Le lieutenant du NYPD s'excuse de s'être agenouillé aux côtés des manifestants pour George Floyd
Par Tina Moore, Amanda Woods et Aaron Feis, 11 juin 2020
Un lieutenant du NYPD de Manhattan s'est excusé auprès de ses collègues du département après s'être agenouillé aux côtés des manifestants pour George Floyd - leur disant que "le flic en moi a envie de se botter le cul".
Dans un courriel du 3 juin obtenu par le Post, le lieutenant Robert Cattani du Midtown South Precinct a écrit qu'il avait perdu le sommeil à cause de l'horrible décision prise de "céder aux demandes d'une foule de manifestants".
Cattani est un des policiers (au moins quatre) qui se sont soumis au slogan des manifestants "NYPD, take a knee" lors de la manifestation du 31 mai à Foley Square (au bas de Manhattan).
Ce geste symbolique contre la discrimination raciale est devenu célèbre quand l'ancien stratège des 49ers de San Francisco, Colin Kaepernick, s'est agenouillé pendant l'hymne national.
Le mois dernier, il a pris encore une nouvelle signification lorsqu'un policier blanc de Minneapolis a été vu, sur une vidéo, le genoux sur le cou de Floyd peu avant sa mort. Cette vidéo a suscité une indignation, et une protestation, généralisée.
Dans son courriel, Cattani a déclaré qu'il avait agi ainsi pour tenter d'apaiser la foule.
"Les conditions précédant la décision de s'agenouiller étaient très difficiles car nous étions au centre de la scène avec toute la foule qui criait des slogans", a-t-il écrit.
"Je sais que j'ai pris la mauvaise décision. Nous ne savions pas comment les manifestants auraient réagi si nous ne l'avions pas fait et nous essayions de réduire toute violence supplémentaire".
Selon la police, dans toute la ville, du 31 mai au 1er juin, environ 250 personnes ont été arrêtées et sept policiers ont été blessés, mais on ne sait pas exactement combien de ces arrestations et de ces blessures étaient liées à la manifestation de Foley Square.
"J'ai pensé qu'un manifestant, ou un émeutier, qui verrait cela, réfléchirait peut-être à deux fois avant de se battre ou de blesser un flic", a écrit M. Cattani.
"J'avais tort. Du moins, c'est ce que je me suis dit lorsque nous avons pris cette mauvaise décision. Je sais que c'était mal et que j'en serai honteux et humilié pour le restant de ma vie".
Des sources policières ont exprimé leur soulagement de voir que M. Cattani s'était excusé mais elles se sont interrogées sur ce qu'il pensait tout d'abord.
"Je suis content qu'il ait renié son geste, parce que vos agents se battent contre ces types et c'est ce que vous faites en signe de respect ? Ne montrez jamais votre faiblesse", a déclaré une personne de la police.
"Vous l'avez fait pour apaiser ces gens qui n'avaient de toute façon aucun respect pour vous."
Plusieurs autres policiers se sont agenouillés lors des manifestations qui ont eu lieu dans toute la ville pendant les troubles - notamment le chef de département Terence Monahan, le plus haut gradé des agents en uniforme de la police de New York - et ils ont reçu les éloges du commissaire de police Dermot Shea et du maire Bill de Blasio.
Cependant, Cattani regrette maintenant de ne pas être resté debout.
"J'ai passé la première partie de ma carrière à m'efforcer de me construire une réputation de bon flic", écrit-il. "J'ai jeté tout ça à la poubelle ce dimanche 31 mai."
Il a néanmoins condamné les actes du désormais ex-policier de Minneapolis, le sergent Derek Chauvin – actuellement – qui a maintenu Floyd à terre.
"Nous savons tous que ce qu’a fait ce *** à Minneapolis était une erreur", a écrit Cattani.
"Pourtant, nous ne condamnons pas les erreurs des autres agents. Je ne blâme personne d'autre que moi pour ne pas avoir tenu bon."
Contacté par téléphone, Cattani a renvoyé les questions au service de presse du NYPD.
Le NYPD a refusé de commenter.
Source et liens: https://nypost.com/2020/06/11/nypd-lieutenant-apologizes-for-kneeling-alongside-protesters/
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Pour Carlson Tucker, s'agenouiller ne sera jamais suffisant pour les émeutiers.
Pourquoi les Américains capitulent-ils devant les foules violentes ? Parce qu'on leur a dit de le faire !
Lien vers la vidéo: Tucker: Kneeling will never be enough for the mob
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Dans ce contexte, nous remettons également en cause la police suédoise, qui a délégué une policière blanche et blonde pour s'agenouiller face à une foule d'Antifa excitée. Lorsqu'elle se relève, les manifestants la prennent dans leurs bras et elle a l'air de pleurer d'émotion, d'être l'objet de cette effusion d'amour antiraciste partagé. Et ceci en pleine pandémie, sans la moindre protection. Il se peut que cette policière ait tellement intériorisé la culpabilité de sa blancheur qu'elle ait fait son geste volontairement, mais il est également possible qu'elle ait dû se faire violence pour se jeter devant cette foule et que ce soit pour cette raison qu'elle n'a pas pu retenir ses larmes. Les émotions sont difficiles à interpréter dans les circonstances où le faux-self doit dominer pour se préserver.
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Policière très grièvement blessée en chutant de son cheval :
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Bruxelles (attention, image violente) :
Londres :
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Attention, les scènes peuvent choquer!
Plus de 100 personnes ont été arrêtées lors d'un affrontement entre les militants Black Lives Matter et les policiers du quartier des monuments.
-14 juin 2020
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Pour le chef du parti Brexit, Nigel Farage, le responsable de l’anarchie et des destructions en cours n'est pas la police mais la faiblesse du gouvernement de Boris Johnson.
Nigel Farage: "Un leadership doit être capable de se tenir debout, d’être courageux et prendre des décisions difficiles." C’est le "vide de leadership" qui est responsable de l'anarchie qui fait rage dans les rues de Londres.
"C'est sous sa direction que nous avons vu la foule faire la loi dans les rues de Londres". "Le Premier ministre britannique Boris Johnson sera jugé comme 'un des dirigeants les plus faibles' des temps modernes, à moins qu'il ne mette rapidement fin à la "loi de la populace dans les rues de Londres."
Plus de 100 personnes ont été arrêtées au cours d'une journée de troubles dans le centre de Londres ce week-end, la police luttant pour garder séparés les manifestants antiracistes et les opposants aux pillages, dits « militants d'extrême droite », qui ont essayé de protéger des statues.
En réponse aux troubles, M. Johnson a tweeté : "La brutalité raciste n'a pas sa place dans nos rues. Quiconque attaque la police sera traité avec toute la force de la loi. Ces marches et protestations ont été détournées par la violence et violent les directives actuelles. Le racisme n'a pas sa place au Royaume-Uni et nous devons travailler ensemble pour que cela devienne une réalité."
Farage vient de perdre son travail à la télévision après avoir comparé les émeutiers qui ont détruit des statues historiques avec les talibans.
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Une manifestation Black Lives Matter tourne à l'émeute, pillages à Santa Monica - Los Angeles : la police est totalement dépassée !
(sous-titres en français disponibles)
https://www.youtube.com/watch?v=ZboJLBtoaV0
À Chicago, les policiers sont tenus responsables des pillages. Quatre policiers étaient censés tenir tête à la meute des pilleurs !
CBS 2 (une télévision pro-Démocrates) rapporte que des agents ont été vus en train de faire la sieste, de se prélasser, de faire des pop-corns et de préparer du café dans le bureau du député américain Bobby Rush, alors que des pillages étaient en cours dans le centre commercial voisin, selon la maire de Chicago, Lori Lightfoot, qui promet des sanctions. Lori Lightfoot est une femme politique et procureure américaine, maire de Chicago depuis 2019. Elle est la première maire homosexuelle et la première femme maire noire de la ville.
(sous-titres en français)
source 2: https://www.foxnews.com/us/chicago-mayor-lightfoot-video-police-relaxing-popcorn-near-riots
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Le chef de la police de Webster (Massachusetts), Michael Shaw, à plat ventre avec les manifestants :
https://www.youtube.com/watch?v=43DD6kVsQLE
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Le président d'un syndicat de police fait un discours enflammé sur le climat "anti-flic" qui se développe :
Un haut policier de New York accuse la presse de "diffamer" les policiers.
