Halle (All.) : La famille en deuil sur le lieu de l’accident – et Mohamed, le chauffard, en liberté

Halle - Oliver Bagger (49 ans) et ses fils Elia (15 ans) et Amon (21 ans) sont agenouillés sur le passage piéton au milieu de la ville. Il fait nuit. Les phares des voitures qui passent éclairent la scène. Les hommes allument des bougies, déposent des fleurs et fixent une pancarte au lampadaire. On peut lire dessus, en gros caractères d'imprimerie :

Ne jamais oublier! Kathrin B. († 43)!

Deux douzaines de personnes se sont réunies avec la famille au Leipziger Turm - amis, parents et collègues de Kathrin Bagger. A cet endroit, la mère a été victime d'un chauffard le 14 décembre 2019.

Oliver Bagger : "Nous voulons nous souvenir de notre Kathrin et du fait que cette année nous devons célébrer le deuxième Noël sans mère et sans femme, alors que l'homme responsable n'a pas passé un seul jour derrière les barreaux".

Le conducteur débutant Mohamed G. (alors âgé de 19 ans) a écrasé Kathrin Bagger avec un coupé Mercedes argent. Selon un avis d'expert, la voiture roulait à au moins 75 km/h. En excès de vitesse, le conducteur a laissé la femme gravement blessée allongée, s'est enfui et a tenté de faire disparaître les plaques d'immatriculation de la voiture.

Un an plus tard, l'accusé (le procès se déroule à huis clos) s'est excusé par l'intermédiaire de son avocat et se lamente : "Depuis, je suis en congé de maladie et sous traitement médical. J'ai de graves insomnies et des cauchemars".

Le procès, qui avait été suspendu en raison de l'absence d'une expertise, doit être rouvert au printemps. Jusque-là, Mohamed G. reste un homme libre.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

bild.de

Halle (All.) : Un Afghan massacre sa fiancée de 34 coups de couteau parce qu’elle ne voulait plus de lui.

Nasi A. (âgée de 18 ans) était une belle jeune femme. Son corps à moitié nu était couvert de sang et en lambeaux lorsque sa mère l'a découverte en train de mourir sur le sol.

Nasi aurait été tuée par son fiancé le 16 juillet parce qu'elle ne voulait plus de lui. "Les médecins légistes ont dénombré 34 coups de couteau dans le torse, le dos, les fesses et les jambes de la victime", accuse le procureur Klaus Wiechmann.

Vendredi, Najib A. (52 ans), la mère du Nasi, a déclaré à la barre des témoins : "Dawood [NDLR : le fiancé afghan] m'a téléphoné après le crime et m'a demandé où j'étais. Puis il a dit : J'ai tué ta fille. Si elle survit, je viendrai à l'hôpital et je mettrai le feu à son lit."

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Attentat antisémite de Halle : Le parcours du terroriste

L'auteur présumé de l'attentat de Halle en Allemagne près d'une synagogue a lui-même filmé la fusillade et diffusé la vidéo sur la plateforme internet Twitch, a indiqué mercredi le site SITE, spécialisé dans la surveillance des organisations terroristes. Les autorités soupçonnent cet individu d'appartenir à la mouvance d'extrême droite allemande.

Mercredi midi, dans la ville allemande de Halle. Un jeune homme au crâne rasé et au visage juvénile se filme dans sa voiture. Il s'apprête à commettre un attentat ultraviolent ciblant une synagogue. Mais rien ne va marcher comme prévu et tout sera improvisé. La mise en scène rappelle fortement le procédé suivi par l'auteur australien de l'attentat contre deux mosquées à Christchurch en Nouvelle-Zélande en mars, qui avait fait 51 morts.

 

"Salut, mon nom est "Anon""

Dans un anglais hésitant, au volant de sa voiture, le tueur, qui a posté sa vidéo de 35 minutes sur la plateforme Twitch, se présente: "Hello, mon nom est 'Anon'". Probablement une abréviation pour signifier qu'il entend rester "anonyme". Puis il se livre à une diatribe antisémite, affirmant "que l'Holocauste n'a jamais existé ou que la "racine de tous les problèmes, c'est le juif".

Il s'en prend au féminisme et à "l'immigration de masse".

Ganté, en tenue kaki, il arme ensuite un fusil qui semble artisanal et circule en voiture, l'autoradio allumé.

 

 

 

Il tente d'entrer dans la synagogue, mais la porte est fermée

Il se gare ensuite dans une rue, non loin d'une synagogue. En ce jour de Yom Kippour, plusieurs dizaines de personnes sont en train d'y prier. Il tente d'en ouvrir la porte, fermée à double-tour. "Fuck!" lance-t-il. Puis "merde" en allemand. "Peut-être qu'ils vont sortir".

Il pose son fusil contre le mur de la synagogue et tente de trouver un moyen d'entrer, peut-être en escaladant le mur d'enceinte du cimetière qui jouxte le lieu de culte.

Un cycliste passe dans la rue et le regarde, interloqué.

 

 

 

 

 

La porte du cimetière semble plus facile à ouvrir. Il dépose un explosif artisanal devant la porte du cimetière mais aucune détonation ne se produit.

Une femme d'une cinquantaine d'années passe dans la rue et lui demande ce qui se passe, avant de poursuivre son chemin. Il l'abat de trois balles dans le dos.

Le tueur retourne à la porte du cimetière, qui résiste toujours. Il jure puis retourne vers le corps de la première victime, étendu sur la chaussée. "Porc!". Il tire une nouvelle rafale, il est essoufflé, jure entre ses dents.

[...]

Rtl.be

Halle (All.) : Plusieurs morts dans une fusillade devant une synagogue

Une fusillade s'est déclenchée mercredi devant une synagogue à Halle, en Allemagne. Selon la police, les coups de feu ont fait au moins deux morts et plusieurs blessés.

La ville de Halle, située dans le land de Saxe-Anhalt, se trouve à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Leipzig.

 

 

Selon le quotidien Bild, une grenade aurait également été lancée dans un cimetière juif à proximité.

Reuters.com / Mz-web.de / Lacote.ch / Arcinfo.ch / Ouest-france.fr

Allemagne : Un hôtel 4 étoiles pour les clandestins et le chômage pour les employés autochtones

ND Christian HoferNous parlions déjà de cet hôtel ici. A présent nous apprenons que le personnel ayant cotisé et sans doute financé l'aide à ces migrants via ses impôts est... licencié.

En plus de l'invasion, de la censure des médias, de l'arbitraire gouvernemental, du matraquage idéologique, de la culpabilisation, des agressions et autres viols, les autochtones doivent à présent débarrasser le plancher, sans ménagement. Des travailleurs européens honnêtes sont licenciés au nom du politiquement correct, pour héberger des gens venus profiter de notre continent!

Oui c'est cela l'enrichissement que l'on nous avait promis.

https://youtu.be/aQvjSc5lGFw

Bienvenue à Exact.

Pris par surprise et abandonnés, c'est ce que les employés de l'hôtel Maritim ressentent dans la ville de Halle.

L'hôtel a été transformé en logement pour réfugiés.

Les employés ont été informés par les médias que l'hôtel stoppait ses activités et aujourd'hui la plupart ne savent pas ce qui va se passer pour eux.

D'un hôtel 4 étoiles à un centre de réception pour réfugiés. Nos reporteurs sont sur place.

L'hôtel Maritim à Halle, jeudi dernier. Les voitures de police sont en position. Les employés sont rassemblés du côté de l'entrée.

L'hôtel a cessé toutes ses activités immédiatement.

"Ils (les responsables de l'hôtel) font tout cela sans nous consulter, juste au-dessus de nos têtes."

Les visiteurs et les gens qui ont leurs propres affaires dans l'hôtel sont écartés et on leur dit de partir.

(...)

Depuis la semaine dernière, rien n'est plus comme d'habitude désormais. Ils ont transformé l'hôtel 4 étoiles en un centre pour réfugiés.

Les employés l'ont appris dans les médias au début du mois de septembre.

Andreas Lehmann est le président du conseil des travailleurs.

Nous l'accompagnons à son dernier jour de travail. Il a travaillé dans l'industrie hôtelière pendant 37 ans. Il a été l'auditeur de l'équipe de nuit à la réception de l'hôtel. A présent, il est sans emploi.

"Oui je suis fâché que mon emploi soit fini. Je ne sais pas...

Je suis furieux. Je ne sais pas comment je suis supposé agir."

(...)

Environ 50 de ses collègues ont été virés.

Britt Heidenreich est présente aussi. C'est son anniversaire aujourd'hui. Elle est âgée de 42 ans, durant 25 ans elle a travaillé à l'hôtel Maritim en tant que serveuse.

La fermeture soudaine l'a prise totalement par surprise, comme chacun.

"Comment devons-nous traiter cela... Nous sommes en train de le voir, nous ne pouvons pas croire à cette situation."

(...)

Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch