Marx et les églises incendiées au Canada, suite à la découverte de tombes d’enfants autochtones

Mathieu Bock-Côté: Au Canada, on brûle des églises impunément

La question des pensionnats autochtones occupera une grande place dans l’actualité cet été.

Le Canada prend conscience d’une injustice historique logée dans les entrailles du pays qui façonne encore sa réalité présente. Comment ne pas être obsédé par le sort de ces enfants arrachés à leurs familles et à leur culture pour les y rendre étrangers ?

Ce pays qui se présente à la manière d’un modèle pour la terre entière n’est pas à la hauteur de sa réputation, pour le dire d’un euphémisme.

Les Canadiens découvrent que le Canada n’est pas le paradis et ne parviennent pas à le croire.

Haine

Le sentiment de révolte est inévitable, et naturel. Il est aussi légitime.

Il s’exprime toutefois trop souvent de manière criminelle, comme on le voit dans l’ouest du Canada avec la multiplication des incendies d’églises. D’autres sont vandalisées. Tout cela se passe, faut-il le dire, dans une indifférence médiatique générale. Ou alors, les événements sont rapportés avec une grande pudeur, presque dans la gêne. Sans oublier les statues déboulonnées devant des policiers capitulant devant les vandales.

Plus encore, si on se promène un peu sur les réseaux sociaux, on en trouve plusieurs pour s’en réjouir, comme s’il s’agissait des flammes de la justice rasant une institution maudite. Ils y voient une vengeance légitime, en oubliant que plusieurs leaders autochtones ont eux-mêmes dénoncé ces incendies criminels et se désolent de cette violence.

Résumons : au Canada, à l’été 2021, on brûle des églises dans un mélange d’indifférence et de joie mauvaise.

Imaginons un autre scénario. Imaginons si, après le 11 septembre 2001, aux États-Unis, ou après les attentats islamistes des dernières années, en France, des citoyens « en colère » avaient décidé de s’en prendre aux mosquées, de les vandaliser, de les brûler.

Nous aurions tous été révoltés par de tels gestes. Nous les aurions condamnés sans nuance. Nous aurions rappelé que de tels gestes sont criminels, en plus d’exiger une sévère punition pour leurs auteurs. Surtout, nous aurions eu raison d’être intraitables envers les vandales.

Comment, dès lors, expliquer la réaction présente ?

Est-il plus grave de s’en prendre à un lieu de culte musulman qu’à une église catholique ?

Banalisation

Comment se fait-il qu’on banalise de tels gestes criminels, qu’on les range presque dans la catégorie des faits divers, alors qu’il s’agit au sens fort d’actes haineux ? Encore une fois, la logique du deux poids, deux mesures s’impose.

Selon la religion qui sera la vôtre, on dénoncera, on relativisera ou on excusera les actes de violence et les propos haineux qui vous seront destinés.

Sans le moindre doute, l’État fédéral canadien, qui a imaginé et piloté la politique des pensionnats autochtones, doit faire une autocritique sévère et améliorer la situation des communautés amérindiennes. Il est le principal responsable de cette histoire macabre. Les ordres religieux qui ont participé à cette entreprise doivent aussi assumer leurs responsabilités.

Mais cela ne saurait justifier, aujourd’hui, ces incendies criminels anticatholiques à répétition et leur transformation en faits divers insignifiants.

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Les chrétiens autochtones ont le cœur brisé après l'incendie d'une église anglicane historique

Les chrétiens des Premières Nations ont déclaré avoir eu le «cœur brisé» après que leur église anglicane historique a été incendiée au milieu de la vague continue d'incendies criminels et de statues détruites qui balaye le Canada.

Rosealene Daniels a capturé une séquence vidéo de l'église anglicane St Paul's vieille de 108 ans consumée par le feu sur les terres de la Première nation Gitwangak en Colombie-Britannique. Pendant que l'incendie fait rage, on l'entend dire : «Peu importe s'il ne s'agit que d'un bâtiment, c'est quelque chose qui compte pour tout le monde dans ce village.»

«Quand mes enfants ont vu ça ils ont eu le cœur brisé, tant ils ont de souvenirs dans cette église», dit-elle dans des propos rapportés par CBC News: The National.

«Autochtone ou pas, je ne pense pas que la colère soit le moyen d'y faire face, et nous devons nous asseoir et réfléchir à ce que nous pourrions faire», ajoute-t-elle.

Le radiodiffuseur a rapporté que l'administration du premier ministre libéral Justin Trudeau a déclaré qu'un financement fédéral est disponible pour les églises afin d'accroître leur sécurité, mais que l'accès à ce financement est un processus lent et compliqué – et le gouvernement n'a pas l'intention de le rendre plus rapide ou plus facile, malgré la vague d'incendies criminels.

Le Premier ministre Trudeau, qui est catholique au moins de nom, a déclaré que les attaques contre les églises sont « inacceptables » et « privent les personnes qui ont besoin de deuil et de guérison d'endroits où elles peuvent réellement pleurer et réfléchir » – mais a défendu la colère alimentant cette violence comme «tout à fait compréhensible»:

«Une de mes réflexions est que je comprends la colère qui règne contre le gouvernement fédéral, contre des institutions comme l'Église catholique; c'est réel et c'est tout à fait compréhensible étant donné l'histoire honteuse dont nous sommes tous de plus en plus conscients, et nous nous engageons à faire mieux en tant que Canadiens… [N]ous devons… reconstruire une voie à suivre qui reflète le terrible traumatisme intergénérationnel et les réalités actuelles de la souffrance dont nous sommes tous collectivement responsables», a-t-il déclaré.

Les troubles en cours ont été déclenchés par la découverte de nombreuses tombes désormais anonymes – décrites comme des «fosses communes» par certains médias, à tort – sur les sites d'anciens pensionnats indiens, que de nombreux enfants autochtones devaient fréquenter dans ce que est maintenant largement considéré comme un effort malavisé pour les aider à s'intégrer dans la société canadienne.

Au moins une partie des tombes non marquées, dans ces écoles qui ont été instituées dans les années 1800, étaient originellement marquées, la BBC rapportant que «les parcelles funéraires étaient marquées de croix en bois qui se sont effondrées au fil des ans» dans une école missionnaire – un élément qui apparaît rarement dans la couverture médiatique de ces découvertes.

source: https://www.breitbart.com/europe/2021/07/07/native-christians-heartbroken-after-historic-anglican-church-burns-ground

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Cenator: La découverte des dépouilles sur les sites d'anciens pensionnats d'enfants est extrêmement triste, mais l'émotion devrait laisser la place au recueillement, à la réconciliation... et à la science pour voir de près de quoi ces enfants sont décédés.

Les vivants ne peuvent pas agir sur le passé de leurs ancêtres, et la culpabilisation ni la victimisation n'y changeront rien. La récupération immédiate de ce passé douloureux pour alimenter l'idéologie anti-chrétienne fait plus de dégâts à la civilisation canadienne que le poids du passé.

C'est une guerre spirituelle qui se déroule en Occident, et la série d'incendies et de vandalismes est l’œuvre du camp marxiste. Ce sont les forces du bien et du mal qui s’affrontent et Marx lui-même se réclamait déjà de Satan:

"D'une main sûre je plonge
Mon épée noire de sang dans ton âme.
Cet art, que ton dieu rejette et qu'il ignore,
Des fumées de l'enfer m'est monté à la tête,
Jusqu'à m'ensorceler, à dérégler mes sens
Avec Satan, j'ai fait affaire, et depuis lors,
C'est lui qui dicte les notes, lui qui bat la mesure."

Marx a également consacré un livre à Satan, tout comme son adepte Saul Alinsky.

La révolution culturelle néo-marxiste 2.0 est une guerre idéologique, culturelle et spirituelle. Les conséquences sur notre vie de la domination des vainqueurs sont visibles chaque jour.

L'exploitation de la découverte des fosses communs d'enfants au Canada, où les des orphelinats ont été placé sous la responsabilité des religieux, suivi dune série d'églises historiques incendiés, illustrent parfaitement ceux qui ont gagné la guerre culturelle.

Remarquons bien qu'aucun marxiste ne brûle des mosquées à cause des violations systématiques des droits de l'homme par l'islam, telles que l'assassinat des homosexuels, les viols d'enfants via les mariages arrangés par les parents ou comme phénomène culturel, comme les bacha bazi en Afghanistan.
Au Nigeria, au Pakistan, en Ouganda, etc., les exactions commises par des musulmans contre la population chrétienne n'amènent jamais les progressistes à s'en prendre aux mosquées.

Parce que le marxisme n'est pas anti-religieux, il est anti-chrétien.

Ces églises sont très certainement brûlées par des gauchistes, et encouragées par des gauchistes en position de pouvoir au sein du gouvernement.
En Union soviétique, des pièces de théâtre de rue étaient écrites et jouées pour humilier les chrétiens et le christianisme.

Le satanisme est la spiritualité des marxistes. La différence entre le satanisme et le marxisme semble être seulement que les marxistes sont bien meilleurs pour mettre en œuvre les principes sataniques, semer la souffrance, la destruction et la misère, inverser et pervertir la justice et la raison, tandis que le satanisme ressemble davantage à une manie de personnes dérangées, sans influence significative.

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Richard Wurmbrand: Karl Marx et Satan

Traduction de l'ouvrage: Was Karl Marx a Satanist? 
Diane Books Pub Co, Glendale, Ca., 1976

Saul Alinsky

La partie concernant Saul Alinsky commence à la 4e minute, sous-titres automatiques disponibles.

Ben Carson a mis en garde contre la progression d'un programme marxiste pour détruire la démocratie, lors d'un discours prononcé à la Convention nationale républicaine le 19 juillet 2016.

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La liste des églises qui ont brûlé en Colombie-Britannique

Nouvelles Nationales d'APTN

Au moins trois églises construites sur des terres autochtones en Colombie-Britannique ont été la proie des flammes. Au total, cinq églises ont été incendiées dans la province depuis la découverte de restes humains à Kamloops. Voici la situation dans l’Ouest.(vidéo 2:28)

Yellowknife (Canada) : tentative d’incendie criminel à la co-cathédrale Saint-Patrick

Dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 2021, un incendie qualifié de “criminel” par l’évêque et les forces de l’ordre s’est déclaré dans la co-cathédrale catholique Saint-Patrick de Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest (Canada)

Calgary (Canada) : une église incendiée à Forest Lawn

Le 4 juillet dernier, les pompiers ont réussi à venir à bout de l’incendie d’une église House of Prayer Alliance à Forest Lawn, près de Calgary dans l’Alberta. Le feu est considéré comme criminel et les forces de l’ordre cherchent…

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Canada : deux autres églises incendiées en Alberta et Nouvelle-Ecosse

Du 21 au 30 juin, en tout six églises catholiques ont été détruites par des incendies criminels au Canada, les deux dernières le 30 en Alberta et Nouvelle-Ecosse. Ces incendies ont eu lieu suite à la découverte de tombes près…

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Canada : 6 églises catholiques incendiées en une semaine, le premier Ministre condamne

Alors que deux nouvelles églises catholiques ont été visées par des tentatives d’incendies en une semaine au Canada, après la découverte de près de 800 tombes près de pensionnats autochtones – des structures confiées aux églises canadiennes par l’Etat au…

Edmonton (Canada) : une statue de Jean Paul II vandalisée

Des dizaines de mains rouges ont été apposées le 26 juin dernier sur la base de la statue du pape Jean Paul II devant l’église du Saint Rosaire à Edmonton, Canada. Une partie importante de cette paroisse est constituée de…

Canada : deux autres églises incendiées, 4 en une semaine

Après l’incendie de deux églises catholiques le 21 juin dernier dans des communautés autochtones, deux autres ont brûlé le 26 juin dernier à une heure d’intervalle. “L’église St. Ann et l’église Chopaka ont été incendiées samedi à l’aube, à moins…

Canada : l’église Sainte-Anne de Ristigouche complètement détruite dans un incendie

C’était une des premières paroisses de Gaspésie, vers 1700, même si l’église actuelle était déjà la quatrième bâtie sur ce lieu, fin XIXe, réparée après un incendie en 1927. Néanmoins Sainte-Anne de Ristigouche a été complètement détruite par un violent…

Ontario (Canada) : l’église d’Attawapiskat complètement détruite par le feu

L’église catholique Saint-François Xavier d’Attawapiskat, une communauté autochtone (Première Nation) du nord de l’Ontario, a été complètement incendiée le 21 avril dernier. Elle était fermée depuis 2019 après que des désordres soient apparus dans sa structure. « L’église est complètement détruite.…

Dictature sanitaire : au Canada, les autorités sanitaires barricadent une église

Après 108 plaintes et 18 inspections qui ont toute relevé un refus réitéré de se conformer aux « normes sanitaires » de la nouvelle religion mondiale des « gestes-barrière », les autorités anitaires de l’Alberta ont fermé l’église Grace Life Church à Edmonton en…

Canada : Deux églises détruites dans des incendies « très suspects » en Ontario.

Deux églises situées à dix minutes l’une de l’autre, à Strathroy-Caradoc, dans la province canadienne de l’Ontario ont brûlé pendant la nuit du 1er au 2 novembre dans des circonstances « suspectes ». « Nos genoux tremblaient, nous sommes allés là-bas,…

Canada : un tabernacle volé dans une cathédrale en Ontario

Le tabernacle de la cathédrale St. Catherine of Alexandria du diocèse de St. Catharines, ainsi que les saintes Espèces qu’il contenait ont été volés par un couple, mardi 8 septembre vers 4 h 30 du matin selon les enregistrements vidéos.…

Canada : une statue de la Vierge Marie décapitée à Toronto

Dimanche 30 août, juste avant la célébration de la messe dominicale, les paroissiens de l’église catholique maronite Notre-Dame du Liban, située dans le quartier Parkdale de Toronto, ont eu la douleur de constater que la statue de Vierge Marie, érigée…

Canada : chemin de croix vandalisé au Grand Sudbury

Ces actes de vandalisme ont été constatés le 23 mai dernier au Grand Sudbury (Ontario). Le Service de police du Grand Sudbury (SPGS) a ouvert une enquête sur des dommages faits à des statues du chemin de croix sur le…

Canada : incendie d’origine inconnue d’une église à Windsor, en Ontario

Les premières informations ne disent rien sur l’origine du sinistre. De grands panaches de fumée et des flammes violentes s’élevaient de l’église évangélique baptiste de Walkerville, à Windsor, dimanche [27 octobre] après-midi. Selon les pompiers de Windsor, le pasteur a…

Canada : vol dans la cathédrale de Québec

Dans la nuit du 11 septembre dernier, vient-on d’apprendre, un inconnu s’est introduit dans la cathédrale Notre-Dame de Québec après avoir brisé une fenêtre. Un grand reliquaire contenant des reliques de saints canadiens a été volé ainsi que des babioles…

Canada : incendie criminel d’une église au Québec (vidéo)

J’avais été averti hier après-midi par un ami prêtre (merci L. D.), d’un incendie qui a ravagé, jeudi matin, l’église Sainte-Philomène dans la ville de Mercier (région administrative de la Montérégie) au Québec. C’est le troisième incendie que subit cette…

Canada : vandalisme, vol et tentative d’incendie dans une église du Québec

Il s’agit de l’église catholique Saint-François-Xavier de la municipalité Saint-François-Xavier-de-Brompton (région administrative de l’Estrie). Une autre église de cette région administrative avait été entièrement détruite par un incendie criminel en 2013… C’est la consternation à Saint-François-Xavier-de-Brompton, en Estrie, après que…

Les mondialistes aux abois provoquent la guerre raciale contre les Blancs

Publié le 12 juin 2020 - par

Immédiatement après la crise du Covid-19 survient l’ouverture mondiale et à grand renfort d’images choc de la guerre raciale contre les Blancs. Voici quelques éléments pour une mise en perspective globale.

Les mondialistes aux abois. Le rejet du traité européen par les référendum de 2005 en France et aux Pays-Bas, l’élection de populistes en Italie, en Autriche, l’élection de Donald Trump, la victoire du Brexit, le mouvement des Gilets jaunes, la convergence de toutes les crises, menacent dangereusement le système mondial. Pour se maintenir, il vient de placer les populations blanches du monde occidental en état de choc afin d’inhiber toute tentative de rébellion. Pourquoi les populations blanches ? Parce que ce sont celles qui souffrent le plus de la mondialisation et qui, à ce titre, sont le plus en révolte. Une seule toile de fond à l’épisode historique actuel : les derniers spasmes des mondialistes pour tenter de garder le contrôle en fin de cycle de leur modèle. Et pour cela, l’horizontalisation des conflits et la neutralisation des révoltes par l’exacerbation des haines raciales et par la convocation de tout ceux qui vouent une haine mortelle aux Blancs : marxistes nihilistes suicidaires, suprémacistes noirs, islamistes animés par les prescriptions du Coran. Il n’y a pas à chercher beaucoup plus loin, les mondialistes instrumentalisent ces catégories pour tenter de se protéger de la révolte des classes moyennes blanches. Ils n’en sont plus à conduire un plan de domination mondiale, simplement à tenter de conserver le contrôle. Et pour cela, ils sont prêts à tout brûler.

La France en état de pré-insurrection. Dans ce contexte global, la France focalise tous les risques pour les mondialistes. Parce que plus que les autres, elle est totalement inféodée à la mondialisation dont elle a tout subi et à laquelle elle a tout concédé. Parce qu’elle en concentre tous les échecs : délocalisations, ruine de son économie, paupérisation de sa classe moyenne de souche, submersion migratoire, perte d’identité, guerre ethnique et religieuse sur son sol. Parce qu’elle abrite un peuple de souche excédé, encore hautement politisé et de tradition révolutionnaire et surtout en état de quasi-insurrection. Enfin, parce qu’elle exerce encore un magistère moral et politique sur les autres peuples d’Occident qui l’observent, dans l’attente que d’elle parte un mouvement libérateur d’ampleur mondiale. Après la crise des Gilets jaunes, la France représente un danger viral pour les mondialistes ; c’est la raison pour laquelle ils y concentrent tous leurs efforts.

La France placée en état de sidération. La crise du Coronavirus initiée à cet effet par les mondialistes a placé les peuples d’Europe et d’Amérique du Nord en état de sidération profonde ; mais plus encore le peuple de France où la gestion de la crise a été l’une des plus destructrices. Tétanisés par la peur, nous avons accepté de perdre nos libertés et de voir notre économie durablement ruinée. Les mondialistes pensent que nous sommes très fragilisés et qu’ils peuvent instantanément nous placer aux arrêts de rigueur sur une simple rumeur générant une peur panique. Attendons-nous donc à autant de répliques que besoin. Pour autant, il n’est pas certain qu’on s’y laisse reprendre. Surtout que la crise économique annonce une crise sociale majeure et que le feu couve plus que jamais sous la braise.

Un enchaînement programmé. Nous allons donc désormais assister à un enchaînement de crises construites dont l’objet sera de créer une succession de menaces, un réflexe de peur et, en retour, l’injonction d’accepter chaque fois un certain nombre de renoncements pour voir ces menaces jugulées.

La guerre raciale contre les Blancs, nouvelle étape du plan de sauvetage. Forts de cette mise sous contrôle des peuples blancs d’Amérique du Nord et d’Europe, les mondialistes viennent d’initier la phase suivante de leur plan pour garder le contrôle : l’ouverture publique de la guerre raciale contre les Blancs ; particulièrement en France en réplique forcée des événements provoqués outre Atlantique.

La loi Avia preuve de la réalité du complot. Novation aboutie à point nommé et par avance, la loi Avia vient de placer les Blancs de France sous l’injonction de se taire, de tout subir, de ne même pas pouvoir critiquer ni la submersion migratoire, ni maintenant la guerre raciale qui leur est faite. À la loi Avia, il faut bien sûr ajouter le pacte de Marrakech qui nous impose la submersion ; lui aussi arrivé par avance et à point nommé.

Une guerre raciale construite, des alliés contre-nature. Les mondialistes, la classe politique qu’ils ont placée au pouvoir, les entreprises transnationales et les médias qui leur sont liés, les juges, mais aussi les islamistes, les Antifas mercenaires du service action, les organisations politiques d’ultra-gauche qui instrumentalisent les masses issues de l’immigration et pour finir les organisations racialistes noires ; nous avons affaire à une coalition contre-nature, mais néanmoins unie et dressée contre la classe moyenne blanche de souche.

Une seule finalité commune : détruire les Blancs. Un seul but commun les réunit pour la circonstance : détruire les Blancs. Les mondialistes pour garder le contrôle, les islamistes par haine religieuse prescrite par le Coran, les suprémacistes noirs par pure haine raciale et par revanche imbécile sur leurs complexes d’infériorité, les marxistes enfin parce qu’ils sont marxistes, donc nihilistes et inversés.

Un méchant jeu de dupes. Chacun d’entre eux pense avoir le dernier mot. Les mondialistes parce qu’ils méprisent profondément les autres et qu’ils se croient supérieurs au commun des mortels. Les islamistes, parce que cela fait 1 300 ans qu’ils essayent… en vain. Les suprémacistes noirs parce qu’ils pensent qu’ils sont à l’origine de la civilisation et que les Égyptiens ont cassé le nez du Sphynx pour qu’on ne voit pas qu’il était noir. Les marxistes enfin, simplement parce qu’ils sont marxistes. Qui d’entre eux aura le dernier mot ? Les suprémacistes noirs qui spéculent sur la démographie survivront-ils aux épidémies et à la stérilisation de masse ? Les marxistes incroyants, pensent-ils que les islamistes vont les laisser vivre ou que les suprémacistes noirs vont les épargner ? Qui de la technologie des mondialistes ou des sabres des islamistes aura le dessus ? Quels seront les vainqueurs ultimes et qui seront les battus ? Et surtout pourquoi nous voient-ils tous déjà définitivement disparus ? En sont-ils tous si sûrs ?

Le racisme anti-Blanc et l’islamisme, instruments de dérivation de la poussée contre les mondialistes. En racialisant les conflits qui traversent la société, la classe dominante les horizontalise. En dressant les suprémacistes noirs et les islamistes contre les Blancs, elle neutralise la poussée verticale de la classe moyenne de souche contre elle. C’est la raison pour laquelle le traitement judiciaire et policier du soulèvement des Gilets jaunes a été d’une telle brutalité ; alors que les émeutes dans les banlieues, les attaques de policiers, les multiples transgressions du confinement et maintenant les émeutes raciales ne sont pas réprimées et au contraire encouragées par le ministre de l’Intérieur.

La loi doit s’effacer devant l’émotion. C’est exactement ce que vient de dire le ministre de l’Intérieur qui officialise ainsi le deux poids deux mesures et la latitude donnée aux suprémacistes noirs et aux islamistes de mener leurs guerres contre nous.

La police sommée de laisser faire. Là encore c’est le ministre de l’Intérieur qui donne un signal très clair. La police est sommée de laisser faire et toute dénonciation d’acte ou de propos raciste entraînera immédiatement une sanction par la suspension du contrevenant. Dans ces conditions, on comprend bien que la police est définitivement rendue impuissante et que carte blanche vient d’être donnée aux agitateurs entrés en guerre raciale et de religion contre nous.

En France, nous voyons désormais officialisé un double standard. Harcèlement judiciaire, tolérance zéro, répression forcenée et violences policières contre la classe moyenne blanche, totale latitude donnée aux minorités violentes et racistes, d’exprimer leur haine des Blancs.

Apartheid judiciaire, l’appartenance raciale critère d’application de la loi. Nous avions déjà la discrimination positive et toutes les dispositions visant à favoriser les halogènes par rapport aux Blancs de souche. Nous voyons désormais une application différenciée de la loi selon l’appartenance raciale ; autrement dit un apartheid judiciaire de fait. Cela se passe en France, tout de suite, maintenant.

Le prisme racial critère de gestion officiel des populations. Cela s’est vu au moment de la gestion de la crise du Covid-19, stricte application du confinement pour les Blancs, aucune contrainte dans les quartiers d’immigration.

La destruction des statues, preuve du fondamentalisme racialiste anti-Blanc. Cela s’est vu de manière constante dans l’Histoire, tous les fondamentalismes ont commencé par détruire les statues pour faire table rase du passé. Lorsqu’on détruit des statues d’hommes blancs, on consacre le fondamentalisme racial anti-Blanc. Il n’y a rien d’autre à dire et c’est ce à quoi nous assistons, aux États-Unis, en Belgique, en Grande- Bretagne, en France, aux Antilles. Là encore, le gouvernement français se tait, consentant de fait à l’émergence d’un fondamentalisme anti-Blanc dans la société française.

Après avoir largement promu l’islamisme, les mondialistes en sont à promouvoir une idéologie suprémaciste noire fondamentaliste et génocidaire. La dynamique génocidaire est consacrée par les lois qui nous interdisent de nous défendre et par l’apartheid judiciaire qui conditionne l’application de la loi à l’appartenance raciale.

Les mondialistes sont en train de perdre le contrôle. Malgré les apparences, les mondialistes ont perdu la maîtrise de leur ingénierie sociale. La complexité de jeu, le nombre des acteurs et la disparité d’intérêts qu’ils convoquent les fragilisent encore plus qu’ils ne le sont déjà.  Au point où ils en sont, ils empilent les erreurs et cela va se retourner contre eux.

Aux États-Unis, malgré l’agitation provoquée par les démocrates, la cote de Donald Trump est en hausse chez les Noirs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En France, les policiers vont finir par les lâcher.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les dés roulent. 

La partie n’est pas finie.

Ils ne peuvent plus faire que des erreurs.

Martin Moisan

source: https://ripostelaique.com/les-mondialistes-aux-abois-provoquent-la-guerre-raciale-contre-les-blancs.html

La conquête des universités occidentales par la gauche fête ses 50 ans

Les syndicats d’étudiants ont fêté leurs 50 ans en France. À l’occasion  de cet anniversaire, Olivier Vial s’est exprimé ainsi: « Tout ce qui fait l’actualité du combat culturel, nous l’avons vu se mettre en place dans les chapelles de la gauche étudiante. La théorie du genre, le communautarisme radical, les délires antispécistes, les utopies égalitaristes, tout a été fomenté dans les universités… » Hélas, des voix comme la sienne sont encore absolument minoritaires et dans les universités de Suisse romande même carrément inaudibles.

Partout dans le monde occidental, jadis appelé « libre », des syndicats et associations d’étudiants se sont formés, tous acquis aux modèles marxistes. Cela fait donc cinquante ans d’instrumentalisation de générations de jeunes dans le but de servir l’idéologie de la gauche. Une fois leurs études terminées, ces jeunes font partie de l’establishment et forment à leur tour de futurs endoctrinés.

Sur les anciennes modes gauchistes, de nouvelles idéologies, de plus en plus cinglées, se sont greffées. La lutte des classes a été remplacée par la lutte contre les « Blancs ». L’idéologie de la haine de soi est partout, les théories du genre se développent sous prétexte de lutte contre le patriarcat ; au divorce avec le christianisme ont succédé les épousailles avec le monde musulman.

Durant ces 50 ans, les universités occidentales ont formé des générations d’intellectuels, de fonctionnaires, de chercheurs, de politiciens, de journalistes, d’enseignants, tous mentalement conditionnés par la pensée unique. C’est de là que le pourrissement de l’Occident a débuté et c’est aussi de là que le changement devrait venir si nous voulons que notre civilisation survive, pour autant qu’un changement fondamental puisse encore avoir lieu.

En Suisse Romande, comme dans les universités d’Europe occidentale et des États-Unis, tous les étudiants sont embrigadés par les gauchistes (profs, politicards, associations, ONG…) pour être formatés à leur idéologie. Chez nous, la situation s’aggrave d’année en année : les facs de droit ou de médecine n’étaient pas aussi orientées il y a vingt ans.
Les premiers germes qui ont infesté le monde académique sont partis des Etats-Unis avec les manifestations contre la guerre du Viet-Nam et les mouvements « peace & love », suivis en Europe par Mai 68. Aux Etats-Unis, dès les années 60, il y a eu une contre-culture égalitariste et gauchisante des minorités contre les Blancs. Ce courant se répand en Europe à la fin des années 70. Dans les milieux intellectuels et universitaires, un consensus soixante-huitard, libéral, mondialiste, féministe, multiculturaliste se généralise, avec toute la litanie du politiquement correct, et le discours des élites bien-pensantes, qui domine encore aujourd’hui tout le paysage intellectuel médiatique et académique en Suisse Romande.

Auparavant, la déconstruction des fondements de la société, de la famille, les attaques contre les fondements de nos sociétés n’étaient pas à l’ordre du jour. Actuellement, toutes les facultés sont touchées, même les facultés traditionnellement de droite. Dans sa récente interview, Yves Nidegger évoque le problème venant de nos juges qui ne servent plus le peuple suisse mais des idéologues gauchistes et mondialistes.

Il suffit de regarder dans les noms des cours et des diplômes délivrés pour voir ce qui se passe dans les universités.

Et lors des votations sur une initiative qui attaque les intérêts de la gauche, des militants prennent d’assaut les auditoires. Des conférences orientées se succèdent, qui répandent toujours la même pensée unique.

En Suisse, les ONG sont très actives lors des votations grâce au support indéfectible des médias et elles ont pris un poids politique. A cela s’ajoutent depuis quelques années les milieux de la « recherche ».

Cerise sur ce gâteau déjà bien fourni : actuellement des mécènes sont en campagne contre l'initiative pour l'autodétermination. L’émission RTS/Forum du 30.10.2018 discute de cette merveilleuse nouvelle : « Les mécènes de la recherche universitaire, qui dirigent des fondations comme Leenaards, Sandoz ou Arditi, se lancent dans la bataille contre l'initiative de l'UDC pour l'auto-détermination. » En fait, il ne faut pas se leurrer : tous ces mécènes luttent pour leurs privilèges et leur statut social, tout comme les ONG et l'écrasante majorité de la classe politico-médiatique.

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Sur ces questions, voir aussi ces vidéos en anglais :
Des personnes dangereuses enseignent à vos enfants
Pat Condell : Nivellement par le bas à l’université
Les universités sont-elles devenues des centres d’endoctrinement gauchiste ?
Jordan Peterson : Des f*** néo-marxistes ont envahi les campus

Tout récemment, Alice Weidel, leader de l’AfD, le principal parti d’opposition en Allemagne, était invitée pour donner une conférence à Oxford, mais des étudiants, des professeurs et des anciens étudiants ont fait pression pour que l’invitation soit annulée, et finalement Alice Weidel a renoncé :
1.11.2018 : Oxford University Union facing growing pressure to 'no-platform' far-right AfD leader Alice Weidel
1.11.2018 : Alice Weidel soll an englischer Elite-Uni sprechen - dort ist man 'not amused'
2.11.2018 : Head of Far-Right German Party Cancels Oxford Trip

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Cenator, 3 novembre 2018

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