Français, pratiquez l’évitement, regroupez-vous hors des zones islamisées

Les récentes déclaration du Président Macron sur la partition musulmane en cours ne laissent rien espérer de bon. Surtout comme l’ont déjà très bien dit Lucette Jean-Pierre et Josiane Filio, qu’il n’entend rien faire pour s’y opposer.

le-traitre-macron-demande-aux-francais-daccepter-la-partition-musulmane.html

islam-constater-un-separatisme-sans-y-remedier-cest-de-la-haute-trahison-macron.html

Le président de la République française ne compte rien faire pour enrayer le mouvement. Au contraire, il nous recommande de nous y faire. Pire, on peut largement comprendre que son projet est justement de consacrer cette partition afin de finir de dissoudre ce qu’il reste de la France telle que nous l’avons connue.

Les Français abandonnés. Nous voilà donc prévenus, les citoyens français sont laissés seuls face à la menace. L’État ne fera rien pour les protéger. Au contraire, il fera tout pour aggraver la situation : signature du pacte de Marrakech, laxisme judiciaire, libération et réimportation de terroristes avérés qui formeront l’encadrement militaire de la cinquième colonne, importation accélérée et sans contrôle de nouveaux venus dont certains sortent directement des prisons de leurs pays d’origine, immigration de masse et sans aucun contrôle, victimisation et légitimation de la vindicte des masses musulmanes.

Dans ces conditions, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. L’abandon est tel que dans nos vies personnelles, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. Personne ne nous protège plus, ni ne nous protègera. Ainsi il n’est que de voir le déni de l’Éducation nationale face aux agressions barbares de professeurs ou d’enfants blancs par de jeunes barbares totalement désinhibés. Quel professeur, quel enfant peut se sentir protégé par l’Éducation nationale ? Que dire de la justice ? Et que dire des forces de l’ordre auxquelles il est donné consigne de laisser faire les barbares et de nous casser la gueule à nous ?

Que faire à titre personnel pour se protéger au quotidien ? Il ne s’agit pas ici de savoir comment lutter au plan politique contre cette volonté de destruction du pays. Simplement de voir comment, à titre personnel, on peut se protéger des conséquences de cette avancée de la barbarie ou, plus simplement, échapper aux incivilités et à la promiscuité insupportable. Qui a envie de vivre dans un cloaque urbain au milieu de gens qui nous détestent, qui ne respectent aucune règle et qui au contraire vont tout faire pour vous pourrir la vie ?

L’évitement, seule protection du citoyen abandonné par l’État. Dans ces conditions et à ce point d’avancement de la pression et du risque pour chacun, l’évitement est la seule solution pour tenter de se protéger. D’ores et déjà, le niveau de la menace est devenu extrêmement prégnant. Qui n’a pas eu connaissance dans son entourage ou dans sa proximité géographique, d’incivilités récurrentes, d’une agression, d’une attaque, voire d’un assassinat ou d’un massacre ? Qui peut sérieusement se dire qu’il ne risque strictement rien dans certains endroits, à certaines heures ou dans telle ou telle circonstance ? Quelle femme n’est pas d’ores et déjà dans l’évitement, même si elle s’en défend pour se conformer au politiquement correct.

L’évitement par un apartheid à l’envers. L’évitement consiste à raréfier au maximum les contacts avec ces populations, à éviter les zones où elles nidifient, à n’entretenir aucun commerce avec elles, aucun rapport. L’évitement consiste en une sorte d’apartheid à l’envers. Si on nous impose leur présence, alors qu’ils restent entre eux et nous entre nous. Bien entendu, cela n’est pas simple pour tout le monde, et il appartient à chacun, en fonction de sa situation personnelle, de définir les limites de ce qu’il peut faire et selon quel agenda. Mais, chaque personne inquiète de la tournure des événements et pessimiste quant à l’avenir doit se mettre en disposition d’échapper au gros du risque lié à un côtoiement subi.

La localisation géographique, première condition de l’évitement. La première des dispositions est de s’éloigner des zones concernées. Sortez des villes gangrenées, fuyez au loin dans la France périphérique. Tant pis pour le travail, vous trouverez toujours à vous réorganiser ou à changer d’orientation. Surtout, vous y ferez des économies de loyer, ou sur l’acquisition de votre logement, la vie y sera plus agréable pour vous et pour vos enfants. Arrêtez de conditionner votre lieu de résidence et votre vie à votre travail. Conditionnez votre travail à votre lieu de résidence.

