« J’ai épousé un musulman » : le cri d’amour de 120 Italiennes

Les hommes non musulmans n'auraient pas pu procéder à ce "cri d'amour" puisque l'islam interdit le mariage d'une musulmane avec un non musulman. Cette discrimination ne gêne visiblement pas ces Italiennes.

A noter que si les femmes non musulmanes peuvent épouser un musulman, les enfants de ce couple prennent la religion du père. Toute la culture de la femme est donc détruite en une seule génération.

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A la suite d’un éditorial islamophobe publié par un quotidien italien demandant aux Italiennes de ne pas épouser de musulmans, 120 femmes du pays mariées à des musulmans ont exprimé, dans la presse et sur les réseaux sociaux, leur amour pour leur conjoint et ont plaidé pour la tolérance.  

C’est l’une des répercussions des derniers attentats de Londres : une polémique sur les mariages mixtes en Italie a éclaté à la suite d’un éditorial signé Simona Bertuzzi, rédactrice en chef du quotidien Libero.

L’article titré « Pourquoi les femmes italiennes ne doivent pas épouser de musulmans », était un appel à boycotter tout mariage avec des musulmans en raison des origines italo-marocaines de l’un des auteurs des attentats. D’après le Huffington Post Maghreb, cet article se serait notamment appuyé « sur les propos et témoignages recueillis auprès d’une députée italienne d’origine marocaine, Souad Sbai, active dans le milieu associatif pour dénoncer, notamment, les injustices subies par les femmes issues de l’immigration ». Amalgamant insidieusement violences domestiques, port du voile, pratique religieuse et attentats, cet article islamophobe n’est pas passé inaperçu.

Excédé par la tonalité calomnieuse et dangereuse de l’éditorial, une journaliste italienne, Laura Silvia Battaglia, mariée depuis quatre ans à un Yéménite, a dénoncé cette caricature en lançant un hashtag sur Twitter: #hosposatounmusulmano (« J’ai épousé un musulman »).

« Montrons-leur qu’il existe des hommes musulmans qui nous aiment »

Le hashtag a rencontré un vif écho et a été repris par des centaines de femmes italiennes et étrangères toutes mariées à des musulmans. Il a même été traduit en anglais, #muslimhusbandrocks (« un mari musulman assure »), et accompagné de photos et de témoignages. Laura Silvia Battaglia a expliqué le sens de sa démarche dans les colonnes du magazine américain Newsweek.

Faisons-leur savoir que l’amour et le respect existent

« Montrons-leur qu’il existe des hommes musulmans qui nous aiment, qui respectent leurs femmes, qui éduquent leurs enfants et qui ne nous ont jamais forcées à faire quoi que ce soit (…) Faisons-leur savoir que l’amour et le respect existent, surtout si vous êtes de bonnes personnes, et si vous vous concentrez sur l’être humain au-delà de toute autre catégorie », a-t-elle déclaré pour mieux souligner la visibilité des mariages mixtes.

« Vivre la différence comme un atout et non comme obstacle »

Cette dynamique amoureuse de témoignage a été suivie de la rédaction d’une lettre ouverte de 120 femmes italiennes mariées à des Marocains, envoyée au quotidien Libero, selon une information de l’agence de presse Ansa rapportée par le Huffington Post.

Elles y expriment leur sentiment et expliquent que ce que d’autres estiment être une « folie » est pour elles « un exemple de maturité et de connaissance ».

Les vrais terroristes sont ceux qui divulguent des informations discriminantes, et diffusent un sentiment injustifié et déraisonnable de méfiance

« La diversité, pour nous, ne signifie pas être meilleurs ou pires, mais vivre la différence comme un atout et non comme obstacle ». Ces femmes ont également dénoncé la désinformation de l’article du Libero et plus généralement de la presse sensationnaliste.

« La vraie folie, c’est d’épouser des hommes non éduqués à l’amour et au respect. Et ces hommes, malheureusement, il y en a partout et dans toutes les religions (…) les vrais terroristes sont ceux qui, comme vous, divulguent des informations discriminantes, et diffusent un sentiment injustifié et déraisonnable de méfiance ».

Source Via fdesouche.com

Une chômeuse italienne en est à son 3ème mariage blanc avec un migrant

Une jeune romaine a reçu de l'argent pour aller se marier au Caire avec un inconnu.

A 33 ans, cette jeune femme est prête à se marier pour la troisième fois, prête à partir au Caire, mais seulement si on lui verse son avance de 1000 euros.

S., qui habite un immeuble d'un quartier populaire de Rome dans un appartement de 30 m2, en a parlé au journal ANSA.

