Climat: l’UE a dévoilé son plan suicidaire

Climat: l’UE a dévoilé son plan «historique»

(Video: AFP/lch) - Fin des voitures à essence, taxe kérosène dans l’aérien, taxation des importations, réforme du marché du carbone au risque de renchérir le prix des carburants... Bruxelles a dévoilé mercredi son projet de «big bang» législatif pour atteindre les objectifs climatiques de l’UE.

article complet et vidéo: https://www.20min.ch/fr/video/climat-lue-a-devoile-son-plan-historique-513915424765
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Cenator: L'image en avant résume parfaitement la situation: les sauveteurs du climat sont les seuls bénéficiaires de ce plan "audacieux".

Le lobby pastèque, qui investit dans les énergies vertes, réalise ces soi-disantes "réformes" à nos frais. Ces investissements, qui devraient "relancer l'économie", ne servent en fait qu'à enrichir le lobby en question et à détruire les économies.

Si une innovation, une invention s'avère rentable, les actionnaires vont affluer d'eux-mêmes. Alors pourquoi faudrait-il des milliards de subventions ?
Tout simplement pour arroser la multitude de profiteurs qui en vivent sans être capables de produire des biens et des services en bonne et due forme. Vivement l’effondrement de l'Union Européenne, qui ensevelira sous ses décombres tous ces mensonges et leurs parasites!

Un vote pour une politique énergétique raisonnable

Ce résultat constitue un tournant en politique énergétique et environnementale: les rêveries des socialistes de luxe doivent céder la place à des solutions raisonnables, efficaces et économiques.
L’acceptation claire et nette de la loi contre le terrorisme est tout aussi réjouissante. La sécurité des habitants de la Suisse en sera notablement renforcée.

Les citoyennes et citoyens suisses ont bien compris les intentions réelles de la gauche de luxe: le projet de loi sur le CO2 visait beaucoup moins la protection du climat qu’une redistribution à la mode socialiste et une mise sous tutelle des citoyens. L
’acceptation de cette loi ratée aurait entraîné des charges supplémentaires massives pour la population et une explosion de la bureaucratie, alors que le climat n’y aurait rien gagné.
Le résultat du vote de ce jour est donc une victoire de la raison sur la politique des profiteurs de gauche et une chance pour la Suisse de mener enfin une politique énergétique efficace et économique.

L’échec de la loi sur la CO2 voulue par la gauche est aussi le fruit du combat que l’UDC mène inlassablement depuis de nombreuses années pour une politique énergétique raisonnable. Ce résultat amorce enfin un tournant qui mènera notre pays vers des solutions efficaces et raisonnables et l’éloignera de la politique symbolique onéreuse et idéologique de la gauche et des écologistes.
La Suisse pourra revenir aux principes qui ont fait son succès: une politique libérale sans mise sous tutelle, sans interdiction et sans hausse constante des impôts et redevances.
Dans sa politique énergétique et climatique, l’UDC donne la priorité à la sécurité de l’approvisionnement en énergie.
Les développements au niveau international indiquent clairement que la Suisse ne pourra pas toujours compter sur des importations d’électricité.
Elle doit soutenir de nouvelles technologies et les efforts d’innovation en offrant des conditions-cadres optimales. Aujourd’hui déjà – et sans la nouvelle loi sur le CO2 – la classe moyenne suisse investit des montants considérables dans les nouvelles technologies.
Il faut enfin tenir compte équitablement de cet effort dans les futures discussions politiques.

« Dans les futures discussions et régulations de la politique énergétique, on devra avant tout tenir compte de l’augmentation  de la population »,
précise Marco Chiesa, président du parti.

Ainsi, sans la problématique migratoire, la Suisse pourrait atteindre ses objectifs climatiques avec l’encadrement législatif actuel d’ici 2030.

Double victoire de l’agriculture suisse

Autre résultat positif de ce dimanche de votation: malgré leurs titres trompeurs, les deux initiatives agricoles extrêmes ont été clairement rejetées par le souverain.
Ce « non » est un « oui » à l’agriculture suisse. Ainsi, l’approvisionnement de la population en denrées alimentaires locales, régionales et de qualité élevée reste assuré.

Instrument efficace contre le terrorisme

Le succès de la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme (MPT) donne aux autorités les moyens d’empêcher des extrémistes à motivation islamiste de perpétrer des actes de violence et terroristes.
Mais cela ne suffit pas: la Suisse a aussi besoin d’une politique d’asile et de migration plus rigoureuse ainsi que d’autres mesures comme une loi sur l’islam.

Le succès de la loi Covid-19 concerne avant tout les aides économiques

Le Conseil fédéral aurait tort de considérer l’approbation de la loi Covid-19 comme un chèque en blanc lui permettant de poursuivre sa politique sanitaire disproportionnée, chaotique et contradictoire.
Le résultat de ce vote exprime surtout la volonté du peuple de voir l’Etat réparer les dommages économiques provoqués par ses mesures excessives.
Le Conseil fédéral doit immédiatement lever toutes les restrictions et redonner la liberté complète aux citoyennes et citoyens. L’UDC exige le retour immédiat à la normalité!

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/un-vote-pour-une-politique-energetique-raisonnable/

Loi sur le CO₂: 24 heures met le paquet…

Votations du 13 juin - L’empreinte climatique suisse déborde de ses frontières

Le peuple suisse se prononcera le 13 juin prochain sur la révision de la loi sur le CO2. Selon les opposants, les émissions de gaz à effet de serre sont déjà en diminution. Pourtant, notre empreinte carbone à l’étranger augmente.
Décryptage. - Laurène Ischi, Rachel Barbara Häubi

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article complet: https://www.24heures.ch/lempreinte-climatique-suisse-deborde-de-ses-frontieres-738068748577

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Albert Coroz: Ce genre d’article qui remplit les pages de nos médias ne vise qu’une chose: amener les lecteurs à voter OUI à la Loi sur le CO₂.

Pour cela, il présente un unique tableau de la situation du CO₂, choisi arbitrairement, en prétendant être objectif et exhaustif alors qu’il ne s’agit que d’un article militant.

Quant à l'image qui illustre l'article, c'est une manipulation qui tend à faire croire que la votation porte sur les voitures polluantes.

Si l’hystérie pastèque ne s’inscrivait pas dans  un contexte de guerre totale contre la civilisation occidentale, l’immense agitation actuelle autour du CO₂ finirait par un flop étouffé comme cela a été le cas pour les deux précédentes convulsions de même nature, à savoir, celle autour du trou dans la couche d’ozone et celle de la mort des forêts.

Tous ceux qui se renseignent par d’autres sources que les médias mainstream savent que le climat ne change pas de manière très significative, ni anormalement, et que pour que les humains puissent agir modestement sur la température terrestre, il faudrait réguler leur démographie.

Et même si l’humanité abandonnait toutes ses ambitions liées au CO₂, elle risquerait bien d’oublier ces bobards réchauffementistes, tant les conflits intra-humains primeront bientôt sur toute autre chose.
Alors, les personnes à l’abri des préoccupations de survie, et capables d’un peu de recul, concluront peut-être que, décidément, le temps de l’émoi autour du CO₂, c’était « le bon temps » !

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Et en attendant la fin du monde à cause du réchauffement climatique, voici les faits:

"La Suisse a vécu le printemps le plus froid depuis 30 ans".

[...] Du jamais vu depuis 1987! [...]

article complet: https://www.lematin.ch/story/la-suisse-a-vecu-le-printemps-le-plus-froid-depuis-30-ans-325681749313

Action du groupe parlementaire UDC contre la loi ratée sur le CO2

Le groupe parlementaire fédéral de l'UDC a manifesté aujourd'hui sur la place fédérale contre la loi sur le CO2, projet onéreux, inutile et injuste qui sera soumis au peuple suisse le 13 juin 2021. Cette loi voulue par la gauche politique ne sert strictement à rien au climat. Son unique but est une redistribution de l'argent des contribuables à la mode socialiste. Voilà pourquoi le groupe UDC se bat avec détermination pour un NON clair et net le 13 juin à la loi sur le CO2.

Cette loi imposée par la gauche politique n'empêchera ni la fusion des glaciers, ni les inondations, ni les glissements de terrains. La Suisse est responsable de 0,1% des émissions de CO2 du monde entier, et chaque année cette part diminue. La population suisse investit aujourd'hui déjà des sommes importantes dans des technologies propres et notre pays est leader mondial parmi les nations industrialisées en matière de réduction des émissions de CO2 – et tout cela sans loi coûtant des dizaines de milliards de francs, sans mise sous tutelle de la population et sans interdictions.

La loi sur le CO2 renchérit la vie pour tous. L'essence et le diesel coûteront 12 centimes de plus par litre. La taxe CO2 sur l'huile de chauffage et le gaz doublera: le litre d'huile de chauffage coûtera 30 centimes de plus, idem pour le kilo de gaz. Du coup, les loyers augmenteront – d'environ 140 francs pour un appartement de 100 m2. Avec la loi sur le CO2, les déplacements en avion seront réservés aux gens aisés: par vol et par personne il faudra compter avec une hausse allant jusqu'à 140 francs. La loi sur le CO2 est donc antisociale, car elle frappe tout particulièrement les personnes à revenu modeste et la classe moyenne. Une famille de quatre personnes doit s'attendre à une hausse de ses charges pouvant atteindre 100 francs par an. De plus, cette loi discrimine les habitants des campagnes qui ont besoin de leur voiture pour se déplacer.

Mais ce ne sera qu'un début: si la loi sur le CO2 est acceptée, la gauche écologiste se sentira pousser des ailes et réclamera des mesures encore plus sévères. L'interdiction des moteurs à combustion et des vols à courte distance suivra. La consommation de viande sera elle aussi bientôt interdite. De lourds impôts sur des produits prétendument "nocifs pour le climat" sont quasiment garantis.

Le groupe UDC répondra donc clairement NON le 13 juin 2021 à cette mise sous tutelle totale de la population.
Source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/

Le peuple décidera du mauvais projet de loi sur le CO2

Soutenu activement par l’UDC, le référendum contre la loi sur le CO2 a abouti avec un résultat impressionnant : plus de 111’000 signatures. Voilà un signal politique clair indiquant que le peuple suisse refuse ce monstre bureaucratique excessivement cher et inefficace. L’UDC s’engagera avec force dans la campagne de votation pour défendre les intérêts de la classe moyenne, des arts et métiers, de la population des campagnes et des pendulaires.

Les signatures à l’appui du référendum contre la révision de la loi sur le CO2 ont été déposées mardi à Berne. En un temps record plus de 111’000 citoyennes et citoyens se sont élevés contre ce projet de loi, plus du double que le nombre nécessaire: la preuve que le mécontentement au sein du peuple suisse est grand. L’UDC a activement soutenu ce référendum issu d’une large alliance réunissant les arts et métiers, le secteur automobile ainsi que des associations de mobilité et du domaine énergétique.

« Onéreuse et inefficace, cette réforme charge de nombreuses familles. La récolte de signatures pour le référendum a obtenu un succès impressionnant, aussi grâce à la précieuse contribution de nombreux membres de l’UDC », a déclaré Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse et conseiller aux Etats tessinois, qui ajoute: « Moi-même et toute l’UDC, nous nous engagerons de toutes nos forces pour obtenir un non du peuple à cette loi nuisible sur le CO2. »

La loi sur le CO2 est en opposition avec tous les principes d’une politique libérale et proche des citoyens: elle multiplie les interdictions et prescriptions et provoque des coûts énormes alors que ses effets sur le climat sont négligeables. Le prix de l’essence et du diesel augmentera de 12 centimes par litre et les taxes sur l’huile et le gaz de chauffage augmenteront de plus du double. Une taxe allant jusqu’à 120 francs sera prélevée sur chaque billet d’avion.

Charges supplémentaires de plus de 1000 francs par an

Pour une famille de quatre personnes, les charges supplémentaires qui résultent de cette révision atteignent facilement plus de 1000 francs par an. A ce montant il faut ajouter une hausse des coûts difficilement chiffrables à la suite du renchérissement des transports de marchandises.

Les arts et métiers, les PME, les locataires, les propriétaires immobiliers, les pendulaires et d’une manière générale les habitants financièrement moins aisés des campagnes sont les principales victimes de cette révision. Durant la campagne de votation, l’UDC s’engagera à fond pour les intérêts des personnes touchées et de la classe moyenne.

L’UDC s’était déjà opposée à la nouvelle loi sur le CO2 lors des débats du Conseil national et du Conseil des Etats, mais elle a été battue par une alliance contre nature composée de la gauche, des Verts, du centre et des radicaux-libéraux. Le résultat magnifique de la récolte de signatures pour le référendum est une confirmation éclatante de la politique libérale et raisonnable de l’UDC.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-peuple-decidera-du-mauvais-projet-de-loi-sur-le-co2/

L’UDC se joint au référendum contre la loi sur le CO2, jugée trop coûteuse

La nouvelle loi sur le CO2 est contre-productive et coûteuse, selon l'UDC. Le parti est monté au front mardi contre le projet élaboré par le Parlement en confirmant son soutien au référendum lancé par les milieux économiques.

Ces prochaines années, les hausses d'impôts et de redevances inscrites dans la loi sur le CO2 coûteront 30 à 40 milliards de francs à la collectivité et à l’économie, estime l'UDC. Pour le parti agrarien, les mesures prévues sont contre-productives: l'effet d’incitation de la taxe actuelle sur le CO2 est pratiquement égal à zéro.

Il est dans l'intérêt de tous de prendre soin de l'environnement, a expliqué le président de l'UDC Marco Chiesa. Ces dix dernières années, la Suisse a réduit de 20% ses émissions de gaz à effet de serre par habitant. Ce développement réjouissant n’a pas été obtenu grâce à des interventions étatiques, selon le Tessinois. Il est le résultat de nouvelles technologies. Il faut faire appel à la responsabilité individuelle et mettre en pratique les innovations de la science et de la recherche.

Investissements privés

La nouvelle loi est mal conçue, a poursuivi le conseiller national soleurois Christian Imark. La lutte contre le réchauffement climatique doit venir d'investissements privés. De nombreuses entreprises sont déjà passées volontairement à la propulsion électrique. Les lignes de production sont en cours de conversion ou de reconstruction complète.

Le projet du Parlement et du Conseil fédéral obligerait l'Etat à réglementer le comportement des acteurs économiques, ce qui n'est pas nécessaire, a affirmé le député.

Réduire les émissions de moitié

La nouvelle loi sur le CO2 introduit plusieurs taxes et mesures pour réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 par rapport à 1990. Le réchauffement climatique doit être limité à 1,5 degré. Ces objectifs conduiront notamment à une augmentation du prix de l'essence allant jusqu'à 12 centimes par litre. Les billets d'avion seront taxés à hauteur de 120 francs par vol au maximum.

L'UDC soutient le référendum lancé par un comité économique composé de représentants de la branche automobile, des transports, de la branche aéronautique, du bâtiment et de la branche pétrolière. La nouvelle loi est aussi attaquée par les grévistes du climat, qui estiment à l'inverse qu'elle ne va pas assez loin.

ats/jpr

source et lien vers l'audio: https://www.rts.ch/info/suisse/11691663-ludc-se-joint-au-referendum-contre-la-loi-sur-le-co2-jugee-trop-couteuse.html

L’UDC soutient un référendum contre une loi CO2 onéreuse et excessive

Le Conseil national a durci la loi sur le CO2 par rapport aux projets du Conseil fédéral et du Conseil des Etats. Concrètement, cela signifie que les particuliers tout comme les entreprises subiront des ponctions financières massives. Il est donc évident aux yeux de l’UDC que le peuple suisse doit avoir son mot à dire, si bien qu’elle soutiendra un référendum.

Ce n’était pas une surprise: le résultat des dernières élections parlementaires fédérales s’est directement répercuté sur la révision totale de la loi sur le CO2. Un Conseil national fortement glissé à gauche a durci la loi sur le CO2 contre la volonté de l’UDC. Cette révision coûte cher à la population et l’économie. Elle prévoit non seulement une foule de nouvelles interdictions, taxes et redevances, mais aussi un alourdissement de la bureaucratie.

Chauffer, se rendre au travail, faire des vacances – tout coûte plus cher

Concrètement, la gauche écologiste de tous les partis a décidé de prélever 12 centimes supplémentaires par litre de carburant. En réalité, la hausse se monte cependant à 20 cts/litre, car il faut y ajouter le financement d’une réduction de 4 centimes pour les carburants dits bio ainsi que 4 autres centimes pour le fonds des routes nationales et le trafic d’agglomération (FORTA), augmentation qui avait déjà été approuvée dans le passé.

Mais ce n’est pas tout: à partir de 2023 les valeurs limites d’émission pour le CO2 des chauffages ont été abaissées à tel point que cette réduction équivaut en réalité à une interdiction des nouveaux chauffages à l’huile. La hausse prévue de la taxe d’incitation à 210 francs au maximum par tonne de CO2 émise renchérit l’huile de chauffage de 27 centimes par litre et entraîne pour un ménage moyen une augmentation des charges annuelles de plusieurs centaines de francs. A cela il faut ajouter une autre décision parfaitement antisociale, à savoir une taxe de 30 à 120 francs sur les billets d’avion en fonction des destinations et un objectif de réduction des émissions de CO2 déraisonnable à l’intérieur de la Suisse.

La gauche écologiste ponctionne une fois de plus la classe moyenne

Ces nouvelles taxes et redevances approuvées par la gauche écologiste frappent une fois de plus les classes moyennes qui travaillent durement. Pour l’UDC, il est donc évident que les citoyennes et les citoyens doivent avoir le dernier mot. Partant du principe que les organisations économiques, directement touchées par ces excès, lanceront un référendum contre la loi sur le CO2, l’UDC a décidé de soutenir celui-ci.

source:

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