Le regroupement dans des zones homogènes pour anticiper l’avenir. On en parle de plus en plus et certains auteurs commencent à y faire référence. Compte tenu de ce qui se prépare et, contre quoi il semble bien que nos ne puissions plus rien dans le registre de l’action politique globale, une solution pourrait être d’anticiper la confrontation finale en nous regroupant dans des zones homogènes, non encore envahies. Bien entendu, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour accélérer l’épandage et pour farcir le pays dans la profondeur. Toutefois, ce n’est pas encore fait et des zones subsisteront où nous serons encore largement majoritaires. Une décantation géographique permettrait de préparer la reconquête.

Évitez de vous exposer. N’entrez plus dans les grandes villes. Pratiquez l’évitement social, culturel, scolaire, sortez vos enfants des écoles ou des clubs sportifs trop envahis, évitez les grandes zones commerciales, évitez les gares, les stades, les zones de forte concentration humaine où vous ne pourrez pas échapper au côtoiement.  Même chose au travail, n’entrez pas dans des boîtes qui font de la mixité une raison sociale. Boycottez les produits qui nous assomment de publicités ethniques. Bref, discriminez tout ce qui ne vous convient pas. Vous y perdrez peut-être en commodité, mais vous y gagnerez en sécurité, en cohérence personnelle et en estime de vous-même. Bref, ça ira mieux pour vous.

La première des résistances, c’est de se soustraire à la soumission par la promiscuité imposée. Libérons- nous, regroupons-nous hors de zones tenues par les islamistes.

Carte des zones sensibles. Les informations sont occultées et les cartes documentées ont disparu d’internet. Toutefois, il en reste une datant de 2010 qui recense toutes les ZUS. Vous y verrez le détail département par département et zone par zone, ainsi que les rues concernées au cas par cas. Enregistrez ce document tant qu’il est encore disponible et surtout regardez ce qu’il se passe à côté de chez vous et là où vous projetez de vous relocaliser. N’allez pas retomber de Charybde en Scylla. Si vous le pouvez, à titre personnel, mettez-le à jour en fonction de ce que vous aurez pu constater dans votre voisinage.

ZUS

Addendum. Bien entendu, je suis profondément nationaliste et jamais je ne me résoudrai à une partition territoriale. Malheureusement, le pire n’est pas exclu et il n’est pas inutile de s’y préparer. Surtout si par ailleurs, cela permet de mieux vivre.

Martin Moisan

source:

4 commentaires

  1. Posté par campos le

    La solution préconisée par Martin Moisan consisterait à leur laisser le champ libre pour qu’il puissent s’étaler et envahir nos territoires sans aucune résistance. Cela s’appelle mettre de l’eau dans leur moulin. Pour ma part, je pense plutôt que devrions nous regrouper , nous solidariser et nous donner les moyens de nous défendre en cas d’éventuelles agressions mais je pense aussi que l’armée devrait aussi se réveiller et réagir avant qu’il ne soit trop tard. Des bataillons de légionnaires armés jusqu’aux dents pourraient aussi résoudre la situation au cas par cas.

  2. Posté par jacques franck pierson le

    L’avenir n’est pas rose pour le Français . Ne plus être respecté dans son pays , c’est le début de la faim

  3. Posté par Vautrin le

    Admettons que pour des raisons tactiques s’opère un « apartheid » proprement survivaliste. Cette solution peut être viable car assurant une protection des personnes « de souche » face aux hordes barbares. Mais elle a pour inconvénient de rendre encore plus homogènes et menaçantes les zones investies par ces mêmes barbares. Donc les nouvelles communautés « de souche » ne devraient pas perdre de vue l’intérêt stratégique de l’affaire. Elles ne peuvent être vraiment viables que si elles développent en leur sein un nationalisme fort et une volonté absolue de reconquête des « territoires perdus ». Sans quoi, le nouvel « apartheid » ne serait qu’une tactique de poules mouillées. De dhimmis, en somme. L’Espagne médiévale nous a donné l’exemple à suivre : réduite après 711 à de petits royaumes chrétiens, elle a décidé, explique Santiago Abascal, « d’être européenne en expulsant l’islam ». Patience et longueur de temps plus force et rage.

  4. Posté par Bussy le

    Fuir les zones où ces populations nidifient ?
    Faut pas rêver, ces populations font justement tout pour nidifier aux endroits où vivent les Français de souche, là où c’est propre, sécurisé et bien organisé, c’est-à-dire loin de leurs quartiers shitholes !
    Ces populations se plaignent par exemple lorsqu’il n’y a plus de Français de souche dans la classe….

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.