La police lui demande de retirer son niqab : « Tu n’as pas à parler à ces sales chiens »

Une jeune femme de 27 ans a été interpellée vendredi après-midi à Marseille, alors qu’elle portait un niqab de couleur noire. Seuls ses yeux étaient effectivement visibles, selon le journal La Provence. Quand cinq îlotiers lui ont demandé de montrer son visage, elle a formellement refusé, avant d’insulter copieusement les policiers : « Chez nous, on ne parle pas aux hommes. Ne m’emmerdez pas ! »

La Provence rapporte qu’elle a alors été rejointe par une amie qui l’accompagnait et qui lui a intimé : « Tu n’as pas à parler à ces sales chiens ! »

Un attroupement s’est alors formé autour des deux jeunes femmes et les policiers ont dû faire appel à trois VTTistes et à des renforts de la Brigade anticriminalité (Bac).

Pendant le trajet qui les conduisait au commissariat Noailles, les insultes ont continué à pleuvoir. Les deux femmes ont été placées en garde à vue pour « outrage et rébellion« .

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Le Tessin a le droit d’interdire le port du niqab, estime une commission

Une commission du Conseil national a validé la modification de la Constitution tessinoise, qui vise à interdire de se cacher le visage dans l'espace public, estimant que cela ne viole pas le droit fédéral.

France: Une femme en niqab « Tu ne vaux pas mieux que la semelle de ma chaussure, sans ton arme tu n’es rien. »

La femme voilée insulte les forces de l’ordre

La police décide de faire un contrôle pour appliquer la loi en verbalisant la femme. C’est à ce moment-là que les choses dégénèrent : Halima, Française originaire d’Algérie, «s’impatiente, devient hautaine et outrage les policiers» rapporte Nice Matin, à tel point que la femme a été placée en garde à vue.

Halima multiplie les provocations durant son procès

Halima comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Nice. Et créé un  nouvel incident : par pure provocation, alors privée de son niqab dans la salle d’audience, la femme défait le gilet qu’elle porte sur elle«pour le remonter ostensiblement sur ses cheveux». La présidente suspend immédiatement la séance. Après cinq minutes de flottement, le procès reprend. Les propos tenus par la femme originaire d’Algérie sont à peine croyables.

«Sans ton arme, tu n’es rien. Je ne reconnais que la loi d’Allah»

La présidente du tribunal relit les propos qu’Halima a tenus devant les policiers. Ces propos se passent de tout commentaire: «Tu ne vaux pas mieux que la semelle de ma chaussure, sans ton arme tu n’es rien. Je ne reconnais aucune loi. La loi c’est moi. Je ne reconnais que la loi universelle, celle d’Allah».

Ultime provocation, à la lecture de ses propos par la présidente du tribunal, Halima reste «souriante dans le box», même lorsque la présidente lui rappelle qu’il y a déjà sept procédures en cours pour les mêmes types de faits…

Le procureur Corinne Savonne requiert lors de l’audience quatre mois de prison dont trois avec sursis et un mandat de dépôt en répression de l’outrage, en plus d’une amende de 60 euros. Finalement… le tribunal a tranché : Halima devra effectuer un stage de citoyenneté, avec en plus trois mois de sursis, 100 euros d’amende et des dommages et intérêts à verser au policier.

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Toronto : la conductrice d’un bus scolaire porte le niqab

A Toronto, la conductrice de l'autobus d'une commission scolaire porte le niqab, et une maman y voit un risque pour la sécurité. «Comme parent, je suis inquiète de ne pas savoir qui conduit l’autobus de mes enfants. Je connais les autres chauffeurs, leurs visages et leurs noms, et je peux les identifier».
La commission scolaire a répondu que ses craintes n'étaient pas fondées, et que le droit de la conductrice de manifester sa religion doit être respecté.

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