Michael O'Meara, président d'un syndicat de police de l'Etat de New York, s'est adressé aux médias lors d'une conférence de presse mardi, dans des propos qui ont été critiqués comme étant hypocrites et sans nuances.
"Arrêtez de nous traiter comme des animaux et des voyous. Et commencez à nous traiter avec un peu de respect", a déclaré M. O'Meara aux journalistes lors de la réunion de New York. Il a ajouté : "On ne nous a pas donné la poarole. On nous a vilipendés. C'est dégoûtant".
Lors de la conférence, O'Meara - debout devant une rangée d'hommes qui semblaient être pour la plupart des hommes blancs portant des masques - s'est opposé aux nombreux Noirs américains qui ont déclaré publiquement à la suite du meurtre de George Floyd qu'ils avaient peur des forces de l'ordre.
"Nous avons tous lu dans le journal toute la semaine que dans la communauté noire, les mères ont peur que leurs enfants soient tués poar un flic en rentrant de l’école", a dit M. O'Meara. "Dans quel monde vivons-nous ? Cela n'arrive pas. Cela n'arrive pas !"
Si, cela arrive. Le risque d’être tué par balle par un policier était beaucoup plus élevé chez les Noirs américains que chez toute autre race ou ethnie, rapporte le département de recherche de Statistica, en chiffres compilés entre 2017 et 2020. Malgré cela, les procès et les condamnations de policiers dans ces affaires sont rares.
Néanmoins, O'Meara est allé jusqu’à dire que ce sont les policiers qui sont les victimes. "Tout le monde essaie de nous faire honte. Les législateurs. La presse. Tout le monde veut que nous ayons honte de notre métier", a-t-il brandir, avant de brandir un insigne de la police. "Vous savez quoi ? Ceci n'est pas terni par quelqu'un de Minneapolis. Notre badge brille et ceux des autres policiers aussi.
https://www.advocate.com/crime/2020/6/09/ny-police-boss-stop-treating-us-animals-and-thugs
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Et voici le message de Marjorie Greene, candidate républicaine à la Chambre des représentants pour la Géorgie, face aux menaces de Black Lives Matter :
https://www.youtube.com/watch?v=_CCZ-_tLSTw
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Partout dans les États Démocrates, le démantèlement de la police est envisagé.
"Defunding the police" : se dirige-t-on vraiment vers un démantèlement de la police à Minneapolis ?
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Que signifie « defund the police » ?
Où commence la lâcheté des forces de l’ordre, où faut-il applaudir leur courage, combien de policiers se sont-ils soumis à contre-cœur au chantage des Black Lives Matter pour préserver la paix de leur communauté, éviter que les émeutes n’aggravent encore la situation ou simplement défendre leur peau et protéger leur famille des représailles ?
Les réponses ne sont pas simples, mais ce qui est certain que c’est un chapitre très douloureux de la démocratie, de l’histoire des États-Unis et de toute sa police.
Voici un résumé de l’analyse de Carlson Tucker, un éditorialiste chez Fox News, qui met en évidence le fait que Black Lives Matter est devenu maintenant un parti politique, ce qui représente une prise de pouvoir non démocratique aux conséquences imprévisibles.
Tucker explique que des procureurs généraux, des célébrités de Hollywood, des députés démocrates comme Nancy Pelosi sont favorables aux revendications de Black Lives Matter : « defund the police ».
Beaucoup d’agents fédéraux du FBI ont montré une totale soumission à cette idéologie révolutionnaire.
« Defund the police », définancer la police, c’est une revendication des manifestations de Black Lives Matter qui balaient les villes de gauche aux États-Unis. Définancer la police, est-ce que cela signifie la supprimer ou la réformer ? Réduire sa dimension et donner l’argent épargné aux Noirs ?
Dans des villes comme Minneapolis, c’est clairement l’abolition qui est réclamée : « Full abolition ».
Les récents sondages (sondés démocrates et républicains à parts égales) montrent que 16% de la population sont favorables à ce projet, 65% le refusent, et ceux qui sont les plus favorables ont un revenu net supérieur à 100’000 dollars par année. Eux, ils se sentent déjà en sécurité, disposent d'un abonnement pour le « Sécuritas » local.
Nous savons que c’est le propre de la gauche de chercher à toujours accaparer plus de pouvoir : leur devise est « plus d’État ». Comment se fait-il alors qu’ils veuillent renoncer à la police, qui est sous leur responsabilité dans les villes démocrates ? Simplement parce que, malgré le fait que ces villes veillent depuis longtemps à la mixité des engagements dans la police (voir article ci-dessous « À propos de la diversité ethnique dans les forces de police »), les policiers restent en majorité résolument anti-Démocrates.
Donc, en passant le pouvoir aux haïsseurs de Trump, à la soi-disant « société civile », c’est-à-dire aux Black Lives Matter/Antifa et autres joyeusetés semblables, le seul bastion de la résistance à la réélection de Trump sera éliminé. Et par là, Black Lives Matter sera devenu une force politique à part entière.
La prochaine étape, déjà programmée après le « définancement », c’est le « law enforcement », ou « application de la loi », qui consiste en fait à désarmer totalement la population, afin que les civils n’aient plus la possibilité de défendre leur famille et leurs biens. Ainsi, la population sera à la merci des gangs dits « société civile », qui seront les seuls ayant le droit d’être armés. Les Noirs et les manifestants réclament que ce soit seulement une minorité choisie qui ait le droit d’être armée, sous prétexte de « pacifier la société ».
Et au bout du projet ce sera l’anarchie et la terreur pour tous !
La liberté de parole est également violemment réprimée depuis le début des émeutes et la vague de « white bashing » qui balaie le monde.
La critique du mouvement Black Lives Matter est criminalisée, les carrières des « contrevenants » sont brisées. Carlson Tucker cite en exemple un footballeur célèbre qui a été licencié parce que sa femme (!) avait critiqué BLM dans un tweet (voir ici ou ici). C’est la censure à tout va, et même Carlson Tucker a perdu plusieurs gros annonceurs après l’émission que nous venons de résumer.
Un autre exemple: des écrivains et des universitaires demandent le renvoi des journalistes qui ont critiqué Black Lives Matter et le projet « defund the police ». Cet anathème vise même Harald Uhlig, professeur d’économie et rédacteur en chef du prestigieux Journal of Political Economy. En même temps, le professeur Brian Leiter de l’université de Chicago suscite les sympathies en réclamant dans ses tweets que les chefs militaires « déposent » le président Donald Trump et l’emprisonnent.
Paul Krugman, du New York Times, s’est joint à la chasse aux mal-pensants. Il s’en prend à une personne qui a donné un avis contraire au sien – la posture de l’intolérance devenue la politique officielle du New York Times. Tout cela fait partie du nouvel ordre où les journalistes appellent à la censure et les universitaires à la suppression des libertés académiques.
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Les camionneurs refuseront de livrer dans les villes où la police aura été « définancée » :
Truck Drivers Say They Won't Deliver To Cities with Defunded Police Departments
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À propos de la diversité ethnique dans les forces de police
La diversité ethnique dans la police est déjà une réalité. Les revendications démocrates à ce sujet ne sont qu’un prétexte.
Larry Elder : Diversité des forces de police - voici les véritables intentions de la gauche derrière ses appels à réformer la police
Ce sont des maires démocrates, à quelques exceptions près, qui dirigent les plus grandes villes américaines. Ils ont promis depuis longtemps de fournir des forces de police qui ressemblent à la communauté qu'ils contrôlent. Certains y sont parvenus.
Mais à la suite des nombreuses protestations suscitées par la mort de George Floyd lors de son arrestation, il faut se demander si la "diversité" raciale et ethnique des policiers fait vraiment une différence dans la perception qu'a le public de la police.
La diversité n'a pas fait une grande différence à Baltimore en 2015, lorsque des manifestations et des émeutes ont eu lieu après la mort du suspect noir Freddie Gray. Au moment de la mort de Gray, le maire était noir, tout comme les deux principaux responsables du service de police. Le procureur de l'État du Maryland, qui a porté plainte contre les six agents accusés, était noir.
Sur les six agents inculpés, trois étaient noirs, tout comme le juge devant lequel deux des agents ont ont été jugés. La majorité des membres du Conseil municipal de Baltimore étaient noirs, tout comme le procureur général des États-Unis et, bien sûr, le président des États-Unis. Cela n'a pas empêché les accusations de mauvaise conduite de la police. Cela n'a pas empêché les émeutes.
Prenons Los Angeles, où certains manifestants, soi-disant en colère après la mort de George Floyd, ont pillé des magasins et incendié des voitures de police. Los Angeles compte près de 4 millions d'habitants. La démographie raciale, selon les estimations du Bureau du recensement de 2019, se présente ainsi :
48,6 % d'Hispaniques
28,5 % de Blancs
8,9 % de Noirs
11,6 % d'Asiatiques
0,2 pour cent d'habitants des îles du Pacifique
0,7 % d'Amérindiens
Au 12 avril, le LAPD comptait 10 013 agents assermentés, avec la répartition raciale et ethnique suivante :
49,3 % ou 4 941 Hispaniques
30,1 % ou 3 012 Blancs
9,6 % ou 962 Noirs
7,8 %, soit 783 Asiatiques
2,5 %, soit 247 Philippins-Américains
0,3 % ou 33 Amérindiens
0,3 % ou 35 autres
De 1992 à 2002, le département de police de Los Angeles a eu deux chefs de police noirs consécutifs, le premier nommé par le premier maire noir de la ville. C'est vrai, lors de l'affaire O.J. Simpson, le LAPD était dirigé par Willie Williams, son premier chef noir.
En raison des allégations de mauvaise conduite de la police formulées lors du procès Simpson, Williams a procédé à un examen à l'échelle du département pour en avoir le cœur net. Son rapport n'a trouvé aucune preuve de mauvaise conduite de la part de la police. Mais pour ceux qui tenaient à voir en Simpson un homme innocent piégé par le LAPD raciste, ni Williams ni son rapport n'ont fait une différence.
À New York, des émeutiers ont pillé des magasins à Manhattan et dans les autres arrondissements. Quelle est la diversité et la représentativité des quelque 36 000 policiers de New York par rapport à la démographie de la ville ?
Estimations du Bureau du recensement de la ville de New York pour 2019 :
29,1 % d'Hispaniques
32,1 % de Blancs
24,3 % de Noirs
13,9 % d'Asiatiques
0,1 pour cent d'habitants des îles du Pacifique
0,4 % d'Amérindiens
NYPD :
29 % ou 10 526 Hispaniques
47 % ou 17 192 Blancs
15 % ou 5 515 Noirs
9 % ou 3 120 Asiatiques
0,08 % ou 27 Amérindiens
Quant au récit selon lequel les Noirs détestent et craignent la police, les sondages disent le contraire. À la question de savoir s'ils étaient "très satisfaits" ou "assez satisfaits" de la police locale, un sondage de l'université de Monmouth a révélé que tant les Noirs (21 % très ; 51 % assez) que les Blancs (45 % très ; 27 % assez) ont donné des réponses positives totalisant 72 %.
Tout cela ne ressemble pas vraiment à un plaidoyer pour "définancer la police". Comme l'a dit le rappeur Tupac Shakur dans une interview en 1994, les Noirs des ghettos craignent et accusent les mêmes criminels, les mêmes "méchants" que la police craint et accuse.
La "diversité" raciale atteinte par les services de police municipaux, comme à New York et à Los Angeles, n'a pas mis fin et ne mettra pas fin aux accusations de "racisme institutionnel" tant que la véritable intention de nombre de "réformateurs" sera que les criminels noirs restent impunis.
Larry Elder est un auteur à succès et animateur d'émissions de radio diffusées à l'échelle nationale.
https://www.foxnews.com/opinion/police-force-diversity-what-left-really-wants-larry-elder
Résumés, traductions, commentaires : Cenator