Islam – lapidation, amputations, égorgements, tortures

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Michel Garroté - Attentat à Nice, coup d'Etat en Turquie, islam, attentat à la hache en Allemagne, parlons-en. Intéressante, cette analyse de Saïd Derouiche publiée dans 'Causeur' (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : "Le vrai problème, ce sont ces discours 'ambigus', issus des présumés modérés. Car aujourd’hui encore, il y a des gens, visiblement 'propres sur eux', qui continuent à nourrir la haine et à participer à son ancrage chez ces malheureux qui n’ont rien trouvé de mieux que la religion pour 's’épanouir'. Sous la bannière de l’UOIF et des Frères musulmans on peut raconter ce qu’on veut. Et ce seront les premiers à condamner les violences. Si on était parano, on pourrait croire qu’ils se paient notre tête", conclut Saïd Derouiche (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Hallucinante, cette analyse d'Abdelkader Sadouni, imam de Nice (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : "La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de porter des symboles religieux en public donnent l’impression à ces jeunes de ne pas faire partie de la communauté nationale et ce sentiment les motive à partir pour rejoindre, ceux qu’ils estiment être leurs semblables. Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse de nombreux jeunes à aller se battre. Aussi longtemps que les mosquées seront si peu nombreuses, que leur construction suscitera des protestations et que les musulmans seront discriminés, il y aura ce genre de réactions. Réactions certes erronées, mais bien réelles, face auxquelles nous devons extirper le phénomène qui les génère", conclut Abdelkader Sadouni (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Turquie :
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Christian Vanneste, dans "Le contre-coup d’Etat d’Erdogan", écrit notamment (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Il fallait que les dirigeants européens fussent bien aveugles pour considérer qu’Erdogan fût fréquentable. Promoteur de la guerre civile syrienne, soutien évident des rebelles islamistes et plus ambigu de Daesh qui a largement profité de la porosité de la frontière turque, maître-chanteur à l’immigration de masse, par ailleurs chez lui Chef d’Etat mégalomane qui bombarde les Kurdes et censure les médias, le nouveau sultan bénéficiait d’une incroyable indulgence de la part de l’Union Européenne prête à lui accorder 6 milliards d’Euros, une levée des visas pour les ressortissants turcs, et une réouverture de l’adhésion de la Turquie, en échange de sa « bonne volonté » pour empêcher le passage en Grèce des migrants de toute provenance.
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Une telle faiblesse soulevait le coeur alors même que l’un des membres de l’Union, Chypre, subit depuis de longues années l’occupation d’un tiers de son territoire par l’armée d’Ankara. Le 15 Juillet, un drôle de coup d’Etat militaire se produisait. Bien que ceux-ci fussent fréquents en Turquie, celui-ci a été surprenant pour trois raisons. D’abord, son objectif proclamé était de rétablir l’Etat de droit conforme dans ce pays à l’esprit de Kemal Atatürk, fondé sur la laïcité et le respect tout relatif des droits de l’homme. On imagine que cette dernière notion visait surtout la liberté d’opinion et de la presse, mise à mal par le Président. Ensuite, les coups d’Etat bénéficiaient souvent de l’appui de la totalité des Forces armées et après une opération menée sans coup férir, ils conduisaient à des exécutions de dirigeants politiques.
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Or, celui-ci était manifestement minoritaire et va au contraire conduire à une purge au sein de l’armée. Enfin, on peut concevoir les militaires orfèvres en matière opérationnelle. Ici, l’amateurisme a prévalu : des ponts coupés, des médias occupés, un Chef d’Etat-Major retenu, des bâtiments bombardés, mais le Chef d’Etat, comme par hasard préservé et capable de lancer un message pour mobiliser ses partisans au sein du parti qui le soutient, l’AKP. En revanche, la rapidité, l’ampleur et la cohérence de la répression laissent peu de place à l’improvisation. Quatre jours après la tentative avortée, la purge est à la fois ciblée et massive. Les chiffres sont impressionnants : 9'322 militaires, magistrats et policiers arrêtés, mais aussi 2745 juges démis et 15000 employés de l’Education nationale suspendus.
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Le Conseil de l’Enseignement Supérieur a demandé la démission de 1500 recteurs et doyens d’Universités. Le Haut Conseil turc de la radio et de la télévision a retiré un certain nombre de licences. Tout se passe comme si une éradication planifiée était mise en oeuvre, visant tous les sympathisants  du mouvement Hizmet fondé par le prédicateur Fethullah Gülen réfugié depuis de longues années aux Etats-Unis. Il faudrait être bien naïf pour croire à une réaction spontanée. On peut même se poser la question de savoir si ce n’est pas Erdogan lui-même qui a fomenté ce putsch raté tant c’est à lui que le crime profite. En tout état de cause, si son pouvoir se trouve renforcé, il parait clair aujourd’hui que ce dictateur est peu fréquentable moins en raison de son absolutisme, que le réalisme politique nous contraint d’accepter, que de son machiavélisme qui le rend trop peu fiable.
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L’incendie du Reichstag, le prétendu putsch des SA, celui tout aussi imaginaire de Toukhatchevski, le fait de se débarrasser de ceux qui vous ont aidé à prendre le pouvoir, Röhm ou Trotski, sont des cailloux semés sur le chemin des dictatures. Gülen a grandement favorisé l’accession de L’AKP au pouvoir. La ressemblance est troublante et doit inciter à la prudence. Comme d’habitude, l’Union Européenne est en dessous de tout.
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Les ministres des Affaires Etrangères, et la superflue Federica Mogherini se sont réunis à Bruxelles en présence du Secrétaire d’Etat américain, John Kerry pour faire les gros yeux et souligner leur opposition au rétablissement de la peine de mort à laquelle songe le Grand Turc. On peut compter que cette collection d’impuissances reprendra les négociations avec le sultan si celui-ci a l’habileté de renoncer à ce détail de la peine capitale tout en maintenant son opposition dans les prisons turques dont on connaît l’hospitalité proverbiale, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Toujours à propos de la Turquie, Bernard Antony écrit notamment (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Une Turquie où des Européens se rassembleraient nombreux dans leurs lieux de culte chrétiens et ce pour clamer leur soutien à leur chef en Europe, impensable ? Bien sûr ! Impensable d’abord parce qu’il n’y a pas beaucoup d’Européens en Turquie, et encore moins de chrétiens. Impensable parce que le chrétien, étranger ou non, n’a aucun droit politique dans cette Turquie où la population chrétienne d’il y a un siècle a été génocidée à 99%. Impensable encore parce que 99% des églises ont été rasées !
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Mais ce qui n’est pas impensable, c’est la réalité que retransmettent nos médias : d’importantes communautés turques rassemblées dans leurs mosquées en France pour y clamer leur soutien à Erdogan, leur calife. Tranquillement « chez eux, chez nous » comme Mitterrand voulait qu’il en soit de tous les immigrés. Mais d’ailleurs, désormais, pour ces glorificateurs erdoganiens des janissaires et des bachi-bouzouks, c’est bien chez eux qu’ils sont et ils ne toléreront pas bien longtemps que nous puissions nous y croire encore chez nous. Illusion semblable à celle des malheureux Arméniens et Assyro-chaldéens qui se croyaient encore chez eux au début du XXème siècle, en Cilicie notamment où ils étaient les plus nombreux, et ce depuis des siècles, bien avant l’islam.
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Mais qui rappelle cela dans nos médias confisqués par l’idéologiquement correct et l’islamo-turcophilie obligatoire ? Eh bien ici au moins, rappelons qu’il est encore vivant et honoré, celui qui a décidé en 1976 du regroupement familial en France pour les travailleurs immigrés, fausse charité véritablement criminelle de par ses conséquences. Et c’est le même Giscard d’Estaing qui venait, l’année précédente, avec son Chirac de premier ministre, d’imposer la loi Veil. C’est ce que j’avais appelé à l’époque le génocide français. Nous en connaissons de nouvelles étapes, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Islam - lapidation, amputations, égorgements, tortures :
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L'Agrif, de son côté, revient sur l'islam (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Pour nos radicaux socialistes, les racines sont celles du jacobinisme révolutionnaire, étatiste et laïciste. Pour les anarchistes radicaux, ce sont celles des nihilistes terroristes des siècles précédents, de Ravachol à Baader. Pour les chrétiens radicaux, ce sont celles de la vérité évangélique, de pauvreté, de chasteté, d’humilité, de partage et de non-violence dans l’imitation de Jésus-Christ. Pour les musulmans radicaux, c’est l’imitation du modèle du Prohète, selon la lecture littérale du Coran et des récits de ses faits et gestes (les Hadîths), y compris dans toute leur cruauté (lapidation, amputations, égorgements, tortures).
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Mais le respect de l’idéologiquement correct, de l’antiracistement correct, de l’islamiquement correct, mêlé à l’inculture et à la lâcheté, fait que les commentateurs et les politiciens et les politologues et les « experts » laïques ou religieux, s’ils en ont la connaissance, ne veulent pas le dire. Ils n’ont ni la lucidité ni le courage du maréchal Sissi et de quelques autres courageux intellectuels musulmans. Le 28 décembre 2015, le maréchal Sissi, à Al-Azhar, devant le grand mufti et l’assemblée des ulémas d’Égypte, eut, lui, le courage d’appeler à une « révolution religieuse » pour en finir avec « ce corpus de textes et d’idées – Coran, Hadîths – sacralisé depuis trop longtemps ».
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Voilà ce que l’on devrait attendre des imams hélas trop nombreux à être experts en doubles discours (Taqiya) : qu’ils enseignent enfin que le modèle du prophète tel qu’il ressort d’une lecture littérale du Coran et des Hadîths procède d’une tardive construction idéologique et politique, qu’il est fou et criminel d’imiter. On attend donc dans cette voie puissamment déblayée par le maréchal Sissi la proclamation solennelle par toutes les grandes instances islamiques, nationales ou internationales, que ce ne sont pas des houris dans les jardins du paradis qui attendent les terroristes mais les démons de l’enfer. À la propagande massive de l’État islamique et autres organisations devrait de plus en plus répondre une contre-propagande encore plus massive sur le fait que l’idéologie de l’islam n’est que mensonges et impostures, ne reposant que sur des textes détournés, falsifiés, inventés entre le 6° et le 9° siècles.
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La guerre militaire et policière contre le terrorisme islamiste ne saurait suffire. La guerre idéologique, religieuse et psychologique n’est pas moins importante et à long terme, décisive. La déradicalisation, c’est de s’attaquer aux racines de l’islamisme, de dénoncer les mensonges de ses textes, les impostures de ses assertions. On ne peut combattre le fondamentalisme qu’en minant ses fondements. Il faut que les musulmans, libérés de la sacralité textuelle et de la vision théocratique qui en procède, puissent toujours plus opposer la liberté de recherche de la vérité à un islam sclérosé et terroriste. Il faudrait certes pour les y aider des hommes d’une autre conscience, d’une autre culture que celles de nos gouvernants et de la plupart de nos responsables politiques, médiatiques et religieux. Mais ne les attendons pas. Il faut faire tout ce qui est possible pour que ne soient pas freinés les musulmans qui œuvrent à l’authentique « révolution religieuse » prônée par le maréchal Sissi, conclut L'Agrif (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Attentat à la hache en Allemagne :
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D'autre part, Bernard Antony revient sur le « réfugié » musulman ayant perpétré l’attentat à la hache en Allemagne (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Un jeune « réfugié » afghan (ndmg - ou pakistanais selon certains médias), emmené en vacances a poignardé un de ses éducateurs lui ayant demandé de ne pas mettre ses pieds sur la table. Ceci vient après l’attentat à la hache perpétré en Allemagne par un autre jeune  musulman afghan, lui aussi bien accueilli dans ce pays par une famille pleine d’humanité. Ces faits viennent confirmer, s’il en était besoin, ce que nous révélait il y a déjà plusieurs années un véritable réfugié désormais prénommé Jean, menacé de mort en Algérie parce que converti au christianisme.
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Dans le foyer d’une institution d’origine catholique qui l’hébergeait, il était encore menacé de mort par un de ces Afghans qui, ainsi que bien d’autres pseudo-réfugiés du Caucase et d’ailleurs, font régner la charia par la terreur partout où on les accueille. Faux réfugiés mais véritables envahisseurs islamo-terroristes. Il n’y a d’ailleurs aucune raison, sauf exception pour ceux, menacés du pire, qui ont collaboré avec nos soldats, pour accueillir des quémandeurs d’asile afghans. Les Afghans sont à peu près tous des musulmans fondamentalistes aux coutumes les plus obscurantistes, notamment dans le traitement des femmes. Les uns parmi les réfugiés sont partisans des Taliban : les laisser arriver en Europe est criminel.
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Le devoir de la plupart des autres est de combattre les Taliban, pas de déserter. Et s’ils doivent se réfugier, c’est au Pakistan ou dans les autres pays musulmans de l’Asie qu’ils doivent trouver asile, ou en Iran, pour ceux de la minorité chiite. Ajoutons ici qu’il y en a assez de l’impudence de tant d’immigrés musulmans, aussitôt aigris, aussitôt révoltés parce qu’ils ne reçoivent pas immédiatement tout ce qu’ils s’estiment en droit d’exiger. Que n’ont-ils pour modèles les réfugiés d’Indochine, presque tous polis, respectueux, discrets, travailleurs. Mais que n’apprend-on dans les écoles quelle était la vie misérable des indigènes en Tunisie ou en Algérie sous la colonisation turque. Les Français en ont ras-le-bol de la jérémiade des assistés sociaux fabriqués par la convergence de l’échec de l’école de la République et du fatalisme mahométan, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
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Attentat à Nice, coup d'Etat en Turquie, islam, attentat à la hache en Allemagne , voilà, nous en avons parlé. On va encore nous reprocher "d'exagérer" et de faire des "amalgames"...
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.causeur.fr/attentat-nice-islam-islamisme-uoif-freres-musulmans-ramadan-39335.html
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http://www.ilgiornale.it/news/mondo/limam-nizza-laicit-francese-responsabile-attentati-1286470.html?mobile_detect=false
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http://www.fdesouche.com/750335-abdelkader-sadouni-un-imam-de-nice-la-laicite-la-francaise-est-responsable-des-attentats
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http://www.christianvanneste.fr/2016/07/20/le-contre-coup-detat-derdogan/
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http://www.bernard-antony.com/2016/07/mais-jusquou-ira-limpudence-ottomane.html
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http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=567:radicalisation-ils-ne-cessent-d-en-parler-mais-sans-oser-nommer-comme-le-marechal-sissi-la-racine-du-mal-dont-il-s-agit-la-sacralisation-des-textes-fondateurs-de-l-islam
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http://www.bernard-antony.com/2016/07/les-refugies-afghans.html
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