L’avenir de la France : « Au pire la guerre civile, au mieux la partition »

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Éric Zemmour nous rappelle ce cri d’alarme de Pierre Brochard, ex-patron de la DGSE,  passé totalement sous silence par la presse aux ordres.

Ce grand serviteur de l’État, qui fut ambassadeur dans plusieurs pays, conclut une fresque historique et sociologique de haute tenue par ces mots effrayants :

« La France est vouée à la guerre civile au pire, à la partition au mieux. »

https://www.lefigaro.fr/vox/politique/pierre-brochand-l-immigration-est-le-defi-le-plus-redoutable-auquel-nous-sommes-confrontes-1-2-20200221

https://www.valeursactuelles.com/societe/immigration-le-terrible-constat-de-lancien-directeur-general-de-la-dgse-116362

https://www.fondation-res-publica.org/La-pression-migratoire-en-France-et-en-Europe_a1229.html

De son côté, Albert Soued nous rappelle cet avertissement de l’archevêque de Mossoul. Mais en Europe, qui écoute les lanceurs d’alerte ? Voilà 30 ans que nos nombreux services de renseignement livrent à nos politiques, chaque matin, les fiches de synthèse sur la situation des banlieues et sur les dangers de l’immigration musulmane de masse.

L’Europe est menacée dans son existence même, mais nos politiques ont choisi la soumission, par lâcheté. En d’autres temps, ils auraient été jugés pour haute trahison, puisqu’ils mettent sciemment la nation en danger de mort.

L’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona, réfugié ayant fui la barbarie islamique nous alerte :

« Notre souffrance, ici en Irak, n’est qu’un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, devrez subir dans un futur proche… S’il vous plaît, il faut que vous fassiez les efforts nécessaires pour comprendre ceci : vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur aux yeux de ces musulmans fanatiques. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous continuez actuellement d’accueillir un nombre croissant de musulmans chez vous… Je vous mets en garde, car vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut immédiatement prendre des décisions courageuses et difficiles, y compris en allant à l’encontre de vos principe, de vos lois et liberté. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux sur cette terre, mais ce n’est pas une chose acquise, selon les différentes religions. L’islam n’a jamais décrété que tous les êtres humains sont égaux. Le mot « amour » n’existe pas dans le Coran. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs et elles ne le seront jamais… Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous deviendrez les victimes d’un ennemi hypocrite, menteur et imposteur que vous aurez accueilli, vous-mêmes et bras ouverts, dans vos propres pays ».

Tout est dit.

La France est devenue le déversoir de toute la misère du monde. La guerre civile qui menace, Macron l’importe jour après jour, malgré l’imminence du tragique face-à-face prédit par son ex-ministre de l’Intérieur.

Avec Macron, quand le nombre de demandeurs d’asile double, le taux d’attribution quadruple ! Et tous les chiffres sont du même tonneau : dramatiques.

66 251 demandes en 2013 et  11 428  acceptées

122 743 demandes en 2018 et  46 700 acceptées !

Rappelons cette tragique vérité énoncée par Stephen Smith : « L’Afrique est une salle d’attente de 1,3 milliards d’habitants aux portes de l’Europe ».

Mais dormez bien, citoyens, la Macronie veille sur vous et  prépare un avenir radieux pour vos enfants.

Jacques Guillemain

source:

Quartiers: «Où l’islamisme a poussé, on ne peut plus rien»

Mireille Vallette

Emmanuel Macron souhaite un "dispositif anti communautariste" contre les 150 quartiers listés par la Sécurité intérieure. Un journaliste a sillonné ces quartiers

Comment lutter contre le communautarisme? «Emmanuel Macron «cherche un plan», nous annonce le JDD. A l’approche des municipales et surtout de sa réélection, il voudrait bien que la République re-civilise les quartiers que son gouvernement, comme les autres, a laissé glisser dans les mains des salafistes et autres radicaux de l’islam.Une gageure!Le président veut mobiliser les ministres, les maires, les collectivités locales, la justice, l’administration… Et il commence par un répertoire des quartiers islamisés. Quelque 150 selon la DGSI qui s'est livrée à l’exercice.L’incrustation de ces émissaires d’Allah est déjà profonde, mais les autorités paient aussi ce qu’elles ont usiné depuis des décennies pour expliquer leur inaction: la peur de «stigmatiser les musulmans». Elles partent donc du principe que les musulmans si prompts à affirmer leur modération, seront des adversaires plutôt que des appuis dans cette lutte. Et le Conseil français du culte musulman (CFCM)? On compte sur lui, bien que minoritaire, pour la lutte contre la radicalisation et une «parole forte sur la place du voile, les femmes, l’école». On peut rêver.

