Le Minnesota place les Blancs à l’arrière de la file d’attente pour un traitement COVID-19 qui sauve des vies

le ministère de la Santé du Minnesota a publié un document qui donne pour instruction aux hôpitaux de pratiquer une discrimination à l’encontre des Blancs en veillant à ce que les patients non blancs aient un accès prioritaire aux traitements COVID-19 susceptibles de sauver des vies.

Oui, vraiment.

L’instruction est contenue dans un document intitulé « Cadre éthique pour l’attribution d’anticorps monoclonaux pendant la pandémie de COVID-19 ».

Elle stipule que « la race et l’ethnicité seules, en dehors d’autres conditions de santé sous-jacentes, peuvent être prises en compte pour déterminer l’éligibilité aux mAbs [anticorps monoclonaux] ».

Les anticorps monoclonaux sont fabriqués en laboratoire et fonctionnent en imitant les anticorps naturels, qui aident le corps à combattre les maladies.

Les stocks nationaux de ces anticorps sont en train de s’épuiser car ils ont été utilisés avec succès pour traiter les cas actifs de COVID.

« La solution du Minnesota consiste à rationner les mAbs en fonction de divers facteurs de santé, chacun se voyant attribuer un score différent », explique Alpha News.

« Le nombre maximum de points qu’un patient peut accumuler est de 24. Les anticorps seront distribués en fonction de ces scores (les chiffres les plus élevés recevant le traitement en premier) lorsque les stocks seront épuisés. »

Deux des facteurs de santé permettant de déterminer qui est prioritaire sont le fait d’être BIPOC (2 points) et la grossesse (4 points).

« Sur la base de cette métrique de notation, si deux femmes enceintes, l’une noire et l’autre blanche, se rendent dans un hôpital où les stocks d’AcM sont limités, la femme noire serait prioritaire car son score serait de six, mais celui de la femme blanche ne serait que de quatre », écrit Kyle Hooten.

Le média a obtenu un document qui montre comment HealthPartners « donne l’ordre à ses employés d’utiliser le système de notation, élément racial inclus, pour décider qui reçoit le traitement aux AcM pendant les pénuries ».

C’est ce qu’ils appellent « le privilège blanc » ?

Plus sérieusement, il s’agit d’un nouvel exemple de l’existence du racisme systémique, sauf qu’il est presque exclusivement dirigé contre les personnes blanches.

« Comme on peut s’y attendre dans un système de santé de plus en plus dominé par le gouvernement, les anticorps monoclonaux ont été rationnés », écrit Dave Blount.

« Dans le Minnesota, l’accès à ces anticorps est déterminé par un système de points. Tout ce qui n’est pas blanc compte pour le même nombre de points que le fait d’être âgé de 65 ans ou plus. »

Depuis que l’Occident est devenu obsédé par deux questions principales au cours des deux dernières années – la prétendue injustice raciale et la pandémie de COVID-19 – les appels à rationner les traitements hospitaliers en fonction de ces deux facteurs se sont multipliés.

Nous avons précédemment souligné comment les hôpitaux du NHS en Grande-Bretagne se sont déjà réservés le droit de refuser un traitement aux personnes qu’ils jugent « sexistes » et « racistes ».

De nombreuses personnalités ont également demandé que les personnes non vaccinées soient obligées de payer leur propre traitement hospitalier ou se voient refuser tout traitement pour avoir refusé de se faire vacciner.

Plusieurs hôpitaux américains insistent également pour que les patients se fassent vacciner contre le COVID-19 avant de procéder à des transplantations d’organes, condamnant de fait les patients à la mort s’ils refusent toujours de le faire.

source: https://www.anguillesousroche.com/sante/le-minnesota-place-les-blancs-a-larriere-de-la-file-dattente-pour-un-traitement-covid-19-qui-sauve-des-vies/

Les employés noirs de l’entreprise Levi’s sont tellement traumatisés par l’acquittement de Kyle Rittenhouse, que l’entreprise leur offre des soins pour en guérir

La responsable noire de la diversité offre au personnel de Levi’s des conseils individualisés sur les «traumatismes raciaux» pour «promouvoir leur guérison» après l’acquittement de Kyle Rittenhouse

Ross Ibbetson pour Mailonline

  • La responsable de la diversité, de l’équité et de l’inclusion de Levi’s a envoyé une lettre offrant des conseils [une thérapie].
  • «Avec la nouvelle que Kyle Rittenhouse n’a pas été condamné … lors des manifestations pour la justice raciale l’année dernière, c’est une journée difficile pour beaucoup», a écrit Elizabeth Morrison.
  • Elle a offert des services de «spécialiste en traumatismes raciaux» et des soins de santé mentale 24 heures sur 24.

Le fabricant de jeans Levi’s a offert les conseils woke d’une «spécialiste des traumatismes raciaux» pour «promouvoir la guérison» après que Kyle Rittenhousea été innocenté de l’accusation de meurtre.

Elizabeth Morrison, responsable de la diversité, de l’équité et de l’inclusion de Levi’s, a envoyé une lettre au personnel commençant ainsi: «Avec la nouvelle que Kyle Rittenhouse n’a pas été condamné pour avoir tiré sur trois personnes – dont deux ont perdu la vie – lors de manifestations pour la justice raciale l’année dernière, c’est une journée difficile pour beaucoup.»

Morrison a offert des soins de santé mentale 24 heures sur 24 à ceux qui souffrent «de la douleur et du traumatisme des tragédies fondées sur la race, l’identité et les croyances».

Elle a ajouté: «Pour aider à promouvoir la sécurité, le partage et encourager la guérison, j’organiserai début décembre une conversation au coin du feu et des questions-réponses avec la Dr Jamila Codrington, psychologue agréée et spécialiste des traumatismes raciaux.»

Rittenhouse, 18 ans, a été innocenté de toutes les accusations, y compris d’homicide intentionnel au premier degré, vendredi dernier après avoir abattu deux hommes blancs et blessé un troisième lors des manifestations de Black Lives Matter à Kenosha, Wisconsin, en août 2020.

Responsable de la diversité, de l'équité et de l'inclusion de Levi's, Elizabeth Morrison

La responsable de la diversité, de l’équité et de l’inclusion de Levi’s, Elizabeth Morrison, et la «spécialiste des traumatismes raciaux» la Dr Jamila Codrington

Kyle Rittenhouse est tombé en panne et a serré l'un de ses avocats dans ses bras après son acquittement vendredi dernier

Kyle Rittenhouse a fondu en larmes et serré un de ses avocats dans ses bras après son acquittement le 19 novembre

L’adolescent a déclaré qu’il avait agi en état de légitime défense car il craignait pour sa vie lorsqu’il a été pourchassé dans la rue par une foule en colère qui menaçait de le tuer.

L’acquittement a amené Joe Biden à se dire «en colère et inquiet» et a déclenché un effondrement généralisé de la gauche, qui avait dépeint Rittenhouse comme un nationaliste blanc à la suite de la fusillade.

Dans sa lettre au personnel, Morrison a ajouté: «Au cours de notre discussion, la Dr J et moi-même parlerons des impacts mentaux et psychiques des événements successifs de justice sociale et raciale et des mécanismes d’adaptation post-traumatiques.»

La cadre californienne a encouragé les employés à recourir aux conseils parce que «les ressources pour aider [les employés] ont un impact sur la justice sociale, l’égalité et favorisent un changement positif» tel que «s’éduquer et s’informer sur la question de la violence armée» et «contacter vos élus pour leur faire savoir à quel point des lois sensées sur les armes à feu sont une chose importante pour vous.»

Jamila Codrington est une psychologue diplômée de New York qui a participé à divers panels, affirmant que «Nous, les Noirs, avons été induits trompeusement à croire que nous n’avions pas d’importance.»

Codrington est apparue dans l’émission de radio de Karen Hunter en janvier pour une discussion sur la façon dont «nous devons décoloniser nos esprits».

«L’une des principales armes du colonialisme et de la suprématie blanche a été de détruire notre mémoire et de nous séparer de notre richesse - notre richesse culturelle», a-t-elle affirmé.

Rittenhouse lors de la fusillade à Kenosha en août 2020 qui a fait deux morts parmi les blancs

Rittenhouse, lorsqu’il a tiré et tué deux Blancs à Kenosha en août 2020

«Nous avons été gommés des livres d’histoire et contraints de ne pas parler notre langue maternelle. Et donc il y a tellement de choses que nous pouvons nous réapproprier, en nous souvenant de notre place traditionnelle dans la société - là où nous étions avant l’esclavage...»

«Nous venons d’un héritage de gens qui étaient résilients, qui étaient des rois et des reines, qui étaient des découvreurs - nous avons donné naissance à la civilisation. Et c’est là le premier lieu d’intervention, parce que nous avons été induits trompeusement à croire que nous n’avons pas d’importance et tout cela vient d’un héritage d’esclavage et nous devons défier ce mensonge d’infériorité.»

Un porte-parole de Levi’s a confirmé que «l’e-mail a été envoyé à tous les employés américains et que le but de la conversation au coin du feu est décrit avec précision dans l’e-mail».

Source: https://www.dailymail.co.uk/news/article-10242707/Black-diversity-boss-offers-Levis-staff-individual-racial-trauma-counselling-Rittenhouse.html

Traduction Albert Coroz

Afrique du Sud : 5 policiers arrêtés en lien avec le meurtre horrible de Brendin Horner par crucifixion

Cenator: Nous n'avons jamais rencontré ou entendu parler d'un seul réfugié politique du continent africain vivant en Suisse romande (et pourtant ce n'est pas vraiment la pénurie) qui dénonçait les atrocités commises par les Noirs contre les Blancs en Afrique du Sud (ou ailleurs).

Pour nos médias, l'ensauvagement via l'immigration africaine n'existe pas, et quant aux assistés qui ne s'assument pas financièrement après des décennies, il est déjà raciste d'évoquer le problème. Seul le racisme des Blancs existe.
Les médias suisses n'ont jamais cessé de dénoncer et de rappeler l’apartheid de l'Afrique du Sud, mais ils restent spécialement silencieux sur les exactions atroces commises sur les Blancs par les Noirs depuis que les Noirs ont pris le dessus.

Par contre, la Suisse est riche d'une grande abondance de réfugiés africains, qui dénoncent avec zèle le passé et le présent racistes de la Suisse.

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Richard Abelson le 22 juillet 2021

Brendin Horner et sa compagne Lenize Taljaard

Cinq policiers ont été arrêtés pour vol de bétail en Afrique du Sud, en lien avec le meurtre horrible du fermier Brendin Horner en octobre dernier.

L'assassinat de Horner (22 ans), qui a été ligoté à une clôture et torturé à mort dans la ferme de son employeur non loin de Paul Roux dans la province de l'État libre le 2 octobre 2020, serait lié aux vols de bétail et à la corruption de la police.

L'unité anti-corruption Free State Falcons, en collaboration avec le service de police d'Afrique du Sud (SAPS), a arrêté sept personnes – dont cinq policiers – lors d'une opération visant à lutter contre les vols de bétail endémiques dans la province, rapporte News24 :

« Lorsque Brendin a été tué, les agriculteurs locaux et les membres de la communauté étaient catégoriques sur le fait que (les suspects) Sekwetje Mahlamba et Sekola Matlaletsa, arrêtés pour le meurtre, n'avaient pas agi seuls. Les deux hommes ont été libérés sous caution en juin après que les preuves ADN n'aient pas permis de les relier au crime. »

Maintenant, il s'avère que la police locale a peut-être été impliquée. Le SAPS est connu pour son inefficacité et sa corruption. Au cours des émeutes d'une semaine en Afrique du Sud la semaine dernière, des vidéos ont semblé montrer des policiers participant aux pillages. Des milices civiles ont dû être mobilisées pour rétablir l'ordre dans la province du KwaZulu-Natal, a rapporté GP.

Le parti Freedom Front Plus a salué les arrestations « dans un contexte de forts soupçons selon lesquels divers policiers de la région sont impliqués dans des syndicats de vol de bétail et peut-être aussi dans le meurtre de Horner ». Le chef du FF Plus, Pieter Groenewald, avait contacté le ministre de la police Bheki Cele après le meurtre et lui avait fourni des informations supplémentaires sur l'affaire :

« À l'époque, deux des agriculteurs, M. Herkie Viljoen et M. Jess de Klerk, étaient à la tête des tentatives des agriculteurs pour dénoncer publiquement les personnes probablement impliquées dans les vols de bétail et fournir à la police les informations nécessaires.

La récente percée est survenue après que les Hawks (unité de lutte contre le crime organisé et la corruption) aient apparemment reçu cette information, mais, dans un premier temps, n'aient pas donné suite.

Après le meurtre de Horner, des agriculteurs furieux ont déclaré qu'ils avaient transmis aux Hawks les informations sur une éventuelle implication de la police dans ces syndicats et avaient demandé une enquête il y a plus d'un an déjà.

Le FF Plus s'attend à ce que les membres des Hawks qui ont reçu l'information à l'époque soient tenus responsables de leur inaction. Cela aurait pu sauver la vie de Horner.

Il y a eu 446 attaques de fermes et 77 meurtres de fermiers en Afrique du Sud en 2020, malgré les confinements stricts liés au Covid.

Richard Abelson est correspondant international de Gateway Pundit.

source: https://www.thegatewaypundit.com/2021/07/south-africa-5-police-officers-arrested-connection-ghastly-crucifixion-murder-brendin-horner

Traduction: Albert Coroz

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États-Unis, discours de remise de diplômes de Lycée: les élèves vont entrer dans un monde de «capitalisme» et de «suprématie blanche», ils sont encouragés à se souvenir du «djihad» et à rejeter l’objectivité

Par  Luc Rosiak - 11 juin 2021 / DailyWire.com

Une membre du conseil scolaire a prononcé un discours de remise des diplômes dans lequel elle a expliqué à une classe de lycéens en majorité immigrés qu’ils entraient dans un monde rempli de «racisme, de versions extrêmes de l’individualisme et du capitalisme, [et] de la suprématie blanche», et les a encouragés à se souvenir de leur « jihad » et à rejeter les concepts d’objectivité et de neutralité.

Abrar Omeish, membre du conseil scolaire du comté de Fairfax, a prononcé le discours d’ouverture de la cérémonie de remise des diplômes du Lycée Justice à Falls Church, en Virginie, le 7 juin. (Ndt: voir le site de l’école et sa page Wikipedia.)

Le programme a commencé par une cérémonie au cours de laquelle les cadets militaires du JROTC étaient les seules personnes présentes à porter des masques.

La présidente de classe a ensuite dirigé ce qu’elle a appelé «l’hymne de la nation», en parlant du serment d’allégeance, dans lequel elle a déclaré que les États-Unis étaient «une nation sous Allah». Omeish était hors du champ de la caméra, mais sur une photo prise lors d’une autre remise de diplômes récente on voit qu’elle est la seule personne qui ne mettait pas la main sur le cœur pendant la promesse.

La présidente du conseil des élèves a ensuite présenté Omeish en notant qu’elle était «coprésidente pour la Virginie dans la campagne Bernie Sanders» et que son père, Esam Omeish, était un «dirigeant et membre du conseil d’administration du Centre islamique Dar al-Hijrah». qui «a élevé sa fille pour qu’elle soit une femme de franc-parler».

La mosquée Dar al-Hijrah a été  fréquentée par deux des pirates de l’air du 11 septembre ainsi que par le tireur de l’attaque de 2009 contre Fort Hood. Son imam était Anwar al-Awlaki, que le président Barack Obama a ordonné d’assassiner par une frappe de drone pour avoir comploté en vue d’actes terroristes pour Al-Qaida. Omeish a noté que son père était présent à la remise des diplômes.

Son discours a semblé annoncer que les écoles allaient devenir des centres d’endoctrinement politique. «Vous avez tous lancé la toute première assemblée du ‘Mois de l’histoire des Noirs’ pour vous assurer que nous affrontons notre histoire et répondons honnêtement aux maux de notre passé», a-t-elle dit.

Elle a fait l’éloge d’une enseignante qui avait profité de son accès aux enfants pour les encourager à devenir des militants politiques, et a déclaré que les demandes des élèves étaient un moyen efficace de changer la politique de l’école.

«Un énorme hourra pour [la présidente de classe qui l’avait qualifiée de «modèle»] et pour Mme Corey Haynes, une enseignante, pour son leadership dans le soutien et l’autonomisation (empowerment) des élèves malgré les réticences. Écoutons-le pour elles. Elles ont renforcé votre voix. Votre modèle, la classe de Justice de 2021, a poussé le surintendant de la dixième plus grande division scolaire du pays à suivre votre exemple pour enseigner avec courage. Et vous avez poussé à incorporer cela dans le programme scolaire parce que vous comprenez que la justice sociale n’est «politique» que pour ceux qui peuvent se permettre de l’ignorer.

«Vous comprenez que ‘neutre’ est un autre mot pour ‘complice’», a-t-elle déclaré.

Une grande partie du discours semblait conçue pour faire comprendre qu’elle ne se repent pas d’un récent tweet dans lequel elle a qualifié Israël d’État colonisateur qui «profane la Terre Sainte» et «tue des Palestiniens».

Elle a laissé entendre qu’elle en pensait de même de l’Amérique, en disant «Reconnaissons la terre volée au peuple Manahoac», allusion à une tribu amérindienne de Virginie.

Elle s’est lamentée sur «l’enfant forcée de remettre en question et de détester la foi qu’elle aime à cause de l’intimidation», plaçant fréquemment des pjrases en arabe dans son discours.

Certains de ses collègues du conseil scolaire, entièrement Démocrate, ont fait une critique tiède de ses propos sur Israël, mais dans son discours, elle a encouragé les diplômés à ne pas se laisser déranger par ce genre de chose.

«Le monde peut essayer de vous faire taire en décidant à votre place ce qui est cool, ce qui est bizarre, ce qui est ou n’est pas objectif. Il peut essayer de vous convaincre que ce qui vous est cher est trop différent pour être accepté. Mais qui décide? Vous entrez dans un monde qui sera mal à l’aise quand vous chercherez à causer de bons problèmes. Et il cherchera peut-être à vous intimider ou à vous faire penser que la vérité est controversée», a-t-elle déclaré.

