Multiculturalisme: deux djihadistes devant le Tribunal pénal fédéral

10 août 2020 - (ATS)

Le procès de deux islamistes présumés a débuté lundi devant le Tribunal pénal fédéral. L'un est le cofondateur de l'école d'arts martiaux "MMA Sunna" à Wintertour. L'autre est notamment accusé d'avoir eu une relation avec une mineure.

Âgé de 34 ans, l'accusé principal a séjourné en Syrie en novembre et décembre 2013, selon l'acte d'accusation. Durant cette période, il aurait fait partie d'un groupe de combat de l'organisation terroriste Etat islamique. Il aurait assuré des gardes armées et participé à des actions guerrières.

A son retour en Suisse, il a fondé avec le champion du monde de boxe thaïlandaise Valdet Gashi l'école d'arts martiaux "MMA Sunna" à Winterthour. En outre, il a dirigé l'action de distribution du Coran "Lies!" (lis!).

Plus grande erreur de sa vie

Devant le Tribunal, l'accusé s'est repenti. Il a admis qu'il a partagé entre 2012 et 2014 les idées de l'Etat islamique. Ce fut la plus grande erreur de sa vie, a-t-il plaidé, en soulignant qu'il n'avait plus rien à voir avec ces gens qu'il fréquentait à l'époque.

L'accusé n'a pas voulu préciser sa situation personnelle, estimant que lui et sa famille avaient eu de gros problèmes à cause de l'écho médiatique de cette affaire.

Toutefois, les questions posées par le président du Tribunal ont montré que l'accusé et sa famille vivaient de l'aide sociale et qu'il avait des dettes. Il a été condamné à une amende pour fraude en 2016.

Devant le Tribunal, trois témoins sont par ailleurs revenu sur leurs propos lundi. L'un, père de deux enfants qui s'étaient rendus en Syrie en 2014, a indiqué que les deux accusés n'avaient rien à voir avec le voyage de ses enfants. Avant cela, il avait établi à plusieurs reprises un lien entre l'accusé principal et le départ de ses enfants.

Agent recruteur

L'accusé aurait exploité ces structures et ses contacts afin de recruter des partisans de l'EI. L'acte d'accusation cite cinq personnes qui se sont rendues en Syrie à son instigation afin de rejoindre l'organisation terroriste.

Parmi celles-ci figure Valdet Gashi, qui serait mort au combat en juillet 2015. Mais l'accusé aurait aussi exercé une influence sur une jeune mineure et son frère qui ont également fait le voyage de Winterthour au Levant.

Le Ministère public de la Confédération soupçonne encore cet homme d'avoir entretenu des contacts avec des représentants influents de l'islam salafiste dans différents pays. Il cite notamment Hussein Bosnic, condamné en 2015 à sept ans de prison en Bosnie-Herzégovine pour crimes terroristes, ainsi que d'autres relations avec des salafistes à Nuremberg (D) et en Autriche.

L'accusé répond ainsi de participation à une organisation criminelle et de représentation d'images violentes: des vidéos d'exécution ont été retrouvées sur son téléphone portable.

Relation avec une mineure

Le second homme est inculpé pour actes d'ordre sexuel avec des enfants et pornographie. Il aurait entretenu une relation intime avec la mineure qui s'est rendue en Syrie avec son frère.

Comme son père, entendu précédemment, la jeune fille a nié toute proximité avec les accusés, revenant sur de précédentes déclarations. La résidente de Winthertour, dont la condamnation à dix mois de détention est désormais définitive, comparaissait en tant que témoin dans le procès des deux hommes.

L'accusé, double national suisse et macédonien âgé de 37 ans aurait contracté un mariage islamique en octobre 2014 avec la jeune fille et l'aurait incitée à partir en Syrie en décembre. [...]

Le Ministère public attend les débats pour annoncer ses réquisitions. Les coûts de l'enquête s'élèvent à 560'000 francs, dont 450'000 devraient être mis à la charge des prévenus s'ils sont condamnés. (cause SK.2019.71).

article complet: https://www.swissinfo.ch/fre/

Portland (États-Unis) : un militant antifa pédophile poignarde un Noir pro-Trump au cours d’émeutes #BlackLivesMatters

Le militant antifa et pédophile condamné Blake David Hampe a été arrêté aux premières heures du samedi après avoir poignardé un partisan noir de Trump à Portland.

Le partisan de Trump et conservateur, qui se fait appeler Black Rebel sur les réseaux sociaux, a publié plusieurs mises à jour sur son état de santé depuis l’ambulance et l’hôpital. Au cours du direct sur Periscope, il a affirmé que Hampe l’avait traqué, lui et son groupe d’amis, pendant plusieurs pâtés de maisons à Portland avant de le poignarder.

Black Rebel a déclaré que les militants d’Antifa avaient publié son identité et affiché sa position sur les réseaux sociaux et s’étaient conseillé mutuellement de le « surveiller ».

« Ce couteau était suffisamment long. Il m’a poignardé pour me tuer », a déclaré Black Rebel, qui dit avoir repéré Hampe qui faisait partie d’un groupe d’Antifa suivant son groupe d’amis pendant plusieurs blocs, avant de s’approcher de Hampe pour lui demander pourquoi il les suivait.

« Nous étions tous là, quatre amis, essayant de nous protéger les uns les autres de la meilleure façon possible. Je me suis dit que j’allais essayer de désamorcer la situation et d’avoir une simple conversation », a-t-il déclaré. « Je suis allé là-bas, j’ai dit ‘Quoi de neuf mon pote?’ et ce mother**ker est venu et m’a planté dans mon p*tain de rein. »

Des images de l’arrestation de Hampe ont été prises par plusieurs photojournalistes, dont Garrison Davis, qui a posté une vidéo du bureau de police de Portland le mettant en garde à vue.

Le photojournaliste de Blaze, Elijah Schaffer, a capturé les scènes qui ont suivi l’arrestation de Hampe. Un militant d’Antifa a harcelé verbalement plusieurs policiers qui intervenaient sur les lieux et a donné des coups de pied à leurs véhicules.

« Le manque de respect de ces émeutiers envers les fonctionnaires et les gens en général est sans égal », a observé Schaffer.

Hampe, qui a été enregistré au commissariat central de la police de Portland juste avant 6 heures du matin, heure locale, a été accusé d’agression criminelle. Sa caution est fixée à 250 000 dollars.

Une enquête plus approfondie sur l’identité de Hampe révèle qu’il avait déjà été inculpé en 2007 par le tribunal de district américain du Maine pour possession de pornographie infantile en connaissance de cause.

Lors de l’arrestation de 2007, le document du tribunal indique que les agents des douanes et de la protection des frontières américaines qui ont effectué une fouille de son véhicule ont découvert « beaucoup de marchandises pour enfants », notamment des sacs de couchage, des autocollants pour enfants, des sous-vêtements pour enfants, des serviettes pour enfants avec des empreintes de super-héros et des paquets de cartes de visite – ainsi que 12 à 15 préservatifs, du lubrifiant, un appareil photo, un téléphone portable et un ordinateur portable.

Hampe, qui s’est incriminé lui-même lors de la perquisition, a déclaré qu’il avait été chassé du domicile de son oncle en raison de la découverte de pornographie infantile, et qu’il avait également stocké le contenu illicite sur l’ordinateur de sa mère, et avait reçu assistance pour son « problème ».

En 2008, Hampe a été condamné à 41 mois de prison et 10 ans de liberté surveillée.

 

 

« C’est tout ce qu’on obtient ici à Portland. Vous ne pouvez pas avoir de liberté d’expression. Vous ne pouvez pas être un conservateur ou avoir des opinions opposées à celles d’Antifa, sinon ils essaieront de vous traquer, de vous coller une ou deux primes au cul.

Et n’oublions pas non plus que Twitter permet à cela d’arriver. Il y a toujours des messages d’Antifa-Rose City Antifa – ces mother**kers qui diffusent activement mon numéro, mon adresse, des informations sur moi et qui essaient de dire de me traquer. Twitter permet ouvertement ce genre de choses ».

Black Rebel pense que l’agression au couteau était politiquement motivée.

The Post Millenial

 

Via Fdesouche

Royaume-Uni : Samiral Choudhury, dealer pédophile, gardait les soutiens-gorge de ses victimes âgées de 7 à 10 ans

Un pédophile trafiquant de cocaïne a été emprisonné après que la police trouva 10 soutiens-gorge pour enfants dans une armoire métallique fermée à clé, qu’il avait gardés comme « trophées » de ses sévices répugnants.

Samiral Choudhury avait d’abord été emprisonné après qu’un kilo de cocaïne fut trouvé dans sa voiture.

Mais lorsque la police, en pleine enquête sur les trafiquants d’héroïne et de cocaïne, a saisi un jeu de clés et fouillé sa maison, elle a trouvé la collection tordue qui comprenait plusieurs images horribles de filles.

Les victimes les plus jeunes auraient sept ans, selon le M.E.N.
[…]

Choudhury a été emprisonné pendant sept ans et deux mois et a fait l’objet d’une ordonnance de prévention des abus sexuels d’une durée indéterminée, lui interdisant d’avoir des contacts non surveillés avec des enfants de moins de 16 ans.

Mirror

Via Fdesouche.com

A propos de la pédocriminalité ecclésiastique

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Michel Garroté -- Je note que des journalistes – généralement libertaires à l’excès et pas du tout préoccupés par la pédocriminalité – manifestent, à propos de la pédocriminalité ecclésiastique, un attachement indéfectible aux lois morales en matière de sexualité. L’on voudra bien me pardonner de ne porter aucun crédit à cette bigoterie médiatique aussi surprenante qu’inattendue. Car rien qu’aux USA, il y a quelque 39 millions d’enfants victimes d’abus sexuels. Quarante à soixante pour cent de ces enfants ont été violés par des membres de la famille, y compris les beaux-pères et les petits amis de la mère vivant au domicile.
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Et ne parlons pas de tous les autres laïcs, ministres et cinéastes par exemple, qui se partagent le solde de ce raz de marée pédocriminel, y compris dans des bordels de luxe que la loi, curieusement, ne parvient pas à clore. J’aimerais ajouter que la caste des journaleux a consacré plus d’émotion à vilipender les prêtres pédocriminels qu’à témoigner sa compassion envers les victimes de cette pédocriminalité ecclésiastique. C’est peu dire que les larmes médiatiques ne furent guère convaincantes. Ces larmes furent d’autant moins convaincantes qu’elles visaient essentiellement à exiger le mariage des prêtres et à exiger la démission de Benoît XVI.
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Créer une instance indépendante :
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A propos des prêtres pédocriminels, l'abbé Christian Vénard - interrogé par Boulevard Voltaire sur le scandale des abus sexuels et de la réponse apportée par l'autorité ecclésiale - déclare notamment (extraits adaptés) : Deux éléments semblent de nature à être mis en œuvre rapidement. Tout d’abord, que le pape crée une instance indépendante chargée de juger les évêques et les supérieurs religieux, dotée de grands pouvoirs et capable d’entrer en relation aussi avec les autorités judiciaires civiles.
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La composition de cette instance doit être telle qu’aucune influence cléricale ne puisse s’y faire sentir pour camoufler, minimiser les faits. Cette instance, rendant compte directement au pape, devrait rendre ses conclusions publiques. Il existe déjà, aujourd’hui, des procédures spécifiques romaines pour juger les clercs auteurs d’actes pédophiles. Il s’agit, désormais, de juger ceux qui n’ont pas pris les bonnes décisions et ont ainsi mis en danger des innocents et, plus largement, la vie de l’institution.
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Cela doit se traduire dans les faits par des démissions et des peines canoniques. Par ailleurs, plus en amont, il y a sans doute à réformer en profondeur la procédure de choix (trop souvent de cooptation) des évêques. On ne peut continuer à choisir des évêques avec des procédures qui remontent souvent au XVIIIe siècle. Les progrès des sciences humaines devraient évidemment intervenir, comme cela se fait dans beaucoup de milieux professionnels, en particulier au travers de tests psychologiques, très performants aujourd’hui, ajoute l'abbé Christian Vénard (fin des extraits adaptés).
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#BalanceTonTartuffe :
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De son côté, Ivan Rioufol écrit notamment (extraits adaptés ; lien en bas de page) : Mais le pompon a été décroché, cette semaine, par l’actrice et réalisatrice italienne Asla Argento, fer de lance dans la dénonciation des pratiques machistes du producteur américain Harvey Weinstein et dans la promotion du mouvement #MeeToo, version anglo-saxonne de #BalanceTonPorc.
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Lundi, le New York Times a révélé que Asla Argento, qui fut une des premières à porter plainte contre les agressions sexuelles de Weinstein, s'est elle-même lassé aller à un semblable comportement sur l’acteur Jimmy Benett, mineur à l’époque des faits [mineur : donc acte pédocriminel perpétré par Asla Argento]. Le viol commis par la dénonciatrice, s'est déroulé dans sa chambre, au Ritz Carlon de Marina del Rey (Californie). La jeune victime a porté plainte pour agression sexuelle. Afin de couper court à cette affaire, l’actrice a indemnisé récemment Benett à hauteur de 380.000 dollars.
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Si Asia Argento ne conteste pas le versement de cette somme, elle dément en revanche, "toute relation sexuelle". Il n’en reste pas moins que le combat des néo-féministes contre les hommes, vus comme des prédateurs sexuels en puissance, rejoint ici la cohorte des pharisiens qui s’exonèrent volontiers de leur propre turpitude. Tous ces faux-culs sont méprisables. Vite : #BalanceTonTartuffe, ajoute Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; lien en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 23.8.2018
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http://www.bvoltaire.fr/
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/
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