine Le Pen qui va être contente.

Michel Garroté, 2 juin 2015