Munich : L’Africain de 180 kilos agressait les gens sans raison

Munich - C'est un colosse : 1,97 mètre de haut, 180 kilos. Lundi, le Ghanéen Henry Obeng T. (33 ans) a dû répondre devant le tribunal régional de Munich de lésions corporelles et d'insultes.

►Le 30 novembre 2018, le chef cuisinier a poussé sans raison plusieurs femmes devant un grand magasin de Munich. Une victime a subi une fracture de l'avant-bras gauche lors d'une chute et a dû être soignée à l'hôpital pendant une semaine.

►Le 6 février 2019, il a poussé un homme par derrière dans les escaliers du métro de la Marienplatz. Il a ensuite donné trois autres coups de pied à la victime, qui était allongée au sol, le blessant légèrement au niveau des côtes, du dos et de la tête. Il a insulté un homme plus âgé qui se précipitait pour venir en aide, en le qualifiant de "monstre".

La psychologue qui le traite depuis août 2020 n'a pas été en mesure d'expliquer les explosions de violence non provoquées de T. Elle a déclaré devant le tribunal : "Il n’y avait aucune preuve de schizophrénie diagnostiquée lors de nos tests et examens."

(Traduction lire Schwazre Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Italie : une entrepreneure éthiopienne “devenue symbole de l’intégration” embauche un migrant ghanéen car selon elle, les autochtones “ont du mal à suivre”, il la tue à coups de marteau et la viole

Une migrante éthiopienne, qui était devenue symbole de l’intégration en Italie, en développant une exploitation [ferme/fromagerie] florissante dans la campagne alpine a été tuée dans sa ferme, a indiqué la police.

Son employé ghanéen a avoué avoir tué et violé, alors qu’elle était mourante, Agitu Ideo Gudeta, 42 ans, selon les médias italiens.

Le suspect, Adams Suleimani, 32 ans, l’aurait tuée avec un marteau suite à un différend portant sur un salaire impayé.  

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Gudeta s’était échappée d’Addis-Abeba en 2010 après avoir provoqué la colère des autorités locales en participant à des manifestations contre «l’accaparement des terres»

Des militants, dont Gudeta, avaient accusé les autorités de réserver de vastes étendues de terres agricoles aux investisseurs étrangers. 

En arrivant en Italie, elle a pu utiliser les terres communes dans les montagnes du nord pour créer son entreprise. 

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Son histoire a été rapportée par de nombreux médias internationaux comme un exemple de ce que les migrants pourraient accomplir lorsqu’ils en avaient la chance. 

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Gudeta avait déclaré à l’époque qu’elle avait engagé un autre migrant pour l’aider dans son exploitation et qu’elle cherchait à embaucher au moins deux autres étrangers.

 

Les Italiens ont du mal à suivre avec une journée de travail épuisante, avait-elle déclaré

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L’article dans son intégralité sur Daily Mail

Via Fdesouche

Italie : Un Ghanéen clandestin multirécidiviste tue un retraité. Il avait été arrêté puis libéré 3 jours auparavant.

Samedi soir, le Ghanéen avait détruit un bar et réclamé une centaine d'euros au propriétaire. Afin de ne pas payer une bière. Les carabiniers l'ont arrêté, mais le juge d'instruction l'a libéré le soir même. Charles Opoku Kwasi, né au Ghana il y a 31 ans, n'a pas de domicile fixe et vit en Italie sans autorisation de séjour depuis au moins quatre ans. À la fin de 2013, la demande de statut de réfugié présentée pour des raisons humanitaires a été rejetée. Il aurait dû être rapatrié, mais l'expulsion est restée lettre morte.

A partir de ce moment, les déplacements du Ghanéen sont traçables à travers une série d'arrestations. Arrêté en 2015 dans la ville d'Andria (région des Pouilles) pour vol. Coincé sur le Litorale Domitio pour bagarre l'année suivante. Arrêté à nouveau dans le hameau de Pescopagano samedi dernier. Et remis en liberté. Il y a deux nuits, il a encore perdu le contrôle.

L'horreur s'est déroulée à Castel Volturno. Après avoir été arrêté pour la énième fois, le migrant, a été transféré au service psychiatrique de l'hôpital de Sessa Aurunca. Là-bas, tard dans la nuit, il est devenu fou et s'est déchaîné sur Luca Toscano, un patient de septante-sept ans, le massacrant à coups de poings au visage jusqu'à lui prendre la vie.

Les infirmiers (3 femmes et un homme) l'ont vu se précipiter vers le retraité, lançant une rafale infinie de coups de poing. Ils ont essayé d'intervenir. Mais c'était inutile. Le Ghanéen a achevé son oeuvre dans un petit couloir adjacent à la salle. Là, il s'est barricadé avec le corps sans vie de Luca, tandis que les dix patients présents dans le service et les infirmiers s'enfermaient terrifiés dans l'une des chambres. Puis les carabiniers sont arrivés. Il y eut encore des cris et des menaces.

Encore une "autre ressource" (Nd Christian Hofer : La propagande de gauche en Italie prétend que les migrants sont une ressource en terme économique et social) de la politicienne de gauche Laura Boldrini qui a fait entrer la peur et la mort dans notre pays.

 

Source Source2 Source3

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch