Y a-t-il encore des journaux objectifs ?

Le FIGARO n'est plus un journal de droite. Ce n'est pas d'hier d'ailleurs. Il y a belle lurette que sa rédaction a été contaminée par la bien pensance. Serge Dassault qui en est le propriétaire laisse faire.

Comme d'autres patrons de médias. Comme Rothschild pour Libération, comme Bolloré pour ses télévisions, C8,  I-télé, et Alain Weill pour RMC, RBMTV, cette dernière télévision a viré de son plateau une journaliste pro-Trump qui avait déplu par son soutien au nouveau Président !

Tous ces patrons sont au minimum corsetés par le CSA (Conseil Supérieur de l'Audivisuel), le censeur du politiquement correct ou par les intérêts de la finance. Comme nous le savons tous, quand vous dites finance, vous n'êtes pas loin de l'Arabie et du Qatar. Quand vous dites Qatar et Arabie Saoudite, vous touchez du doigt l'OCI (Organisation de la Coopération islamique) cette ONU de l'islam est très puissante et a passé des accords avec l'Union Européenne pour favoriser l'Islam, sa culture et la langue arabe. La fameuse Eurabia , (Voir ICI également)

Nous sommes cernés diront les rieurs ! Ce n'est pas faux et les médias sont les filets journaliers qui prennent à la gorge, et aux pattes tous les auditeurs et téléspectateurs sans leur laisser le temps d'analyser, et de comprendre à l'aide d'infos tronquées, de mots clefs, de certitudes fausses, etc.

Pour revenir au Figaro, je voulais en quelques mots dire le traitement inique de ce journal par les correspondants à Washington comme Pierre-Yves Dugua (@pdugua) qui, dans ce journal, a tenu des propos lamentables et manipulateurs de la pensée. Loin d'être un observateur, ses propos dénotent son parti pris anti-Trump comme la plupart des journalistes Français.

Lisez en quelques lignes la condamnation de Donald Trump: "Le populisme de Donal Trump" (…) "Canaliser les instincts protectionnistes" (…) "de l'insouciance de Trump",  "les initiatives trop dispendieuse en matière d'infrastructures", etc. En quelques mots, ce journaliste se veut moralisateur et explique par des mots significatifs son opinion.

Nous savons tous ce que veut dire "populisme" pour les bien-pensants. Un mot antichambre de l'extrême droite, du nationalisme et bien sûr du fascisme. Avec ce mot de populisme, nous ne sommes pas loin du point Godwin qui résume en un mot la tendance des militants populistes à être des nazis en puissance.

Que veut dire "canaliser les instincts" ? Donald Trump serait-il une bête, un monstre d'ignorance qui ne ferait que vivre sous son cerveau reptilien pour assurer ses bas instincts?

Que veut dire insouciance ? Est-ce que ce journaliste a fait une comparaison entre lui et Donald Trump ? Entre sa puissance intellectuelle de journaliste et la carrière de Donald Trump qui durant toute sa vie a, pour le moins, peu montré son insouciance !  Comment ce journaliste peut-il affirmer qu'un homme de la trempe de Trump serait un insouciant. N'est-ce pas plutôt ce triste journaliste à la pensée courte qui serait un "insouciant".

Que dire des dépenses dispendieuses en matière d'infrastructure (routes, ponts, écoles, hôpitaux, etc) alors même que les USA ont dépensées des milliards de dollars en guerres, en bombes, en coups montés au Moyen-Orient !  Ha, c'est pas les mêmes budgets, les mêmes priorités sans doute. L'un est onéreux, l'autre est normal ! Pauvre journaliste du Figaro ! Il y aurait pourtant tellement à dire en faveur de Donald Trump, mais ces gens-là ne trouvent rien !

On peut ne pas aimer un tel ou tel autre, mais le réduire à ce qu'il n'est pas est indigne d'un journaliste qui est sensé examiner et retraduire en toute objectivité ce qu'il voit.

Que dire de cet autre pseudo journaliste Philippe Gélie (@geliefig) que je ne connais pas non plus et qui est, lui aussi, correspondant à Washington et se permet de déformer le programme de Trump sur l'immigration en utilisant un mot chargé d'un sens si lourd qu'il n'est pas innocent. Donald Trump voudrait "déporter" les immigrés illégaux. Déporter est un mot écœurant, une vraie saloperie qui signifie bien autre chose que d'appliquer la loi envers des clandestins. Là aussi on est pas loin du point Godwin.

Vous allez trouver dans tous vos journaux ces clefs de langage servant à discréditer tout ce qui n'est pas dans la droite ligne de la bien pensance. La boue, le nauséabond, les heures les plus sombres et autres propos, faisant de ceux qui pensent que le nationalisme et la préférence faite aux nationaux ont des sentiments de vulgaires fascistes, voire d'exterminateurs de la SS en puissance, ou de futurs collabos des nazis !

Tous ces "braves gens" n'ont qu'une seule idée ! Interdire la libre expression. Interdire que des citoyens puissent penser par eux-mêmes.

Prenez un simple exemple: Bill Clinton s'envoie une stagiaire, s'étale sur sa jupe, et frise la mort politique. Pour autant, aucune manifestation de femmes, avec des bonnets roses sur la tête, n'ont accusé de sexisme Bill Clinton.

Par des mots imbéciles, que souvent les hommes prononcent entre eux, lorsqu'ils voient un beau cul, une poitrine avenante, suite à ses propos enregistrés à l'insu de Donald Trump, toutes les femmes des USA, de France, du Monde entier dit-on, s'élèveraient pour dénoncer le sexisme de Trump !  Pour avoir entendu des femmes parler des avantages et autres de certains hommes qui passent où qu'elles ont connus, je sais que sur ce sujet, les femmes n'ont rien à nous envier ! Mais alors, pourquoi ne protestent-t-elles pas contre le sexisme de l'islam considérant la femme comme un "champ de labour"? Ou l'autorisation donnée par l'islam de battre sa femme quand elle est désobéissante ! Ah oui, ce n'est pas pareil ! C'est raciste, c'est islamophobe !

C'est une actrice américaine Woopy Golberg qui affirme sans réaliser l'énormité de ses propos que "C'est lui le Président, il a divisé le monde et doit faire des excuses le premier aux minorités et aux femmes" Rien que ça !

En quoi a-t-il divisé le monde? Pourquoi devrait-il présenter des excuses ? Surtout aux minorités et aux femmes ? Si on lui posait la question, on serait étonné qu'au-delà des éléments de langage, elle n'aurait plus rien à dire.

Pour conclure sur le Figaro devenu Démocrate à la sauce socialiste, voici un troisième correspondant de ce journal qui ne manque décidément pas de moyens, à Washington, Laure Mandeville (@lauremandeville)  et affirme un propos encore clivant qui est de signaler la "guerre de tranchées" aux USA. Les morts de 1914/18 ont dû se retourner dans leur tombe. Sans compter son affirmation sur "l'élection surprise de Donald Trump". Pour une journaliste correspondante au Figaro, il serait temps qu'elle quitte son confortable poste à Washington et ses amis démocrates, car même en France beaucoup savaient, et nous l'avions dit, que Donald trump serait le 45ème Président des USA. Pour le bonheur des "populistes" et autres patriotes de France et d'Europe ! La presse alternative sur internet est bien plus sûre !

Ce sont les Démocrates, ces socialistes américains mondialistes qui sont responsables et démontrent que la démocratie pour eux n'a de valeur que s'ils sont au pouvoir. Nous avons les mêmes en France et il y a de quoi s'inquiéter en Europe et en France lorsque les élections mettront au pouvoir des partis comme le Front National, et autres partis dit "populistes" et attachés au bonheur des peuples.

Gérard Brazon

 

Vos impôts ont permis à la patronne (et ses amis) de France Télévisions de toucher des salaires hors normes

Alors que la Cour des comptes a publié lundi dernier un rapport critiquant violemment la politique «insuffisamment rigoureuse» de gestion du groupe, une enquête révèle les salaires exhorbitants de certains salariés.

L’audiovisuel public rémunère ses salariés aussi bien que le privé: voilà sans doute la révélation majeure de l’enquête menée par BFM Business. Exemple: Delphine Ernotte, PDG de France Télévisions, touche un salaire fixe de 322.000 euros brut par an, avec un bonus variable pouvant aller jusqu’à 78.000 euros, soit un total de 400.000 euros bruts par an. À titre de comparaison, c’est le même salaire que Rémy Pfimlin, ancien PDG du groupe, mais bien plus que celui de Patrick de Carolis, qui touchait 240.000 euros de fixe et un bonus qui pouvait atteindre 60.000 euros.

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Nos remerciements à Didier S.

« Égorgé » : le mot que France Télévisions censure

(…) Selon nos informations, l’expression « tué à l’arme blanche » a en effet été imposée formellement aux journalistes de France 2comme de France 3 (une « décision de la chaîne venant d’en haut » et transmise par consigne orale). La consigne était impérative : ne pas employer le terme « égorgé » mais « tué à l’arme blanche ».

Cette autocensure a deux conséquences. La première est d’édulcorer le réel, de taire un élément essentiel de l’information. Non le prêtre n’a pas été poignardé, il a bel et bien été égorgé dans un rituel propre aux islamistes. La dimension symbolique du geste, incroyablement violente, a été occultée volontairement. (…)

Observatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique