Les 99% des médias occidentaux, l'Union européenne et ses Etats-membres (avec la France en première ligne), le Conseil de l'Europe, le Parlement européen, la gauche américaine, l'ONU (notamment son Assemblée générale), l'Unesco, de nombreuses ONG, l'Eglise catholique (le pape François tout particulièrement) et de nombreuses églises protestantes se livrent, depuis des décennies, à une négation systématique de l'identité juive d'Israël ; et, dans la foulée, à une négation systématique (ou une délégitimation systématique) de la renaissance, en 1948, de l'Etat hébreu.
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A une négation systématique de l'identité juive de la ville de Jérusalem ; et à une négation systématique de l'identité juive de la Judée (Judée avec "J" comme "Juive") et de l'identité juive de la Samarie (identité juive de la Judée et de la Samarie, comme en témoignent au fil du temps des livres historiques, géographiques et bibliques).
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Ils et elles se livrent à cette négation honteuse, afin de s'aligner sur certaines entités avec lesquelles ils et elles ont signés des accords discrets, pour ne pas dire secrets (accords "islamophiles" et "israélophobes") ; entités telles que la Ligue arabe ; et, surtout, entités telles que l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et ses Etats-membres, notamment l'Arabie saoudite et le Qatar, deux monarchies multimilliardaires, intégristes et djihadiques.
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Pourtant, l'histoire, au fil des siècles, démontre, de façon irréfutable, que Jérusalem est juive. Et même si certains chrétiens disent "Terre sainte" (pour dire "Terre promise"), cela ne change rien au fait qu'historiquement, Israël, était, demeure et restera, un Etat Juif ; et cela ne change rien au fait qu'historiquement, Jérusalem, était, demeure et restera, une ville Juive.
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Le Mont du Temple, le Mur dit "des lamentations" (en réalité "Mur occidental", ou encore, "Kotel") passe, chronologiquement, avant le Saint-Sépulcre. Il serait même souhaitable que les chrétiens, avant de passer au Saint-Sépulcre, se rendent, d'abord, au Kotel, comme l'ont fait les papes Jean-Paul II et Benoît XVI.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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