Charrat (Valais) : un Marocain avait tenté d’écraser son ex-femme puis avait menacé les policiers avec un couteau

«J’ai cru qu’il allait ensuite nous égorger». L’ex-femme de Khaled* doit la vie à son compagnon de l’époque, Luc*. C’est en effet lui qui l’a poussée de côté lorsque Khaled leur a foncé dessus avec sa voiture dans le but de les tuer, fin juillet 2016 à Charrat (VS).

Annie * a cependant été atteinte et blessée à une jambe tandis que Luc s’est précipité vers la voiture sortie de la route après l’agression. C’est alors que Khaled a sorti un couteau. Luc, qui a mis trois ans pour s’en remettre, a reculé. Mais le quadragénaire d’origine marocaine n’a pas achevé le couple qu’il venait de prendre comme cible.

Il a aussi menacé les policiers

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20min.ch

ONU : «quoi qu’on fasse, les migrants continueront à arriver »

Laisser mourir des migrants aux frontières de l’Europe simplement parce que leur statut administratif n’est pas à jour, c’est faire preuve d’un manque total de considération pour la valeur de la vie humaine, a déclaré le Rapporteur Spécial des Nations Unies sur les droits des migrants, François Crépeau[juriste canadien NDLR].

Dans un communiqué publié le 30 octobre, il a demandé au gouvernement britannique de revenir sur sa décision de ne plus soutenir les opérations de sauvetage des migrants en Méditerranée.

« Les migrants sont des êtres humains et ils ont des droits comme nous [voir encadré ci dessous NDLR]» a déclaré François Crépeau. « C’est effroyable de tabler sur une augmentation du nombre de morts pour dissuader des migrants potentiels et des demandeurs d’asile de risquer la traversée. Cela revient à dire : Laissons-les mourir car c’est un bon moyen de dissuasion ».

« On ne peut pas verrouiller les frontières internationales, et quoiqu’on fasse, les migrants continueront à arriver » a ajouté le Rapporteur Spécial.

Pour lui, la solution réside dans une ouverture contrôlée de l’immigration afin notamment de fournir une main-d’œuvre bon marché a certains secteurs économiques qui en ont cruellement besoin tels que l’agriculture ou le bâtiment. Par ailleurs, une approche concertée doit être adoptée par l’ensemble des pays d’Europe face au nombre croissant de demandeurs d’asile arrivant des zones de conflit.

ONU

Rappel : Pour Francois Crépeau : « la souveraineté territoriale ne devrait jamais être un obstacle permanent à la migration »Relire via FDesouche

Mare Nostrum : Psychose Ebola, 90% des policiers italiens se mettent en arrêt de travail

Italie : selon un syndicat de police de Palerme (CONSAP) beaucoup d’agents ne se seraient pas présentés au travail. Mais la Préfecture de police dément :  « Pourcentage physiologique ». Parmi les maladies que craignent les policiers, la tuberculose et la gale.

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Psychose d’infection parmi les agents de la Préfecture de police de Palerme, d’après un communiqué du syndicat autonome de police CONSAP.

Les agents de police craignent la possibilité d’être contaminés par les immigrés en provenance d’Afrique du Nord et déclarent forfait. Ainsi le débarquement à Palerme de 530 réfugiés du navire Urania a provoqué un nombre record d’arrêts de travail.

Aujourd’hui, 90% des agents ne se sont pas présentés au travail, restant prétendument au lit évoquant des maladies les plus variées.

Leur crainte? Etre contaminés par les virus dont les réfugiés seraient porteurs. Tuberculose  (5 cas déclarés en juin), gale, Ebola, voilà les maladies qui inquiètent les hommes des forces de l’ordre. Un mouvement qui, s’il était poursuivi, pourrait priver Mare Nostrum de son bras opérationnel.

Dans un communiqué, le CONSAP menace même de lancer une Class Action contre le Ministère de l’intérieur.

La préfecture de police de Palerme cependant dément. « Les activités complexes d’accueil, d’identification et de surveillance des migrants au port se sont régulièrement déroulées » souligne la Préfecture de police.

Et elle ajoute  « qu’il faut par conséquent démentir fermement que 90% des agents de Palerme en service commandé aujourd’hui au port se seraient déclarés malades. » D’après la Préfecture de police, « l’absence pour motifs de santé ne concerne qu’un nombre infime du dispositif total prévu pour ce type de services. (…)

Source via Fdesouche