Ce n’est pas du cynisme, c’est du bon sens.
Ces gens quittent l’Afrique – continent au sous-sol plus que riche, continent qui, grâce à son climat, permet dans nombre de pays des récoltes pratiquement toute l’année – pour venir, sans y être invités, en trichant, en cachant leur nom, en mentant sur leur âge, en laissant leur famille dans des pays où eux, prétendument, souffriraient. Et ils campent sous la neige ? Bien fait pour leur gueule. Ils n’en bavent pas assez encore.
Qu’ils retournent chez eux, qu’ils envoient des SMS avec leurs Iphone dernier cri pour dire que la France n’est pas l’Eldorado promis. Qu’on cesse de les aider, qu’ils se prennent par la main pour changer les choses chez eux, pour chasser les politiques corrompus, pour faire des puits, irriguer le désert s’il le faut… Les Israéliens l’ont bien fait. Les Français qui ont fait de la Mitidja un jardin d’Eden l’ont bien fait, eux. La Mitidja en 1950 ci-dessous :
C’est que dès 1830 les Français avaient eu à coeur de planter, lutter contre le désert, ils pensaient même attacher les Arabes à leur pays, attacher les Nomades à une terre, comme le Général Bugeaud, qui, en 1841, disait à son Ministre de la guerre : « Tâchons de donner aux Arabes le goût de la culture des arbres, parce que rien ne rend sédentaire et n’attache à la réalité comme cela ». Les Français ont travaillé comme des fous, planté, reboisé…
Qu’attendent-ils pour faire pareil, les Algériens de 2018, les Somaliens, Erythréens et autres « migrants » ?
Même Oumma.com le reconnaît, à sa manière, c’est dire :
L’Algérie n’est jamais parvenue à atteindre l’autosuffisance alimentaire en raison de choix économiques catastrophiques au lendemain de l’indépendance, qui ont sacrifié son agriculture, au profit d’une politique du développement des hydrocarbures. Ces mauvais choix ont contraint ce pays à tout importer, y compris des fruits et légumes, pour une facture alimentaire totale, évaluée à plus de 10 milliards de dollars.
L’Algérie avait pourtant à la fin des années 40 une agriculture florissante, comme le démontre le reportage ci-dessous de la télévision française. La voix-off de ce reportage rappelle avec enthousiasme que “L’Algérie récolte à profusion pommes de terre, carottes, artichauts, pois, haricots verts, tomates lorsqu’en France les vergers fleurissent à peine. Les courriers d’Algérie transportent des cerises, des abricots que le soleil a fait mûrir en avance et qui sont en Europe les annonciateurs du printemps. Et quand le verglas et la neige recouvrent les campagnes européennes, les clémentines, les citrons, les oranges, dates au goût de miel mettent sur les tables par leur couleur un rayon de soleil. Citons quelques chiffre: au cours de l’automne et de l’hiver 47 et 48, l’Algérie a exporté 900 000 quintaux d’agrumes, 200 000 quintaux de dattes, 350 000 quintaux de figues sèches. Au cours de l’année tout entière plus de deux millions de quintaux de fruits et de légumes frais, pendant le seul printemps de 1948, 700 000 quintaux de pommes de terre nouvelles ont été importées d’Algérie”.
https://oumma.com/quand-lalgerie-etait-une-grande-puissance-agricole-exportatrice-video/
A comparer avec cet article :
http://www.reussir.fr/fruits-legumes/fruits-legumes/un-premier-bateau-francais-pour-l-algerie
Personne ne choisit ses parents, sa couleur de peau, le pays qui l’a vu naître, ses points forts et handicaps. Cela fait partie des hasards de la vie. La grandeur de l’homme c’est de faire avec, de tirer parti de ce qu’il est ou a, de ce qu’il n’a pas ou n’est pas, pour vivre la meilleure vie possible, pour apporter à la terre qui l’a vu naître ses talents, ses efforts, son amour… et transmettre à ses descendants un pays meilleur.
On a accueilli, dans les années 90, nombre d’Algériens qui risquaient effectivement leur vie avec le FIS et on a bien fait. Chacun sait – même les politiques le reconnaissent – qu’il y a très peu de migrants qui risquent vraiment leur vie dans leur pays et qu’ils sont essentiellement des « réfugiés économiques », traduisez des gens qui ont envie de changer d’air, de vivre en Occident. Et d’y apporter leurs coutumes et mode de vie qu’ils nous imposent, tant qu’à faire. On fuit le pays mais on veut transformer l’Eldorado en un double de ce pays….
Alors, les migrants sous la neige ? Rien à faire. Aucune pitié. Même pour les très rares enfants qui pourraient se trouver avec eux ( mais j’en doute eu égard à l’efficacité des associations que nous engraissons ), ils servent trop souvent à éviter aux illégaux d’être renvoyés chez eux. Et puis, ces enfants, demain, sont ceux qui remplaceront les nôtres, pousseront les nôtres vers l’étranger ou la tombe car il y a, statistiquement, forcément, de futurs djihadistes parmi ces gens qui sont sous les tentes. Même si l’immense majorité de ceux-ci sont paisibles et ne demandent qu’à vivre une autre vie, même s’il n’y a qu’un assassin potentiel parmi 10 000 d’entre eux, c’est un de trop. Le principe de précaution doit amener à les renvoyer tous, sans exception, d’où ils viennent. C’est eux ou nous, et c’est de plus en plus clair pour le monde entier :
http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/le-djihad-silencieux-annonce-la-guerre-civile-et-montre-comment-le-halal-finance-le-terrorisme/
Si j’étais croyante, je prierais pour qu’il y ait encore plus d’inondations, plus de neige, qu’ils se caillent de plus en plus… et qu’ils dégagent. Ils sont chez nous et n’ont même pas eu la politesse de faire ce que nous faisons tous : frapper avant d’entrer, demander la permission d’entrer quand on va chez les autres. Dehors !
Christine Tasin