De même que l’islam n’est pas l’islamisme, on nous serine que le salafisme est bien loin du terrorisme. Mais outre le fait que ces amateurs d’un monde parallèle formatent leur progéniture à condamner fermement nos mœurs et à ne s’y plier en aucun cas, ce littéralisme fait aussi le lit de ceux qui tiennent à partir en guerre contre les mécréants. C’est une des choses qui frappent lorsque l’on lit l’ouvrage d’Alexandre Mendel, «Partition», sorti il y a deux ans, lorsque les autorités sommeillaient encore.

J’en avais fait la recension, l’actualité me conduit à la reprendre, légèrement raccourcie. Mendel nous donne une idée de impossibilité de lutter contre cette réalité.

Quand la France salafiste prend ses quartiers

islamisation,150 quartiers,france,mendel,partitionIls sont de plus en plus nombreux les quartiers musulmans qui entrent en dissidence. Le journaliste nous emmène en excursion dans ces enclaves. Leurs caractéristiques ressemblent (en pire) à celles de nos musulmans pieux: voiles, non mixité, halal, bigoterie, condamnation de l’Occident, etc. Le paysage est effrayant.

En France, les attentats du Bataclan et ceux de Nice ont déclenché un repérage des radicaux… traque serait trop dire. Mais question quartiers islamisés, le mal était déjà trop profond. «Y a-t-il déjà eu une offensive en Seine-Saint-Denis, des villes comme Bondy, Trappes, Lunel? Là où l’islamisme a déjà poussé, on ne peut plus rien.» Et le mal s’étend, et les générations suivantes deviennent gravement oligophrènes.

Des petites capitulations, d’insensibles abandons, de serviles démissions ont créé cette situation d’autant plus insoluble que les œillères des pouvoirs sont encore nombreuses.

La mixité est combattue dans tous les espaces de ces micro-califats. Chez les coiffeurs, dans les salles de sport, dans la rue où les femmes disparaissent sous des foulards, voiles, niqabs et s’évaporent la nuit tombée. Bannis les couples d’amoureux, les gestes tendres, les baisers. «On ne s’embrasse pas publiquement à la Courneuve, on ne s’enlace pas, on ne se tient pas la main, on s’évite même du regard.»

Mariages exclusivement religieux, polygamie (surtout dans certains milieux africains), répudiations deviennent tendance. La fixation sur la virginité perdure. Au cœur de cet univers mental, des dévots déchaînés tentent d’anéantir le désir.

Femmes complices

« Les femmes elles-mêmes jouent un rôle trouble. Du statut de soumises à la loi masculine, elles sont en passe de devenir les auxiliaires de ces cow-boys de la charia vestimentaire.»

Les «commerces ethniques» ne vendent ni alcool, ni porc, des boulangeries-pâtisseries s’affirment garanties sans gélatine de porc, les produits «autorisés» sont de plus en plus recherchés. Une quarantaine de fast-foods Quick ont passé avec succès au 100% halal. La finance islamique prospère.

L’expansion de cet islam ne se fait pas souvent par la violence. Les salafistes font des visites, usent de pressions polies, rappellent inlassablement la menace de l’enfer aux «frères» qui ne respectent pas leurs devoirs divins.

Peu à peu, les commerçants et patrons de bistrots cèdent pour ne pas avoir d’histoire ou perdre de la clientèle. Un restaurateur : «… ils ne veulent pas aller au diable et nous, on ne veut pas couler». Les commerçants d’origine asiatique de Seine-Saint-Denis se sont peu à peu convertis au halal.

La violence, le deal, la délinquance accompagnent souvent ces délires islamiques. «Une commune rattachée à Mulhouse est livrée aux scènes de guérilla: voitures incendiées, jet de cocktails Molotov, et comme toujours forte hésitation des forces de l’ordre avant d’intervenir. Cette commune s’est tranquillement salafisée, un îlot exotique en plein Mulhouse.» Et pour les pompiers existe la crainte permanente d’un piège ou de jets de pierres lorsqu’ils doivent intervenir.

Environnements sinistrés

L’islamisation de zones paupérisées conduit à des environnements sinistrés. Grasse, sur la Côte d’Azur: «Bienvenue au centre-ville qui n’est plus qu’un vague alignement de kebabs, de coiffeurs pour hommes, de taxiphones et d’épiceries ethniques... On ne sert pas d’alcool dans les bars tenus au pied de petits immeubles aux façades délabrées et crasseuses. (…) Grasse, ville fantôme. Grasse, la ville témoin du vivre ensemble. De ce qu’il fut, ou plutôt de ce qu’il n’a jamais été.»

Le sport amateur est souvent gangrené par les «valeurs islamiques»: vestiaires servant de salles de prières, de lieux d’ablutions. A Perpignan, des footballeurs déroulent les tapis de prière et prient dans le stade, coachés par des éducateurs durs, car purs. Certaines jouent au foot avec un foulard sur la tête. On organise des randonnées exclusivement féminines, on privatise certaines salles de sport pour en supprimer la mixité.

Les librairies déversent sans mesure les germes de cette aliénation. A la Guillotière à Lyon, une galerie commerciale propose des ouvrages de Youssef Al-Qaradawi, Alain Soral, Roger Garaudy et «…l’ensemble de la bibliographie d’Hani et Tariq Ramadan. De véritables best-sellers.»

Les ours en peluche récitent des versets du Coran et un Petit guide à l’usage des fillettes leur indique comment «bien porter le voile». Pour ceux qui veulent approfondir, «Les Protocoles des sages de Sion» et «Mein Kampf» sont faciles à obtenir.

Dans les bistrots, le mâle est roi. Dans les mosquées, la haine de l’Occident est reine. Le sexe et la morale pudibonde sont chaque semaine au cœur de centaines de prêches. Le public des mosquées radicales le montre, des sondages le confirment: les jeunes sont les plus friands de cette glaciation des têtes et des cœurs.

Les entreprises entre le marteau et l’enclume

Les entreprises sont de gré ou de force entrées dans cette danse lugubre: pauses utilisées pour la prière, vestiaires mués en salles d’ablutions, foulards et costumes islamiques, refus de toucher ou de vendre de l’alcool. «Il existe un prosélytisme de tous les instants, de toutes les opportunités. Pour Ali [musulman ouvert], manger un sandwich ou se rafraîchir pendant le ramadan est devenu impossible. C’est un système où les plus religieux surveillent les moins religieux et ainsi de suite jusqu’aux mécréants. Une sorte de flicage en règle sur le lieu de travail.»

Pour les managers, la voie est étroite: la discrimination religieuse est passible de trois ans de prison ou de fortes amendes. Les syndicats ont abdiqué, parfois par clientélisme. Aéroports, RATP sont des lieux majeurs d’intrusions bigotes. La récente loi El-Khomri promet soit des conflits sans fin, soit la soumission totale des patrons aux revendications communautaristes.

Et l’école où sévissent les petits soldats de la charia, est déjà victime de tous les maux de cet islam primitif. Les salafistes utilisent souvent le prétexte du «soutien scolaire» pour endoctriner. Quant à l’hôpital, il connait de plus en plus d’exigences et de conflits: soins des femmes, demandes de halal ou apport de nourriture par des proches, recherche de médecins arabes, combines pour faire rembourser par la Sécurité sociale les circoncisions rituelles, et même refus d’être désinfecté avec de l’alcool: «…je me suis fait agresser au couteau à ce sujet il y a quatre ans», raconte un médecin.

Ces fourbes dévots nous entraînent dans un cercle vicieux. La méthode: occuper le terrain, créer des incidents, susciter l’indignation des coreligionnaires, et enfin, quand l’État ou ses agents se décident à réagir, crier à l’islamophobie.

Les tenants du discours complotiste sont légions chez les Frères musulmans. «Tarek et Hani Ramadan en sont les principaux pourvoyeurs.» Hani répète ce «refrain entêtant, le musulman n’est responsable de rien.»

Des islamistes à l’abri des modérés

Heureusement, pense-t-on pour se rassurer, il existe les légions de musulmans modérés. Pour encourager cette modération, la France a aidé à la construction d’innombrables lieux de culte et de diffusion de l’islam, dont des "mosquées cathédrales". Leurs bénéficiaires sont si contents de pouvoir prier en paix qu’ils en oublient d’organiser des protestations contre les pratiques islamistes des non modérés.

Cette expansion est favorisée par des idiots utiles, des bobos débiles, des allergiques à la réalité. «Quand tout va mal, l’idéologie du vivre ensemble nous explique qu’en fait tout va bien. Que toute critique, toute espèce de remise en cause du vivre ensemble n’est qu’un racisme, qu’un fascisme.»

Cette idéologie alimente le bûcher qui consume notre histoire, nos valeurs, notre civilisation.

Bien d’autres pays sont victimes de ce désastre. Jusqu’où ira ce développement des territoires perdus de la démocratie et de l’intelligence?  L’hébétude de nos sociétés laisse craindre le pire.

"Partition, chronique de la sécession islamiste en France", Éditions du Toucan, 2018

source: http://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch/archive/2020/01/25/quartiers-ou-l-islamisme-a-pousse-on-ne-peut-plus-rien.html#more

Français, pratiquez l’évitement, regroupez-vous hors des zones islamisées

Les récentes déclaration du Président Macron sur la partition musulmane en cours ne laissent rien espérer de bon. Surtout comme l’ont déjà très bien dit Lucette Jean-Pierre et Josiane Filio, qu’il n’entend rien faire pour s’y opposer.

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Le président de la République française ne compte rien faire pour enrayer le mouvement. Au contraire, il nous recommande de nous y faire. Pire, on peut largement comprendre que son projet est justement de consacrer cette partition afin de finir de dissoudre ce qu’il reste de la France telle que nous l’avons connue.

Les Français abandonnés. Nous voilà donc prévenus, les citoyens français sont laissés seuls face à la menace. L’État ne fera rien pour les protéger. Au contraire, il fera tout pour aggraver la situation : signature du pacte de Marrakech, laxisme judiciaire, libération et réimportation de terroristes avérés qui formeront l’encadrement militaire de la cinquième colonne, importation accélérée et sans contrôle de nouveaux venus dont certains sortent directement des prisons de leurs pays d’origine, immigration de masse et sans aucun contrôle, victimisation et légitimation de la vindicte des masses musulmanes.

Dans ces conditions, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. L’abandon est tel que dans nos vies personnelles, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. Personne ne nous protège plus, ni ne nous protègera. Ainsi il n’est que de voir le déni de l’Éducation nationale face aux agressions barbares de professeurs ou d’enfants blancs par de jeunes barbares totalement désinhibés. Quel professeur, quel enfant peut se sentir protégé par l’Éducation nationale ? Que dire de la justice ? Et que dire des forces de l’ordre auxquelles il est donné consigne de laisser faire les barbares et de nous casser la gueule à nous ?

Que faire à titre personnel pour se protéger au quotidien ? Il ne s’agit pas ici de savoir comment lutter au plan politique contre cette volonté de destruction du pays. Simplement de voir comment, à titre personnel, on peut se protéger des conséquences de cette avancée de la barbarie ou, plus simplement, échapper aux incivilités et à la promiscuité insupportable. Qui a envie de vivre dans un cloaque urbain au milieu de gens qui nous détestent, qui ne respectent aucune règle et qui au contraire vont tout faire pour vous pourrir la vie ?

L’évitement, seule protection du citoyen abandonné par l’État. Dans ces conditions et à ce point d’avancement de la pression et du risque pour chacun, l’évitement est la seule solution pour tenter de se protéger. D’ores et déjà, le niveau de la menace est devenu extrêmement prégnant. Qui n’a pas eu connaissance dans son entourage ou dans sa proximité géographique, d’incivilités récurrentes, d’une agression, d’une attaque, voire d’un assassinat ou d’un massacre ? Qui peut sérieusement se dire qu’il ne risque strictement rien dans certains endroits, à certaines heures ou dans telle ou telle circonstance ? Quelle femme n’est pas d’ores et déjà dans l’évitement, même si elle s’en défend pour se conformer au politiquement correct.

L’évitement par un apartheid à l’envers. L’évitement consiste à raréfier au maximum les contacts avec ces populations, à éviter les zones où elles nidifient, à n’entretenir aucun commerce avec elles, aucun rapport. L’évitement consiste en une sorte d’apartheid à l’envers. Si on nous impose leur présence, alors qu’ils restent entre eux et nous entre nous. Bien entendu, cela n’est pas simple pour tout le monde, et il appartient à chacun, en fonction de sa situation personnelle, de définir les limites de ce qu’il peut faire et selon quel agenda. Mais, chaque personne inquiète de la tournure des événements et pessimiste quant à l’avenir doit se mettre en disposition d’échapper au gros du risque lié à un côtoiement subi.

La localisation géographique, première condition de l’évitement. La première des dispositions est de s’éloigner des zones concernées. Sortez des villes gangrenées, fuyez au loin dans la France périphérique. Tant pis pour le travail, vous trouverez toujours à vous réorganiser ou à changer d’orientation. Surtout, vous y ferez des économies de loyer, ou sur l’acquisition de votre logement, la vie y sera plus agréable pour vous et pour vos enfants. Arrêtez de conditionner votre lieu de résidence et votre vie à votre travail. Conditionnez votre travail à votre lieu de résidence.

Le regroupement dans des zones homogènes pour anticiper l’avenir. On en parle de plus en plus et certains auteurs commencent à y faire référence. Compte tenu de ce qui se prépare et, contre quoi il semble bien que nos ne puissions plus rien dans le registre de l’action politique globale, une solution pourrait être d’anticiper la confrontation finale en nous regroupant dans des zones homogènes, non encore envahies. Bien entendu, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour accélérer l’épandage et pour farcir le pays dans la profondeur. Toutefois, ce n’est pas encore fait et des zones subsisteront où nous serons encore largement majoritaires. Une décantation géographique permettrait de préparer la reconquête.

Évitez de vous exposer. N’entrez plus dans les grandes villes. Pratiquez l’évitement social, culturel, scolaire, sortez vos enfants des écoles ou des clubs sportifs trop envahis, évitez les grandes zones commerciales, évitez les gares, les stades, les zones de forte concentration humaine où vous ne pourrez pas échapper au côtoiement.  Même chose au travail, n’entrez pas dans des boîtes qui font de la mixité une raison sociale. Boycottez les produits qui nous assomment de publicités ethniques. Bref, discriminez tout ce qui ne vous convient pas. Vous y perdrez peut-être en commodité, mais vous y gagnerez en sécurité, en cohérence personnelle et en estime de vous-même. Bref, ça ira mieux pour vous.

La première des résistances, c’est de se soustraire à la soumission par la promiscuité imposée. Libérons- nous, regroupons-nous hors de zones tenues par les islamistes.

Carte des zones sensibles. Les informations sont occultées et les cartes documentées ont disparu d’internet. Toutefois, il en reste une datant de 2010 qui recense toutes les ZUS. Vous y verrez le détail département par département et zone par zone, ainsi que les rues concernées au cas par cas. Enregistrez ce document tant qu’il est encore disponible et surtout regardez ce qu’il se passe à côté de chez vous et là où vous projetez de vous relocaliser. N’allez pas retomber de Charybde en Scylla. Si vous le pouvez, à titre personnel, mettez-le à jour en fonction de ce que vous aurez pu constater dans votre voisinage.

ZUS

Addendum. Bien entendu, je suis profondément nationaliste et jamais je ne me résoudrai à une partition territoriale. Malheureusement, le pire n’est pas exclu et il n’est pas inutile de s’y préparer. Surtout si par ailleurs, cela permet de mieux vivre.