«Même si chaque partie de votre être crie de rage face à la façon dont les autres vous ont fait du tort», «faites que ce soit la compassion pour vos semblables qui vous anime, et non la colère ou la rage - et croyez-moi, c’est difficile», a-t-elle dit.

«Peu importe le nombre de personnes haineuses qui émergent, et je suis sûre que vous en avez rencontré vous-mêmes: croyez-moi, elles sont un signe que vous perturbez le statu quo en direction de la justice. Considérez simplement ces personnes comme vos ‘meneuses de claque’ d’un autre genre», a-t-elle dit.

Dans sa présentation, la dirigeante étudiante avait déclaré qu’Omeish était confrontée à «la haine pour avoir dit au pouvoir la vérité sur ce que vivent les Palestiniens», mais qu’elle «continue à gagner et à être un exemple pour que les jeunes leaders comme nous fassent de même».

Un(e) autre étudiant(e) a dit dans sa présentation qu’«il y a deux ans, les droits civils [d’Omeish] ont été violés par un policier à cause de son apparence, elle a été agressée et discriminée. Tout cet incident se trouve sur une vidéo, où l’on voit qu’un policier a arrêté sa voiture après l’avoir vue passer un feu rouge à distance, d’où il ne pouvait pas voir son apparence. Elle a refusé à plusieurs reprises de montrer son permis, puis a refusé de sortir de la voiture, ce qui a conduit à son arrestation.

Le discours d’Omeish s’est également concentré sur « l’équité », un concept de l’éducation primaire et secondaire consistant en des résultats égaux forcés. Le comté de Fairfax a récemment édulcoré les critères d’admission de son lycée scientifique spécialisé (STEM magnet school) le mieux classé, Thomas Jefferson High School for Science and Technology, car trop d’Asiatiques obtenaient de bonnes résultats aux examens d’entrée portant sur les branches scientifiques.

«Nos succès ne valent pas la peine d’être célébrés tant que nous ne réussissons pas tous», a dit Omeish dans son discours.

Le Lycée Justice n’a reçu l’accréditation de l’État que sous conditions, à cause de son taux de décrochage de 11%. Près de 20% de ses élèves étaient chroniquement absents en 2019.

En 2017, le conseil scolaire a voté pour renommer le Lycée J. E. B. Stuart en Lycée Justice, écartant les résultats de son propre sondage, d’où il ressortait que les habitants voulaient le renommer simplement Lycée Stuart.

Un nouveau sondage réalisé ce mois-ci auprès des électeurs du comté de Fairfax a révélé que la plupart ne soutenaient pas le fait que les écoles soient utilisées pour promouvoir l’activisme racial, par exemple la théorie critique de la race. L’enquête a également montré que la majorité des parents de tous les partis politiques s’opposent à l’élimination des formations académiques avancées au nom de l’équité.

https://www.dailywire.com/news/dem-tells-high-school-grads-theyre-entering-capitalism-white-supremacy-remember-jihad-reject-objectivity

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

 

Au secours, ils sont fous ! « Être blanc, c’est être un parasite », pour le journal de l’Association américaine de psychanalyse

Publié par JEAN-PATRICK GRUMBERG

Le journal de l’Association américaine de psychanalyse a publié fin mai un papier intitulé « Avoir la blanchité », qui traite le fait d’être blanc comme une condition maligne, parasitaire. Je n’y croyais pas tant ça ressemble à un canular. Même Newsweek en parle sur un ton décontracté – le mien est horrifié par tant de haine.

Et pourtant, les propos prêtés à Moss par les médias sont bien réels, et pas nouveaux. En 2019, il a présenté sa théorie décrivant la blanchité comme une condition parasitaire lors d’une allocution plénière de l’Association psychanalytique sud-africaine, ce qui est particulièrement frappant du fait qu’en Afrique du Sud, les Blancs sont persécutés, volés, violés, tués et qu’une grande quantité d’entre eux a fini par fuir ; et il a également donné des conférences à ce sujet à la Société et à l’Institut psychanalytiques de New York et au Centre d’études psychanalytiques modernes de New York.

Donald Moss est un psychanalyste de New York. Il est président du programme de l’Association américaine de psychanalyse. Il est raciste, mais d’un racisme qui n’est pas combattu par la gauche, en fait qui est encouragé par la gauche, car elle n’est pas hostile au racisme, s’il peut servir à attaquer le camp opposé. Moss crache sa haine de soi dans une tournée de conférences intitulée « On Having Whiteness ».

Voici ce qu’il écrit :

La blanchité est une condition que l’on acquiert d’abord et que l’on a ensuite – une condition maligne, de type parasitaire, à laquelle les personnes « blanches » sont particulièrement sensibles.

Cette condition est fondamentale et génère des façons caractéristiques d’être dans son corps, dans son esprit et dans son monde. La blanchité parasitaire rend les appétits de ses hôtes voraces, insatiables et pervers. Ces appétits déformés visent particulièrement les peuples non blancs. Une fois établis, ces appétits sont presque impossibles à éliminer. Un traitement efficace consiste en une combinaison d’interventions psychiques et socio-historiques. Ces interventions ne peuvent raisonnablement viser qu’à remodeler les appétits infiltrés de la blanchité, à en réduire l’intensité, à en redistribuer les objectifs et, à la rigueur, à les orienter vers un travail de réparation. Lorsqu’ils sont évoqués et documentés, les ravages causés par cette condition chronique peuvent fonctionner soit comme un avertissement (« plus jamais ça »), soit comme une tentation (« Great again »). La remémoration seule n’est donc pas une garantie contre la régression. Il n’existe pas encore de remède permanent.

https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/00030651211008507?journalCode=apaa&

Ne m’en veuillez pas de ne pas faire l’analyse de ce texte, le simple bon sens suffit pour le démystifier.

Donald Moss

J’ai évidemment voulu voir la tête de ce raciste fou. Bien entendu, il est blanc… Habituellement, les racistes développent leurs puériles théories pour se placer au-dessus de la race qu’ils désignent comme inférieure à la leur. La nouveauté de ces racistes blancs, c’est qu’ils se placent du côté de la race inférieure. C’est eux qu’ils accusent. Et les racistes noirs se frottent les mains.

En lisant, je me suis tout de même aperçu que la définition de blanchité de Moss correspond précisément à la définition du racisme, une situation contre laquelle nous ne pouvons rien faire, la pigmentation de notre peau, est la racine du racisme. C’est aussi le point culminant de la haine de soi : « il n’existe pas de remède » dit Moss – j’attends d’un instant à l’autre une dépêche disant qu’il s’est suicidé.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Source: Dreuz.info

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Voir aussi l'article du Daily Mail (original anglaistraduction automatique)

Racisme anti-blanc : des réunions interdites aux blancs à Genève

Dans un article publié aujourd'hui, la Tribune de Genève s'interroge : "bannir les Blancs des réunions, est-ce utile" ? Une surprenante question ô combien révélatrice du racisme anti-blanc qui peut exister dans notre pays !

Des réunions interdites aux blancs à Genève

Dans l'article, nous apprenons que la Suisse n'échappe pas à ce racisme anti-blanc que sont les « réunions en non-mixité » qui sévit aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en France. Ainsi, la Tribune de Genève explique que :

« Outrage collectif organisait en 2018 un festival au Théâtre de l’Usine, dont certains ateliers étaient «adressés exclusivement aux personnes qui subissent directement le racisme de manière structurelle», soit sans personnes blanches. »

Le blanc c'est « l'oppresseur »

Si l'Université de Genève semble avoir était épargnée jusqu'à présent par ces « réunions interdites aux blancs », la Tribune de Genève explique que « la Conférence universitaire des associations d’étudiant·e·x·s (CUAE) y serait très favorable », expliquant, entre autres, que « se réunir sans personnes blanches permet de se protéger des remarques, blagues ou réactions racistes », que les personnes blanches « ne subissent pas de racisme » et que « se réunir sans l’oppresseur permet ainsi de libérer une parole commune ».

En d'autres termes, le blanc est raciste, le blanc est un oppresseur...

 

USA: Le Congrès américain veut indemniser les descendants des esclaves Noirs – vidéo pour illustrer les conséquences de cette hystérie woke

Albert Coroz: Black Lives Matter a produit du racisme, mais ce mouvement a également profondément divisé la société américaine, détruit la liberté d'expression, donné un sentiment d’impunité à une population déjà fortement surreprésentée dans les statistiques de la criminalité. A présent, la gauche américaine veut faire payer toute la nation, riches et pauvres, pour indemniser les Noirs en tant que "victimes héréditaires".

Les Afro-Américains devraient être fiers d'avoir participé à la construction des USA et de figurer aussi parmi les personnes de premier plan du pays.

A la place de cela, la haine raciale, artificiellement alimentée par la gauche, a généré la haine des Noirs pour d'autres races, les Blancs mais aussi les Asiatiques.

Les Noirs vivant aux USA, 13% de la population, ne sont nullement tous des descendants d'esclaves, mais aussi d'immigrants volontaires à la recherche d'une vie meilleure.
La révolte et le déchaînement de haine et de barbarie qui secouent les USA depuis la mort du délinquant toxicomane Floyd sont juste honteux.

Par ailleurs, être descendant d'esclave ne donne droit à rien du tout, absolument rien du tout. Malheureusement, les Démocrates pensent le contraire, un projet de loi vient d'être adopté par une commission du Congrès qui prévoit que l’État indemnise les descendants des millions d'Africains déplacés entre 1619 et 1865, date de l’abolition de l’esclavage.

En quoi serait-il juste qu'un Blanc, un Asiatique, un Amérindien, etc., paye pour un Noir, juste à cause de la couleur de sa peau ? L’illustre Kamala Devi Harris, vice-présidente actuelle des USA, et riche en mélanine (et pas seulement), est issue d'une famille qui avait de nombreux esclaves!

Toute cette révolution woke que la gauche a générée pour détruire Trump nous rappelle furieusement d'autres programmes communistes, comme la mise au pilori des bourgeois, des intellectuels, des koulaks par des révolutionnaires, dérives qui servaient à justifier la lutte des classes.

Se complaire dans un rôle de victime perpétuelle est le meilleur moyen de rater sa vie et désigner un groupe comme victime amène à détruire l'unité d'une nation.

Mais une fois de plus, l'histoire se répète: tout ce que les gauchistes peuvent faire, c'est de dresser les humains les uns contre les autres, de semer la haine et la désolation... au nom d'une prétendue justice.

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Voici une illustration des conséquences de la révolution antiraciste en cours:
"Ils frappent tous les blancs !"  "Ils sautent sur tous les blancs !"

 They beating up every white person!” “They jumping every white person

https://twitter.com/i/status/1381782409767575553

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Noirs et Blancs face au Covid

Vaccin des Blancs, vaccin des Noirs

Publié par Jean-Patrick Grumberg le 12 avril 2021

Le gouverneur du Vermont, Phil Scott, un Républicain, a annoncé (1) la décision d’ouvrir l’accès à la vaccination contre le virus Covid-19 à toute personne âgée de plus de 16 ans qui souhaite se faire vacciner – sauf les Blancs.

Toute personne qui s’identifie comme noire, amérindien ou personne de couleur dans le Vermont est prioritaire. Le gouverneur Scott a fait passer le message par un tweet. Cette décision semble étrange à l’époque très sensible dans laquelle nous vivons. Si un seul membre du foyer appartient à l’une des préférences raciales spécifiées, l’ensemble du foyer (âgé de plus de 16 ans) a la possibilité de se faire vacciner.

Et il convient de noter que la population du Vermont est très blanche. Elle compte 623 989 habitants. C’est un petit État.

  • 94,2 % des habitants du Vermont sont blancs.
  • Les Noirs ou Afro-Américains représentent 1,4 % de la population,
  • Les Indiens d’Amérique et les Amérindiens d’Alaska 0,4 %,
  • Les Asiatiques 1,9 %,
  • Et les Hispaniques et Latino 2,0 %.

Choisir une race plutôt qu’une autre pour fournir des soins médicaux est contraire à la Constitution des Etats-Unis et aux droits civils. Le gouverneur Scott est un Républicain, mais un Républicain RINO. Il s’adresse vraisemblablement au public Woke du Vermont et envoie un « signe de vertu ».


Oregon : exemption de masque pour les Noirs

Pendant ce temps, CBS News rapportait en juin dernier (2) qu’un comté de l’Oregon avait décidé d’exempter les personnes de couleur de sa politique de port obligatoire du masque, invoquant le risque de « profilage racial ». Cette décision est intervenue alors que plusieurs comtés de l’Oregon avaient renforcé l’obligation de se couvrir le visage pour ralentir la propagation du coronavirus.

Le comté de Lincoln exigeait que chacun porte un masque dans les lieux publics où une distance sociale de 2 mètres ne peut être maintenue. Mais le comté a écrit sur son site internet (3) que « les personnes de couleur qui craignent le profilage racial et le harcèlement en raison du port d’un masque en public » sont exemptées de cette règle. Les autres exemptions concernent les enfants de moins de 12 ans et les personnes souffrant de conditions médicales ou de handicaps particuliers.

La mention a maintenant disparu, elle était scandaleuse, mais pas plus que l’interdiction faite aux blancs du Vermont de se faire vacciner.

Et il y a pire…

Université Cornell : exemption de vaccin COVID pour les Noirs

 » Nous reconnaissons qu’en raison du racisme systémique et des inégalités en matière de santé qui existent depuis longtemps dans ce pays, les personnes issues de certaines communautés marginalisées peuvent avoir des inquiétudes quant à la nécessité d’accepter » la vaccination et le test COVID-19 en cours, dit une page dont l’URL indique « spécialement pour les étudiants de couleur ».

https://www.thecollegefix.com/cornell-vaccine-mandate-only-applies-to-white-students/

Entre fin janvier et mi-février, l’université a supprimé une phrase indiquant qu’il était « fortement recommandé » aux Noirs, aux autochtones et aux personnes de couleur (BIPOC) de se conformer aux règles, et qu’ils pouvaient demander une « exemption » (4).

Elle a également supprimé les étudiants noirs, indigènes et de couleur de la page « FAQ sur les exigences en matière de santé » entre fin janvier et mi-mars.

Ces étudiants « peuvent avoir des préoccupations personnelles quant au respect des exigences du Pacte [comportemental] en raison des injustices historiques et des événements actuels », indiquait la page, qui a maintenant été supprimée quand la controverse sur cette forme de discrimination a pris une dimension nationale.

Une autre page a été supprimée, elle disait :

 » Il est compréhensible que les exigences actuelles du [vaccin] puissent sembler suspectes, voire exploitantes, pour certains membres de la communauté de Cornell qui sont noirs, indigènes et de couleur (BIPOC). De plus, les récents actes de violence commis par les forces de l’ordre à l’encontre des Noirs peuvent contribuer à un sentiment de méfiance ou d’impuissance. »


Les femmes noires meurent près de 4 fois plus du COVID-19 que les hommes blancs dans deux États américains

Les femmes noires sont mortes du COVID-19 à un taux beaucoup plus élevé que les hommes blancs en Géorgie et dans le Michigan l’année dernière, selon une nouvelle étude (5).

  • Les hommes ont tendance à avoir des taux de mortalité liés au COVID-19 plus élevés que les femmes, toutes races confondues, ont déclaré les chercheurs de Harvard qui ont analysé les chiffres.
  • Selon la nouvelle étude, les femmes noires sont mortes à un taux environ 3,8 fois supérieur à celui des hommes blancs dans le Michigan jusqu’en septembre 2020, ce qui signifie qu’environ 147 femmes noires sont mortes du COVID-19 pour 39 hommes blancs.
  • En Georgie, le taux de mortalité des femmes noires était 1,6 fois supérieur à celui des hommes blancs.
  • Dans le Michigan, le taux de mortalité lié au COVID-19 chez les hommes noirs est 170 % fois supérieur à celui des femmes noires.
  • En Géorgie, le taux est 150 % plus élevé pour les hommes noirs par rapport aux femmes noires, et 140 % plus élevé pour les hommes blancs par rapport aux femmes blanches.
  • Dans les deux États, l’écart entre les taux de décès des femmes noires et des femmes blanches est plus élevé que l’écart entre les taux pour les hommes blancs et les femmes blanches.
  1. https://hotair.com/archives/karen-townsend/2021/04/02/republican-governor-prioritizes-minority-communities-covid-19-vaccinations-vermont/
  2. https://www.cbsnews.com/news/lincoln-county-oregon-exempts-people-of-color-from-mandatory-coronavirus-mask-policy/
  3. https://web.archive.org/web/20200623011106/https://www.co.lincoln.or.us/hhs/page/face-covering-directive
  4. https://www.thecollegefix.com/cornell-vaccine-mandate-only-applies-to-white-students/
  5. https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs11606-021-06699-4

source: https://www.dreuz.info/2021/04/12/vaccin-des-blancs-vaccin-des-noirs/

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figure1

L’étude citée dans la dernière partie de l’article ci-dessus montre d’une part que les hommes sont davantage touchés par le Covid que les femmes, et les Noirs davantage que les Blancs – deux choses que l’on savait déjà, mais ce n’était pas l’objet de l’étude – et d’autre part que la différence entre hommes et femmes est plus marquée chez les Noirs que chez les Blancs.

source: https://link.springer.com/article/10.1007/s11606-021-06699-4 (trad. autom.)

Cette différence entre Noirs et Blancs peut tenir à de nombreux facteurs: la surreprésentation des Noirs dans les secteurs de la santé, de l’alimentation, des transports en commun et autres métiers où le télétravail n’est pas possible, le nombre plus élevé de personnes par ménage, l’obésité, le fait d’habiter dans de grandes villes, le moindre respect des mesures d'hygiène, etc.:

https://www.lesoleil.com/actualite/science/pourquoi-la-covid-19-frappe-t-elle-les-noirs-plus-durement-59dff3562feac2ee5feafbafd6118f1e

https://www.opinion-internationale.com/2020/05/15/une-omerta-francaise-les-noirs-ont-ete-plus-touches-par-le-covid-19-que-les-blancs-causes-sociales-ou-ethniques-ledito-de-michel_74917.html

Le graphique ci-dessus montre que la mortalité due au Covid chez les personnes originaires d’Asie ou des îles du Pacifique (Asian/PI) est exactement la même que chez les Blancs, alors qu’elle devrait être proche de celle des Noirs s’il s’agissait simplement d’une question de racisme.


Albert Coroz

 

L’Histoire gréco-romaine et les Lettres classiques au banc des accusés – Aux fous !

Rappel : La ministre socialiste Mme Cesla Amarelle, responsable du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture du canton de Vaud, a supprimé depuis 2021 les cours de culture antique dispensés aux gymnasiens de l’École de culture générale (naguère encore «la voie diplôme»).

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Voici la réponse d’Olivier Delacrétaz à cette décision, dans la rubrique «Opinions» de 24heures du 16.02.2021.

L’enseignement de la culture antique, inutile et nécessaire

La réforme perpétuelle de l’école vaudoise continue imperturbablement d’évacuer les humanités. C’est ainsi que Mme Cesla Amarelle, responsable du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture, vient d’annoncer la suppression des cours de culture antique dispensés aux gymnasiens de l’École de culture générale (naguère encore «la voie diplôme»). Prenant une sérieuse option sur le prochain Champignac d’or, elle a déclaré: «La suppression du cours ne signifie aucunement la disparition de ses contenus.»

Selon Mme Amarelle, les cours de français, d’histoire, d’histoire de l’art et de philosophie contiennent déjà bien assez d’éléments de culture antique. On continuera donc d’enseigner quelque chose de l’Antiquité, mais, dit-elle, «en transcendant […] les frontières disciplinaires». Dans cette même idée que «tout est dans tout», pourquoi ne pas se contenter d’enseigner le français, langue toute pétrie de philosophie, d’art, de culture, de religion et d’histoire?

«Des cultures qui sont à la fois très différentes de la nôtre… et qui sont la nôtre.»

Consacrer un enseignement spécifique et structuré à une branche, c’est lui donner sa pleine importance et pouvoir en imprégner plus fortement l’intelligence de l’élève. C’est tout particulièrement le cas pour ce qui concerne l’Antiquité, ces quelque 1200 ans d’histoire européenne, douze siècles incroyablement riches de création littéraire et artistique, de développements philosophiques, de controverses théologiques et d’expériences politiques et militaires. Cela ne justifie-t-il pas une «frontière disciplinaire»?

Outre son intérêt intrinsèque, cet enseignement a une particularité. Il nous présente des cultures qui sont à la fois très différentes de la nôtre… et qui sont la nôtre.
Le voulant ou non, indignes ou inspirés, nous sommes les héritiers de Socrate, d’Homère et de Praxitèle, de Cicéron, de Virgile et d’Auguste. Connaître leur monde, c’est relier leur passé lointain et notre actualité, c’est y reconnaître notre passé et leur actualité.
C’est prolonger la ligne du temps au-delà du présent et maîtriser mieux nos lendemains. C’est encore, à titre personnel, prendre une distance à l’égard des choses. Cette distance, sorte de jeu dans les rouages du monde qui nous entoure, nous offre un espace précieux pour l’exercice de notre liberté.

Coupure préjudiciable

La culture antique est moins utile que l’informatique? En termes d’emploi, c’est probable. Mais justement, rien n’est plus utile à un jeune que d’apprendre à relativiser l’utile. L’école a pour tâche de faire de l’élève une personne autonome, non de livrer à la société un employé prêt à l’usage.

Au fur et à mesure qu’elle se coupe de l’Antiquité, notre époque se coupe aussi de son présent et de son avenir. Elle se soumet platement aux déterminismes du moment. Elle se replie sur elle-même et sur ses préoccupations matérielles immédiates.

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Sur le même sujet - article publié dans le Causeur le  

Didier Desrimais - Certains professeurs américains sont persuadés que notre façon d’étudier l’Antiquité nous rend racistes…


Trop dominatrices, trop misogynes, trop racistes, trop blanches – des universitaires américains appellent à s’en débarrasser.

Nous savions qu’il existait une caste d’étudiants analphabètes qui faisait régner la terreur sur les campus américains au nom d’un antiracisme de carnaval et d’une théorie sur la “blanchité” récupérée dans les caniveaux de la sociologie la plus minable.
Mais nous ne pouvions pas imaginer que des universitaires, des professeurs, allaient eux aussi participer à la curée de l’homme-blanc-occidental-cause-de-tous-les-maux, et, littéralement, se suicider.
L’agrégé de lettres classiques Raphaël Doan a écrit récemment un article dans le Figaro qui nous l’apprend.

Raphaël Doan Photo: Hannah AssoulineRaphaël Doan Photo: Hannah Assouline

J’espère que la matière va mourir, et le plus tôt possible

Lors d’une conférence, Dan-el Padilla Peralta, professeur d’histoire romaine à Stanford, après avoir incendié la matière qu’il enseigne – coupable de trop de “blanchité” – s’est carrément fait hara-kiri devant une assemblée acquise à la cause : « J’espère que la matière va mourir, et le plus tôt possible. »
Johanna Haninck, professeur de lettres classiques de Brown, dit voir dans sa discipline « un produit et un complice de la suprématie blanche. » Enfin, Donna Zuckerberg, spécialiste de la Rome antique et diplômée de la prestigieuse université de Princeton, a dénigré une « discipline qui a été historiquement impliquée dans le racisme et le colonialisme, et qui continue d’être liée à la suprématie blanche et à sa misogynie. »
S’immolant avec l’ensemble des travaux universitaires d’histoire et de littérature dans un autodafé qui en rappelle d’autres, elle appelle à « tout détruire par les flammes. »

A lire aussi, Raphaël Doan: «L’assimilation est par nature antiraciste»

La folie déconstructiviste ravage tout, y compris les cerveaux qu’on croyait les mieux protégés contre elle. Dans le genre délirant et profondément atteint, on se souviendra qu’il y a quelques mois France Culture twittait des propos stupéfiants pour promouvoir une émission à venir: « On vous ment. Depuis 2000 ans : non, les statues grecques n’étaient pas blanches, mais de toutes les couleurs.
L’Histoire nous l’a caché pour promouvoir le blanc comme idéal d’un Occident fantasmé, contre les couleurs symboles d’altérité et de métissage 
».

Un historien de l’art, Philippe Jockey, y défendait l’idée que la blancheur des statues grecques reflétait en réalité l’expression d’un racisme occidental.
Selon lui, la polychromie originelle de ces statues aurait été intentionnellement effacée des mémoires par les Blancs pour valoriser leur couleur de peau.
De là à parler d’une “créolisation” statuaire présente depuis la plus haute Antiquité mais volontairement oubliée par des Occidentaux racistes, il n’y avait que la moitié d’un pas qui fut rapidement franchi : « C’est le résultat de 2000 ans d’une histoire réactionnaire, qui place le blanc au cœur de ses valeurs et rejette l’impur, le bigarré, le métissage des couleurs. »

Mélenchon et Boucheron, sortez de ce corps !

Complicités avec «la suprématie blanche» dénoncées

Dans son article, Raphaël Doan nous apprend que l’université de Wake Forest, en Caroline du Nord, a annoncé que tous les étudiants du département devront désormais suivre un cours intitulé « les classiques au-delà de la blanchité. »
Ce cours de redressement culturel portera sur « les préjugés selon lesquels les Grecs et les Romains étaient blancs, la race dans les sociétés gréco-romaines, le rôle des classiques dans les politiques raciales modernes, et les approches non-blanches des lettres classiques.»
Au train où vont les délires, soyons fous, rions un peu et imaginons les sujets des prochains cours: “la misogynie (ou le validisme) dans le théâtre grec”, “le validisme (ou la misogynie) dans les arènes romaines” , ou… “la culture du viol dans le théâtre grec et les arènes romaines”.

A lire ensuite, Jean-Paul Bruighelli: #DisruptTexts: pour contrer la « culture du viol », des militants censurent… Homère

Cette folie est hautement contagieuse, et chaque jour qui passe apporte de nouvelles informations qui le prouvent. L’antépénultième : les chiffres romains doivent disparaître des cartels des musées. L’avant-dernière : les Blancs peuvent assister à certaines réunions mais doivent se taire. La dernière: à l’université d’Oxford, des professeurs en musicologie accusent l’ensemble des programmes de musique de « complicité avec la suprématie blanche. » Schubert et Guillaume de Machaut (musicien français du XIVe siècle) vont par conséquent devoir céder la place aux “musiques mondiales”, aux “musiques africaines et diasporiques africaines”, à la musique populaire et au rap.

La confusion mentale est à son comble : les programmes feraient la part belle à « la musique européenne blanche de la période de l’esclavage », ce qui serait l’objet d’une « grande détresse pour les élèves de couleur. » La notation musicale, quant à elle, est qualifiée de colonialiste par les enseignants d’Oxford.
C’est vrai que « une blanche vaut deux noires » c’est presque aussi stigmatisant et traumatisant que « le masculin l’emporte sur le féminin » de notre grammaire.

« Pour acquérir une culture générale, il faut lire certains textes classiques de valeur reconnue », écrivait Allan Bloom dans L’âme désarmée.
À quoi, disait-il, il faut bien entendu ajouter un minimum de connaissances historiques.
Les artisans du déboulonnage et de la “cancel culture”, activistes politiques qui avaient pour principale excuse leur inculture, voient affluer dans leurs rangs des universitaires, spécialistes dans leurs domaines, prêts à pulvériser d’un dernier coup de révolver l’histoire antique et la littérature classique en même temps que le peu de cerveau qui leur restait.
Il est difficile de faire un portrait précis et complet de ce nouveau type d’universitaire désireux de « décoloniser son esprit ». Repentant pathologique, bête, masochiste, opportuniste, suicidaire, crétinoïdal ou « complètement défoncé », comme me le suggère un ami, qui est-il réellement ?
On peut commencer par piocher dans ce stock. Ajoutons que ce type d’individus a souvent été à l’avant-garde des totalitarismes qui prétendaient contrôler le passé aussi bien que l’avenir en modifiant le premier au gré de leurs idéologies et en modélisant le second au nom d’un projet “libérateur” et d’une “glorieuse marche vers le futur”, qui se sont toujours avérés être une voie de garage dans le meilleur des cas, une sanglante catastrophe humaine dans le pire.
L’histoire, quand on ne l’efface pas, peut encore nous apprendre bien des choses.

source: https://www.causeur.fr/histoire-greco-romaine-et-les-lettres-classiques-blanchite-194780

Pourquoi les Noirs ne font-ils pas de ski ? La faute au racisme systémique, selon un socoiologue

Un professeur de sociologie a écrit un livre dans lequel il affirme que le "racisme systémique" est responsable du fait que les Noirs ne profitent pas des activités de plein air.

Le livre affirme que les Afro-Américains sont donc privés "d'expériences esthétiques qui sont au cœur de la condition humaine."

[…]

Dan Krymkowski, professeur de sociologie à l'université du Vermont, a écrit un livre intitulé The Color of Culture : African American Underrepresentation in the Fine Arts and Outdoor Recreation (La couleur de la culture : la sous-représentation des Afro-Américains dans les beaux-arts et les loisirs de plein air), qui soutient que "les différences socio-économiques raciales et ethniques, ainsi que la discrimination historique et contemporaine, qu'elle soit manifeste ou subtile", entraînent une sous-représentation des Afro-Américains dans certains domaines culturels.

"Ces causes sont enracinées dans le racisme systémique qui continue de sévir aux États-Unis", explique la description du livre. "Le manque d'occasions de participer à ces formes culturelles prive les Afro-Américains d'expériences esthétiques qui sont au cœur de la condition humaine, et cela a des implications à la fois sur la santé et sur l'accumulation de capital culturel et social."

Le service de presse officiel de l'université du Vermont, UVM Today, a fait la promotion de ce livre, publié en janvier.

[…]

Article original : Why don't Black people ski? One prof blames systemic racism

Traduction automatique de l’article entier

Battu pour avoir porté ce T-shirt

John Rupolo - Abilene, Texas - Niko Nance, un habitant d'Abilene, un Noir, rapporte avoir été battu pour avoir porté un T-shirt disant que «Les vies des Blancs comptent aussi».

Nance a posté sur Facebook une photo de lui portant ce T-shirt.

Quelques heures plus tard, il dit avoir été battu par plusieurs hommes noirs sur le parking d'un bar local.

"Je saignais du nez et de la bouche", dit Nance. "Je ne pensais pas que les gens seraient comme ça."

Il dit qu'il a été frappé et jeté au sol, mais qu'il n'a jamais signalé l'incident à la police.

Quelques heures plus tard, cette photo  est devenue virale.

Il a des milliers de likes et de partages et des centaines de commentaires - certains bons, d'autres pas très bons - de tout le pays.

Nance dit qu'il a fait faire ce T-shirt pour transmettre le message que nous sommes tous égaux.

"Je voulais montrer mon soutien aussi à d'autres cultures qui nous soutiennent parce que c'est la façon d'être une union", dit-il.

Nance - qui soutient le mouvement Black Lives Matter - a dit que les récentes émeutes et les manifestations violentes avaient eu un effet négatif sur lui.

"Ces violences, ce n'est pas le rêve de Martin Luther King", a dit Nance.

Nous lui avons demandé s'il porterait à nouveau ce T-shirt.

"Certainement, parce que je représente quelque chose de plus grand", a déclaré Nance.

Source: https://cbsaustin.com/news/local/abilene-man-claims-he-was-beaten-for-wearing-t-shirt-that-said-white-lives-matter-too

Traduction Cenator

A Londres, les snobs pro-Black Lives Matter détestent la classe ouvrière blanche

Un article de la "Salisbury review"


Avec l’aimable autorisation de ses auteurs, Causeur traduit et republie un article de la Salisbury review. Qu’ils en soient remerciés. 

Un samedi matin ensoleillé, sur l’artère principale de Chiswick, la file d’attente devant le supermarché Waitrose était baignée d’une lueur d’autosatisfaction. Des dizaines de citadins branchés, habillés de façon décontractée, manifestaient leur sens de la justice sociale en s’agenouillant, signe rituel de soutien à la campagne Black Lives Matter. L’espace d’un instant, ces jeunes à la mode ont pu se sentir noirs par procuration.

Protégés du salariat vs classes défavorisées 

Cette occasion de montrer les vertus de la classe moyenne progressiste ne tenait pas compte des personnes noires défavorisées, des jeunes élevés dans un monde de rap nihiliste, de skank abrutissant et de bandes violentes. Ils ne pensaient pas davantage aux victimes, pour la plupart noires, d’agressions au couteau et de fusillades. Jour après jour, le fossé entre les protégés du salariat et les classes défavorisées s’élargit.

Comme nous l’expliquons dans notre livre Morality, le véritable enjeu est le snobisme de classe. Selon Sohrab Ahmari, auteur de New Philistines (2016), les causes émancipatrices sont exploitées par la bourgeoisie pour préserver son hégémonie culturelle. Quelle est la classe sociale qui excelle le plus dans le respect du politiquement correct, sinon celle des cadres professionnels à ordinateurs portables ? Ses enfants apprennent le jargon des « questions de race, de sexe et de sexualité » dès leur plus jeune âge. On attend d’eux qu’ils le maîtrisent à leur entrée dans la vie active. Les ouvriers, quant à eux, sont les plus susceptibles de peiner avec cette langue. Même lorsqu’ils ont de bonnes intentions, ils n’y parviennent pas toujours, en raison de la complexité de la pensée critique raciale  et des acronymes LGBTQ. En renforçant l’obligation de parler et de penser correctement – et en augmentant du même coup les risques d’échec – la classe néolibérale a  mis en place un nouveau mécanisme répressif pour rester au sommet et maintenir les gueux au bas de l’échelle.

Les pauvres paieront la décarbonisation

Tout en gratifiant les habitants noirs des cités voisines d’une sympathie de façade, les snobs métropolitains détestent la classe ouvrière blanche. Les pauvres, toutes ethnies confondues, devront payer le prix de la décarbonisation exigée par les alarmistes du changement climatique, car ils sont appauvris par la main-d’œuvre bon marché qu’apporte la mondialisation. Mais c’est la classe ouvrière blanche qui souffre le plus dans une société où (comme l’a tweeté le 23 juin le professeur de littérature à  l’université de Cambridge Priyamvada Gopal « White lives don’t matter. As white lives ») la vie des blancs n’a pas d’importance. De plus en plus de données prouvent la chute des résultats scolaires et professionnels des petits blancs qui se trouvent du mauvais côté de la voie et qui ne sont pas BAME (acronyme britannique pour Black, Asian and Ethnic Minority).

Il s’agit sans doute de racisme inversé, comme l’exprime de manière flagrante l’insulte « gammon » (à l’origine, viande de porc de couleur vive) pour désigner les hommes blancs en colère qui n’apprécient pas l’immigration de masse ou le multiculturalisme.

Il y a quelque chose qui ne va pas dans l’attitude envers le groupe favorisé.  Alexander Pelling-Bruce a décrit dans The Spectator (4 juillet 2020) les récents rassemblements antiracistes comme une performance culturelle : « Certains des plus fervents partisans blancs du BLM sont les mêmes types de personnes cosmopolites qui ont précédemment défilé contre le Brexit. Puis, ils ont utilisé un conflit constitutionnel pour s’élever au-dessus de leurs concitoyens supposés paroissiaux. Aujourd’hui, ils affichent leur supériorité en attirant l’attention sur le péché de leur propre blancheur. »

S’excuser pour quelque chose qu’on n’a pas fait

A l’image du prince Harry qui s’est réveillé dans son manoir à Los Angeles, la culpabilité de la classe moyenne ne se transforme pas en autoflagellation chiite avec du sang qui coule dans les gouttières. S’excuser pour quelque chose qu’on n’a pas fait, en utilisant le mot « nous » alors qu’on veut vraiment dire « ils », est indolore et socialement gratifiant.  En se concentrant sur la race, ces philanthropes ne se critiquent pas eux-mêmes, mais s’adressent à leurs cibles habituelles : les patriotes à l’esprit traditionnel, plus bas dans la hiérarchie socio-culturelle.

Pourtant, les Noirs ordinaires ne veulent pas être les pions des politiques identitaires qui divisent. La racialisation de la société est régressive en ce qu’elle attribue des caractéristiques à chaque personne en fonction de son ethnicité. La race est un concept scientifiquement douteux. Ce n’est certainement pas un absolu, comme le confirment des millions d’enfants métis. Or, la couleur de la peau est dangereusement utilisée pour alimenter les tensions interraciales par ceux-là même qui se disent antiracistes.

Le mouvement Black Lives Matter est raciste non parce qu’il est anti-blanc (bien que certains militants aient des préjugés racistes flagrants), mais par son essentialisme mythologique. Un Louis Farrakhan de jeux vidéo décrit le privilège blanc comme s’il y avait quelque chose d’intrinsèquement supérieur chez les diables de Yakub (selon les croyances de la Nation de l’Islam, Yakub était un scientifique noir qui a vécu il y a 6 600 ans et a créé la race blanche) qui détiennent le pouvoir intrinsèque de ruiner la vie des Noirs. Cette idée est devenue courante, avec des rayons entiers de livres consacrés au « racisme systémique » à la lumière des protestations du BLM.

Le filon de l’esclavage

Il s’agit d’une forme paradoxale de suprémacisme blanc : le fantasme des militants antiracistes est si fort que la société doit « abolir la blancheur ». Les Blancs du mouvement woke croient apparemment que leur ascendance les rend impitoyablement efficaces, tout en considérant avec condescendance les autres ethnies comme Les tribus primitives mais nobles car en accord avec Mère Nature, comme le montre le National Geographic…

La classe moyenne libérale aimant défendre une bonne cause, puisque la brutalité policière britannique n’est pas suffisamment documentée, elle a trouvé dans l’esclavage un meilleur filon. Tout personnage historique ayant fait du commerce outre-mer aux XVIIe et XVIIIe siècles incarne un pays raciste, ses actions philanthropiques en étant conséquemment invalidés.

Les avantages économiques légués à l’intelligentsia progressiste sont entachés d’une faute morale, car le patrimoine familial s’appuie sur les bénéfices de l’esclavage. L’admettre est moins grossier que de glisser dans la conversation que le cousin d’un nobliau assiste à un dîner qu’on organise, mais cela va dans le même sens.

Marxisme culturel

Comme l’a fait remarquer Lionel Shriver (une femme de lettre et journaliste américaine qui vit au Royaume-Uni, soutient le Brexit et s’oppose à la discrimination positive), la honte crée un malaise, et non de la joie. Le racisme exprime le complexe du sauveur blanc. C’est l’attitude de ceux qui vont en Afrique pour sauver des indigènes sans défense, rendant en dernière instance les Blancs responsables de leur situation misérable. Avec leur mantra « le silence des blancs est de la violence », ces missionnaires post-modernes préconisent des réparations pour l’esclavage, comme si le noir devait vivre des restes de l’opulence blanche. Les citoyens noirs et asiatiques n’ont pas besoin que les propriétaires de maisons cossues affirment que leur vie compte.

Le déterminisme marxiste, par l’importance qu’il accorde à la structure plutôt qu’à la possibilité d’action des individus, est à l’origine de la transformation de George Floyd en héros populaire, dont le meurtre par un policier a suscité l’indignation mondiale. Dans l’esprit des partisans blancs du BLM, un homme noir qui s’est illustré dans la criminalité et la drogue ne fait que ce qu’on lui a imposé.  Autrement dit, le problème, c’est la police et les tribunaux, pas le délinquant. Une attitude similaire est adoptée à l’égard du programme Prevent visant à éloigner les jeunes musulmans du terrorisme. Bien sûr, les cambriolages à main armée et les attentats suicides sont un fléau pour la société, mais il y a des avantages à tirer pour ceux qui se rangent du côté d’un groupe de victimes patentées. Selon Inaya Folarin Iman, chroniqueuse et candidate malheureuse du parti pro-Brexit aux législatives de 2019, « il ne s’agit pas d’une continuation des luttes de libération du passé, mais d’un rejet de celles-ci ». Les progressistes de la classe moyenne ne croient pas en la capacité des « racisés » à agir. Cela traduit  un stéréotype grossier selon lequel les Noirs sont inférieurs.

Oublions la mélanine

Le racisme est indéniablement un problème, mais les choix de vie ne dépendent pas de la quantité de mélanine des uns et des autres.  Pour les enfants narcissiques de la classe moyenne, émettre ce message émancipateur est une police d’assurance psychologique contre les ogres qui marchent cagoulés dans les rues la nuit. Les stéréotypes grossiers ont la vie dure. L’appel à arrêter de financer la police, repris sur les réseaux sociaux, n’est destiné qu’aux quartiers noirs. Ce n’est certainement pas une autorisation pour cambrioler les avenues verdoyantes des beaux quartiers de Londres.

Ironiquement, la vague de Black Lives Matter a balayé un pays à une époque où le racisme était moins flagrant que jamais. Au lieu d’apprécier ces progrès,les agitateurs sont à l’affût de son retour en force.  Comme l’ont découvert des behaviouristes tels que Skinner, le comportement appris se renforce par des récompenses peu fréquentes. Le désir de montrer sa vertu en condamnant les autres est irrésistible et, dans une certaine mesure, crée une dépendance. Pour une dose de dopamine, les dénonciateurs regardent sous chaque pierre pour débusquer une trace de racisme. Les réseaux sociaux profitent de notre dépendance, à l’image de la boîte à tendances de Twitter qui encourage les utilisateurs à participer aux expressions de honte publique.

Or, si le racisme était facile à dénicher, l’effet de nouveauté s’estomperait rapidement. Ici, il ne s’agit pas vraiment de race. Car l’engouement de la classe moyenne pour le mouvement Black lives matter détourne l’attention des problèmes sociaux de nos villes, problèmes qui touchent de manière disproportionnée les communautés noires. Au lieu de gaspiller du temps et de l’argent dans des formations sur les préjugés inconscients, des audits sur les salaires des minorités et des comités sur le déboulonnage des statues, la société devrait se préoccuper davantage de la lutte contre la criminalité, les gangs, le trafic de drogue et la dépendance, ou du désespoir des familles sans père.

Peu d’ambition pour les minorités

Les progressistes libéraux ont des attentes aussi faibles que le professeur d’une école alternative des années 1970 qui oriente un noir bon élève vers le sport plutôt que vers la science. Gaspiller de l’argent dans les cours de graffitis est à l’opposé de l’approche ambitieuse qu’il faudrait adopter.

Sur Chiswick High Road, alors que les aspirants membres de l’élite métropolitaine s’en allaient avec suffisance, le gouvernement de Boris Johnson semblait impuissant face au saccage de notre patrimoine culturel par les vandales du BLM. Tout cela était très excitant pour un quartier chic de l’ouest de Londres, où les trois quarts des habitants ont voté contre le Brexit. L’allégeance à un super-État européen avec 27 autres pays à prédominance blanche avait un aspect néo-impérialiste : ce bloc protectionniste impose de lourds droits de douane sur les exportations africaines. Mais ce n’est pas grave car, de temps en temps, les bien-pensants offrent leurs vieux vêtements à Oxfam.

Retrouvez la version originale de l’article sur le site de la Salisbury review.

source: https://www.causeur.fr/a-londres-les-snobs-pro-black-lives-matter-detestent-la-classe-ouvriere-blanche-180256

Il n’y a que les Blancs qui sont violents, c’est pour cela qu’on doit les tuer !

Publié le 6 juillet 2020 - par

À la suite des récents événements (notamment les manifestations pour Adama Traoré), Riposte Laïque a souhaité recueillir l’opinion d’un membre influent de la communauté dite « racisée », en la personne d’Aristide Menguo, qui a une fois publié dans nos colonnes (1). Papy Pangloss, dont nos lecteurs ont fait la connaissance récemment (2), a accepté de réaliser cette interview.

1 – https://ripostelaique.com/le-meurtrier-de-mickael-harpon-doit-etre-juge-et-condamne.html

2 – https://ripostelaique.com/chroniques-de-la-decadence-heureuse.html

Papy Pangloss : Bonjour Aristide Menguo. Je rappelle pour nos lecteurs que vous êtes membre du Parti de l’extrême gauche insoumise (tendance trotskiste) pour lequel vous travaillez comme assistant parlementaire. Vos origines afro-antillaises vous ont par ailleurs amené à vous rapprocher des Indigènes de la République et à fonder le Mouvement antifasciste et anticolonialiste pour le soutien aux migrants et aux minorités racisées, dont vous êtes le secrétaire général. Enfin, à l’instigation de notre collaboratrice Leïla Adjaoud, vous avez fait paraître dans Riposte Laïque, en octobre dernier, un article particulièrement incisif contre le racisme et l’islamophobie que vous attribuez à ceux que vous appelez les « souchiens ». Ce qui amène ma première question : comment se fait-il que vous n’ayez rien écrit depuis lors ?

Aristide Menguo : Je n’ai rien écrit parce que je n’ai plus rien à écrire ! Mes idées ont eu tellement de succès que maintenant elles n’ont plus rien d’original ! Tiens, par exemple, je disais en octobre dernier, après le meurtre de Mickaël Harpon, qu’il fallait désarmer la police ; eh bien Mélenchon, il vient de dire exactement la même chose…

P.P. : Oui, et quelques jours après, il a également appelé à désarmer les gangsters sans dire comment une police désarmée s’y prendrait, et ça n’a fait rire personne… Mais vous aviez eu aussi des mots très forts au sujet – je vous cite – des « crimes contre l’humanité » commis par les Blancs qui devraient « en payer le prix par le sang » – c’est un peu violent, non ?

A.M. : Ah non, il n’y a que les Blancs qui sont violents ! Nous, on est des victimes des Blancs, donc on est innocents, ni violents ni racistes ! Si on veut tuer les Blancs, ce n’est pas de la violence ni du racisme, c’est juste de la légitime défense… Et puis avant moi, il y avait eu le rappeur Nick Conrad qui avait fait le clip « Pendez les Blancs », mais bon, un clip de rap, c’est de la musique et de la poésie, c’est de l’art ! Et pourtant, il y a eu des fils de p… pour le faire condamner, ça prouve bien que « l’État français est un état totalitaire, terroriste, esclavagiste, colonialiste », comme l’a dit mon frère Egountchi Behanzin, le leader de la Ligue de défense noire africaine : c’est la vérité, et qu’est-ce que tu veux que je dise de plus ?

P.P. : Justement, ce leader s’est exprimé dans le cadre d’une manifestation organisée par Assa Traoré à la mémoire de son frère Adama. Que vous inspire le succès du mouvement qu’elle a initié et l’attitude… disons compréhensive des autorités françaises ?

A.M. : « Compréhensive » ? Non, mais n’importe quoi ! Tu veux dire qu’ils chiaient dans leur froc, les bouffons ! Ils ont bien vu qu’on était prêts à tout casser, parce que y’en a marre des violences policières ! Même le Castaner, il aurait accepté de mettre le genou à terre devant nous pour essayer de nous calmer ; j’aurais bien aimé voir ça, dommage que les flics d’extrême droite, ces fachos, ils ont fait des contre-manifs… Ceux-là, quand l’extrême gauche insoumise sera au pouvoir, on va les rééduquer ! Et je ne te parle pas des Noirs qui sont devenus flics, ça c’est des vendus et des traîtres qui ne méritent qu’une balle dans la tête !

P.P. : Vous dites que vous étiez prêts à tout casser, mais en réalité, ces manifestations du Comité Adama Traoré contre les violences policières se sont déroulées dans un calme relatif… « Pendez les Blancs », ce n’est plus à la mode ?

A.M. (en riant) : Ça le redeviendra… mais pas tout de suite ! Pour le moment, on ne cherche pas encore à détruire les Blancs, on veut juste d’abord faire peur, et ça marche : on manifeste alors que les rassemblements sont interdits et les forces dites de l’ordre n’osent même pas nous en empêcher ! Et ensuite, on veut obtenir des victoires politiques : dénoncer les meurtres de George Floyd et d’Adama Traoré, faire désarmer la police, faire enlever les statues des sales colonialistes, obtenir des avantages en compensation de ce qu’ils ont fait, et tout ça… Et pour ça, la technique, c’est la convergence des luttes !… Tu as remarqué que Mélenchon et sa France Insoumise étaient avec nous ?

P.P. : Bien sûr, et pas seulement ! Vous êtes soutenus par des Antifas, de nombreux mouvements de gauche, des anticapitalistes, des Gilets jaunes (les pauvres !), et même par des militants des droits homosexuels…

A.M. : Et pourtant, les homos, ils ne sont pas trop bien vus dans la culture africaine… Mais les luttes pour les minorités, ça converge, et tu vois, tout ça c’est des Blancs qui nous sont utiles ! Mais c’est pas tout, et là je vais te faire un scoop : c’est qu’Assa Traoré, elle va s’allier avec Attac et Génération Climat pour manifester à la fois contre les violences policières, pour les Noirs et pour l’écologie !

P.P. : Génération Climat ? L’écologie ? Mais qu’est-ce que ça a à voir avec vous ?

A.M. : Mais ça a tout à voir ! D’abord, l’écologie, le sauvetage de la planète, c’est comme l’antiracisme, les droits des femmes et des minorités, le progrès social, tout ça c’est le Bien par définition, tout le monde est pour, on ne peut pas être contre – ou alors, on est pour le Mal, parce qu’on est un sale facho, un raciste, un réactionnaire à rééduquer ! Donc s’allier avec les écologistes, c’est se mettre dans le camp du Bien et se rendre inattaquable, bravo Assa !

P.P. : Peut-être, mais les écologistes qui luttent contre le réchauffement climatique d’une part, et vous qui déclarez que vous luttez contre le néocolonialisme des Blancs d’autre part, vous n’avez pas du tout les mêmes objectifs !

A.M. : Que si ! Qui c’est, les responsables de la pollution et du réchauffement climatique ? Les pays industrialisés, c’est-à-dire les Blancs ! Qui c’est qui a produit le capitalisme, le colonialisme, l’impérialisme, c’est encore les Blancs ! Alors les écologistes et nous, on n’a peut-être pas les mêmes finalités, mais on a le même ennemi, c’est les Blancs ! Les Blancs qui ont aussi inventé l’esclavage…

P.P. : Hé, ho ! Là, je vous arrête, l’esclavage était largement pratiqué en Afrique bien avant que les Européens…

A.M. : En Afrique, c’était une tradition, ça faisait partie de la culture ! Tu n’as pas le droit de critiquer la culture de mes frères, c’est du racisme ! Là, tu me manques de respect et si tu continues, je vais m’énerver…

P.P. : Bon, bon, je n’insiste pas… Vous pensez donc que les écologistes vont vous aider à dominer le peuple français ?

A.M. : Bien entendu ! Même qu’ils ont déjà bien commencé le travail, avec l’aide de tous les progressistes qui rêvent d’un gouvernement mondial ! Quel meilleur argument pour ça que la nécessité de résoudre un problème mondial comme le réchauffement climatique ? Tu as vu comment la petite Greta Thunberg a fait la leçon aux chefs d’État, avec son regard mauvais et sa moue méprisante ?… Ils étaient tous comme des gamins devant elle… même le pape ! Et maintenant, on voit le résultat : grâce au matraquage idéologique orchestré par les médias, tout le monde a fini par croire sans réserve à la théorie du réchauffement climatique. Il y a bien encore quelques climatosceptiques, mais ils n’osent plus se montrer en public de peur d’être stigmatisés socialement et professionnellement. Petit à petit, tout le monde se soumet et ça commence à se traduire politiquement : tu as vu les municipales à Paris, Strasbourg, Besançon, Lyon, Poitiers, Bordeaux, Marseille ?… Eh bien dans quelques années, c’est des maires africains qu’on fera élire partout !

P.P. : Si je comprends bien, vous allez suivre l’exemple des écologistes ?

A.M. : Mais toutes les minorités utilisent la même technique ! Les islamistes, les féministes et les LGBT, les animalistes et les végans, ils cherchent tous à imposer leurs idées en empêchant qu’elles puissent être critiquées, le moyen pour ça étant d’obtenir que la moindre objection soit assimilée à un délit… En réalité, c’est les minorités racisées qui ont montré l’exemple en s’appuyant sur les lois contre le racisme : ces Blancs arrogants qui avaient dominé le monde, on a réussi à leur coller la honte – ça les a pourris de l’intérieur parce qu’ils n’étaient pas assez forts moralement. Et maintenant, nous sommes tous unis, avec les écologistes, les féministes et les autres, dans un même but : détruire la France, son histoire, ses traditions et sa culture, pour faire place nette à la mondialisation et à l’immigration sans frontières. Ce peuple, parce qu’il est décadent, acceptera de se soumettre : il est mûr pour être colonisé à son tour !

P.P. : Merci Aristide Menguo pour ces déclarations pleines de franchise et sans langue de bois. J’espère vivre encore assez longtemps pour voir les premiers résultats de vos efforts, car il y a au moins un point sur lequel je suis d’accord avec vous : les peuples ont le destin qu’ils méritent.

Souhaitez-vous ajouter autre chose ?

A.M. : Oui, avec tous mes camarades antiracistes, antifascistes et anticolonialistes : À bas les fachos, place à nos frères migrants et vive le Grand Remplacement !

… Et vive l’écologie !

Aristide MENGUO, assistant parlementaire, secrétaire général du Mouvement antifasciste et anticolonialiste pour le soutien aux migrants et aux minorités racisées (MAASM

source: https://ripostelaique.com/

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