Elle explique qu'elle va épouser un étranger du Moyen-Orient. Elle n'a pas encore vu son visage et fera sa connaissance en Egypte en vue du mariage. On lui a promis 9'000 euros pour se rendre là-bas et devenir rapidement sa femme. Tout est déjà organisé : elle doit épouser un extra-européen qu'elle ne connait pas, pour qu'il puisse ensuite avoir facilement un permis de séjour. Entre temps, elle restera quelques semaines au Caire jusqu'à ce que tous les papiers nécessaires au mariage aient été obtenus.

Pour l'instant, il vaut mieux qu'elle ne voit et ne contacte personne. "Je ne m'occupe de rien. Cela m'est déjà arrivé dans le passé. Ces sous me sont bien utiles, ils m'en ont promis beaucoup et je serais même contente s'ils m'en proposaient bien moins" explique-t-elle en prenant sa fille de deux ans dans les bras. "Je ne travaille pas et je ne me vois pas comme une délinquante, ça c'est sûr. Ce n'est pas un crime et si je suis payée, je ne vois pas où est le mal. La première fois, j'ai même épousé un transsexuel brésilien, ici à Rome, comme cela maintenant, il peut vivre dans la capitale. Nous avions attendu un moment avant de divorcer". Pour son deuxième mariage avec un africain, elle n'a pas touché d'argent : "Je l'ai fait pour ma fille et même si je n'aimais plus le père de mon enfant, je lui ai donné la possibilité de rester à Rome puisque je savais déjà comment tout ça fonctionnait."

Maintenant, elle attend son billet pour ses nouvelles noces au Caire; elle recevra 1000 euros comme avance et l'assurance de son 'broker', un Italien, qui a lui-même épousé en Iran une Erythréenne de la même manière, de toucher le solde une fois mariée. Cet homme savait que "S. était la personne adéquate pour ce genre de choses".

"Quand je reviendrai, ajoute-t-elle,  j'achèterai des choses pour ma fille. Le mariage est une chose, l'amour en est une autre. Ni le mariage ni l'amour ne compte ni pour moi ni pour les immigrés. La seule chose qui m'intéresse, est d'aller de l'avant".

Source en italien (trad. D. Borer)

Merci à Caroline pour le signalement de l'article

Cecile Kyenge, « l’Italienne » qui rêve d’africaniser l’Europe

Par Monique Bousquet de Riposte Laïque

Un petit tour du côté de l’Italie. L’été n’est pas encore fini, ça ne peut nous faire que du bien. Quoique.

L’Italie, c’est la nouvelle,  ou seconde à vous de voir,  patrie de Cécile Kyenge. Pour ceux qui ne la connaîtraient pas, une présentation sommaire: Cécile Kyenge est née au Congo (RDC) dans une famille catholique et néanmoins polygame. Arrivée clandestinement en Italie en 1983, elle suit une formation d’ophtalmologue, et de 2013 à 2014 elle occupe la fonction de ministre pour l’Intégration.

Beau parcours. On serait tenté d’applaudir. Sauf s’il ne s’agissait du ministère de… l’Intégration justement, plutôt que de la Santé par exemple, comme sa formation aurait pu l’y conduire.

Petit tour d’horizon des actions de cette dame:

Cécile Kyenge  fustige les Italiens et souhaite leur donner une « culture de l’immigration » qui, selon elle, leur fait cruellement défaut. Et pour parvenir à cela sans doute, elle propose que:

– l’immigration clandestine ne soit plus déclarée illégale,

– les enfants d’immigrés soient déclarés italiens dès la naissance, donc remplacement du droit du sang par le droit du sol,

– se fondant sur son expérience personnelle au Congo – elle-même ayant une trentaine de frères et de sœurs –  une loi autorise la polygamie.

L’importance des flux continus de clandestins est telle que les centres d’accueil sont pleins. L’Italie a donc utilisé des bâtiments désaffectés: prisons, hôtels. Mais les flux d’arrivants sont continus et en nombre croissants. Le gouvernement a proposé de loger les arrivants dans des régions dépeuplées où ne restent que les personnes âgées et de leur donner les maisons vides, la région de l’Alto Vastese dans le Molise notamment. Il a proposé également de réquisitionner des appartements vides, des résidences secondaires, des  maisons de vacances, ce qui n’a pas manqué de provoquer un tollé de la part des maires des régions concernées, celle de Venise entre autres.

Pour Madame Kyenge, tout ceci n’est pas assez.  Sourde à ces protestations, indifférente aux inquiétudes légitimes de la population, elle  met la barre encore plus haut :  elle propose non pas la réquisition de bâtiments vides, c’est déjà fait, mais que chaque foyer italien accueille une famille d’immigrants chez lui.

On se dit que cette dernière proposition est tellement outrancière qu’elle mourra de son propre ridicule. C’est oublier que le ridicule ne tue pas.  Mais  surtout, je crois cette idée plus perverse que ridicule. Non seulement l’Europe est sommée d’accueillir tous les Africains à qui il prend l’envie de venir – la seule chose qui soit discutée est celle de leur répartition entre pays de l’espace Schengen – mais de se métisser, voire de renoncer à ce que tout individu, toute famille a de plus cher: son chez soi, son intimité. Et peut-être à terme de s’effacer. Ça me rappelle quelque chose:

Une lice étant sur son terme

Et ne sachant où mettre un fardeau si pressant

Fait si bien qu’à la fin sa compagne consent

De lui prêter sa hutte, où la lice s’enferme.

Au bout de quelque temps sa compagne revient.

La lice lui demande encore une quinzaine.

Ses petits ne marchaient, disait-elle, qu’à peine.

Pour faire court, elle l’obtient.

Ce second terme échu, l’autre lui redemande

Sa maison, sa chambre, son lit.

La lice cette fois montre les dents et dit:

Je suis prête à sortir avec toute ma bande,

Si vous pouvez nous mettre hors.

Ses enfants étaient déjà forts.

 

On revient toujours tôt ou tard à La Fontaine, qui conclut cette petite fable, La Lice et sa Compagne, par ces deux vers pleins de bon sens:

Laissez leur prendre un pied chez vous

Ils en auront pris bientôt quatre.

 

Hé bien, il faut croire qu’en France, nous avons oublié nos classiques.

Cette brillante idée transalpine a traversé notre frontière – le mot frontière est bien sûr à prendre ici comme un archaïsme – puisque dans l’émission du 20 août, les Grandes Gueules sur RMC, la représentante d’une association,  vous voudrez bien m’excuser si je n’ai pas retenu le nom – a repris cette idée: recueillir un clandestin chez soi. Je n’ai pas senti de la perversité chez elle, plutôt un degré pathologique d’angélisme. Même les Grandes Gueules n’en revenaient pas, c’est dire, eux qui pourtant, malgré leur nom, font plutôt dans le politiquement correct. Je me souviens comment, il y a encore peu de temps, ces mêmes Grandes Gueules se moquaient des prévisions de Marine Le Pen sur l’immigration/invasion africaine. après sa visite à Lampedusa.  Depuis l’intervention en Lybie, on ne peut pas dire que l’on voit à Lampedusa un afflux de clandestins, fanfaronnaient-ils.

L’idée fait donc son chemin jusqu’à chez nous. Préparez-vous donc, habitants de Calais, Paris ou Menton. Vous avez une chambre d’amis: n’attendez pas qu’on la réquisitionne, aérez, sortez les draps parfumés de lavande de vos armoires, fourbissez les cuivres, achetez quelques fleurs fraîches; adoptez un migrant chez vous (sinon des mesures plus coercitives pourraient être employées).

Ces faits m’inspirent quelques réflexions:

Madame Kyenge est une opportuniste doublée d’une formidable  ingrate qui, plutôt que respecter l’Italie qui lui a permis de devenir ce qu’elle est aujourd’hui, l’attaque dans ses valeurs fondamentales et n’a de cesse que de l’africaniser.

Quant à l’auditrice que j’ai entendue ce matin sur RMC, qui n’est pas motivée comme l’est manifestement  Madame Kyenge par la  solidarité ethnique, elle, est suicidaire. Au fond, peu importe que les églises soient vides:  la société tout entière applique désormais  les principes chrétiens de manière plus intégriste que les premiers martyrs qui mouraient dans l’arène.

Une dernière. Les propos de cette auditrice dans l’émission de ce matin m’ont rappelé cette phrase d’Einstein : « deux choses sont infinies, l’Univers et la bêtise humaine, mais en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore la certitude absolue ».

Monique Bousquet - le 21.08.15

Un Marocain délinquant massacre sa femme italienne

ND Ch. H. A noter que nos médias préfèrent pointer du doigt la Suissesse qui l'accompagne que le meurtrier marocain.

Enceinte d'un Tunisien résidant à Bergame, une Tessinoise de 16 ans l'aurait suivi dans une virée meurtrière fatale à la femme officielle de ce dernier.

L'histoire s'est déroulée à Albino, dans la banlieue de Bergame (It) mardi soir. Une Tessinoise de 16 ans a été arrêtée en compagnie d'un Tunisien de 25 ans pour le meurtre de la femme de ce dernier. Dans un parking de la région, l'homme a asséné 24 coups de couteau pour venir à bout de sa chère et tendre. L'adolescente, elle, a été accusée de complicité de meurtre, a rapporté tio.ch jeudi.

Avant de mourir, la victime aurait tout juste eu le temps de déclarer à des passants qui tentaient de la sauver: « Un homme m’a tué.»

Amine E. sans domicile fixe a déjà un casier judiciaire.

Source1 Source2 via SuzyDesouche.ch