Martin Moisan

source:

Le traître Macron demande aux Français d’accepter la partition musulmane

24 janvier 2020 - par

Islamator, le mystérieux blogueur qui, depuis des semaines, dénonce, un par un, ceux qu’il appelle les traîtres à la nation, ne pouvait mieux tomber, pour cette quatorzième édition.

https://islamator.tvs24.ru/

Alors qu’il évoquait l’ensemble des trahisons de Macron, depuis qu’il est à la tête de la France (et même avant), apparaît, ci-dessous, des confidences-chocs du président de la République, révélées par le journal Le Monde.

Que nous dit cet article, que nous publions ci-dessous intégralement ? Hollande nous disait qu’on allait à la partition, mais ne faisait rien. Macron nous confirme le diagnostic, mais nous affirme qu’on y est, demande aux Français d’en prendre acte, et de s’y résigner. Il appelle cela, avec pudeur, « un séparatisme ». 751 zones de non-droit, dont 150 tenues par les islamos, c’était difficile de continuer à dire le contraire, même en faisant des procès à Zemmour, qui osait dire tout fort ce que tout le monde voyait dans son quotidien.

Et, dans le même temps, ce traître à la patrie continue à faire venir 500.000 nouveaux venus, tous les ans (les chiffres sont minorés), majoritairement africains et musulmans, pour accélérer la mort de la France, exactement comme le dit dans cette vidéo Islamator. Il ose parler de « crises des religions », alors qu’une seule pose problème, l’islam. Et il parle d’une intégration qui ne doit pas renier l’altérité de l’autre, cela s’appelle juste le modèle multiculturel qui est en train de faire crever le pays. Et il n’évoque pas la surdélinquance, l’ensauvagement de notre pays, où la plupart du temps, ce sont des musulmans qui tuent des non-musulmans, ou les agressent, ou les violent.

L’islam nous a déclaré la guerre, nos gouvernants favorisent l’invasion de ses soldats, et notre président explique à nos compatriotes qu’il faut s’y résigner. L’acte de trahison est acté, cela doit être la Haute Cour, avec les sanctions qui vont avec… [...]

De là à dire qu’il mérite amplement le verdict qu’assène le blogueur, il n’y a qu’un pas que, bien sûr, nous ne franchirons pas.

Lucette Jeanpierre
 

Emmanuel Macron : « Il y a dans notre République, aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme »

« Personne n’est pur. Politiquement, c’est le rêve le plus létal qui soit. » Emmanuel Macron s’empare de la question identitaire et de l’assimilation dans la société française, conformément à ce que dessinaient ses conseillers ces dernières semaines. Assis dans la salle de réunion à l’avant de l’avion qui le ramène, jeudi 23 janvier, d’Israël vers la France, le président de la République a abandonné les formalités de représentation. Il porte un sweat affichant l’inscription I love French Tech et un chèche noué autour du cou. Le chef de l’Etat reçoit trois journalistes, représentant Le Monde, Le Figaro et Radio J.

Quelques heures plus tôt, il a pris la parole au centre Yad Vashem, à l’occasion du 75e anniversaire de la fin du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. A bord de l’appareil, après cette première visite en Israël, le chef de l’Etat se penche sur les tensions identitaires qui traversent la société française, en tentant de concilier le respect de l’altérité avec la nécessité de mettre des mots sur la réalité. « Il faut accepter qu’il y a, dans notre République aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme. » Il prend pour illustration la situation dans les quartiers Nord de Marseille. « Les grands-mères ou les mères de ces jeunes filles qui sont communautarisées, elles sont arrivées à Marseille en aimant la France, et en n’ayant pas le voile. »

Emmanuel Macron ne mise ni sur la solennité d’un discours présidentiel, ni sur une mesure miracle pour répondre à ce constat. « Les gens me disent : “Vous n’êtes pas à l’aise avec ces sujets.” Ce n’est pas vrai ! Je suis très à l’aise avec eux », assure-t-il. Le chef de l’Etat reste au stade du diagnostic, pour ne pas se laisser imposer les termes d’un débat identitaire dans lequel son parti se tient en retrait. M. Macron dénonce « l’espèce de fantasme, de narcissisme de la petite différence », qui entraîne la fracturation de la société, au lieu de consolider « l’identité narrative » nationale, soit une identité en constante mue qui se nourrit de récits successifs, théorisée par le philosophe Paul Ricœur.

« Une transformation de l’islam, qu’il faut regarder en face »
Le président français souligne l’existence d’un « phénomène mondial, d’un islam radical qui se tend, et d’une transformation de l’islam, qu’il faut regarder en face.(…) Des pays qui sont de tradition musulmane, dirais-je, vivent ça. La Tunisie d’aujourd’hui n’est pas celle de Bourguiba, force est de le constater, y compris dans la rue. Et donc on l’a chez nous aussi. Mais ça s’est greffé sur des fractures mémorielles, des échecs que nous-mêmes on a eus sur le plan économique et social… Et ça devient une contre-culture ! Ça devient tout à la fois l’importation d’un islam qui vit une crise mondialement – et qui revisite des signes de religiosité qu’il n’avait pas forcément il y a vingt ou trente ans. [Cela] vient s’agréger à une crise qui est, chez nous, très profonde. »

S’exprimant sur la question de la laïcité dans l’espace public, Emmanuel Macron a estimé qu’il existait « beaucoup de confusion » dans le débat politique :
« On m’a demandé 20 fois un discours sur la laïcité. Mais je l’ai fait 40 fois ! (…) Ils confondent. Ils demandent à la laïcité quelque chose qui ne relève pas d’elle. La laïcité, le texte est clair : c’est un texte de séparation de l’Etat et des religions et en même temps de liberté de conscience. Ce qu’on me demande au fond c’est de parler de la civilité républicaine et de l’islam. C’est très différent, ça n’a rien à voir avec la laïcité. Le voile, ce n’est pas un sujet de laïcité dans la rue. C’est un sujet de civilité, c’est un sujet d’égalité femme-homme, d’ordre public. [Il s’agit de ] dire comment un monothéisme aujourd’hui en expansion dans le monde qui s’est fortement développé dans notre pays avec le phénomène migratoire et arrive après la loi de 1905 peut prendre sa place dans la République. »

« On vit une crise des religions »
Emmanuel Macron a longuement évoqué la difficulté à employer le mot de communautarisme dans le cas français, tant l’expression s’inscrit dans une culture anglo-saxonne différente :
« Nous n’avons pas ça dans nos traditions, parce que, dans la République française, il n’y a qu’une communauté, la communauté nationale. Ensuite, le terme de communauté a été repris par des communautés qui vivent de manière pacifique dans la République, qui ne prônent pas un séparatisme. Et il renvoie, sinon, à une forme de multiculturalisme, qui n’est pas le modèle auquel je crois. Quand bien même on a voulu parfois me caricaturer derrière celui-ci. C’est un modèle beaucoup plus anglo-saxon qui vit, d’ailleurs, sa propre crise.

Pourquoi ? Parce qu’on vit une crise des religions. Et comme chaque religion a ses limites, le multiculturalisme saute. »
Faisant une nouvelle fois référence à Paul Ricœur, avec lequel il a toujours revendiqué une proximité, Emmanuel Macron a évoqué la nécessité de réussir une « politique de reconnaissance », soit « la capacité à reconnaître la part d’altérité de l’autre ». Un objectif difficile en France, estime-t-il, par son histoire, en vertu de laquelle on « ne parle pas d’intégration mais d’assimilation. Ce qui est d’ailleurs, aujourd’hui, utilisé par une partie de la droite – à mon avis à mauvais escient –, de la droite dure et de l’extrême droite. Et l’assimilation avait un contexte, d’ailleurs, politique et philosophique au moment où elle est utilisée, au début du Code civil et puis par les premiers républicains. Et ce qu’ils disent c’est que “ceux qui arrivent doivent venir à nos principes et à notre civilité”. »

Emmanuel Macron se dit l’apôtre du « beau principe de l’intégration républicaine », qui réclame de « rejoindre la communauté nationale avec ses règles, ses lois, mais aussi sa civilité », sans que « la part d’altérité de l’autre » ne soit niée. « Elle est très importante parce que, dans notre République, la “mêmeté” n’existe quasiment plus », dit le chef de l’Etat.

Piotr Smolar

Le Monde, 24 janvier

source 1 et article complet: