Surréaliste! Jean Ziegler dépose plainte contre la RTS pour avoir critiqué Cuba

Plainte déposée contre la RTS

Diffusée ce printemps, une séquence de l’émission «Tout un monde» a-t-elle violé le code  de déontologie à propos des médecins cubains?  L’organe compétent a été saisi.

[...] RTS «Tout un monde» diffusait une séquence sur les médecins cubains envoyés en mission à l’étranger. Jugeant le traitement unilatéral et partial, mediCuba-Suisse, mediCuba-Europe et l’Association Suisse-Cuba ont saisi l’Autorité indépendante d’examen des plaintes en matière de radio-télévision (AEIP) après l’échec d’une médiation. Des personnalités comme Jean Ziegler, Dick Marty et l’avocat Jean-Bernard Waeber ont également porté plainte à titre personnel. [...]

[...] les journalistes Eric Guevara-Frey et Xavier Alonso exposent une face très sombre de ces brigades médicales. «Il y a la traite des blanches et la traite des blouses blanches», citent-ils.

En près de six minutes, quatre interlocuteurs cubains – présentés comme deux présidents d’ONG basés respectivement aux Etats-Unis et en Espagne et deux ex-médecins brigadistes – se succèdent. Les missions sont dépeintes comme la principale source de devises du pays et un instrument de propagande du «régime ­communiste». [...]

[...]

Pour les associations plaignantes, l’émission relève de la partialité. Erreurs, imprécisions, omissions et propos biaisés sont mis en évidence: «Si on écoute l’émission sans autre information, on croira aussi que Raul Castro est encore président de Cuba et que l’ONU a «demandé des explications au gouvernement cubain via une résolution», pointent les plaignants. [...]

«On conclura aussi, comme le journaliste, que ces derniers sont ‘esclaves d’un régime qu’ils alimentent en dollars au prix de leur liberté’», [...]

article complet offert gracieusement par Le Courrier.ch:

Luxe, calme et volupté dans les palais dorés du millionnaire cubain Fidel Castro

Fidel Castro, héros de la révolution marxiste latino-américaine, est mort depuis maintenant une semaine et sa dépouille croule sous les éloges funèbres dispensés par une pseudo-élite intellectuelle superficielle qui s’extasie devant les faux concepts humanistes du communisme international. Toujours les mêmes bobos conformistes de la pensée unique qui dispensent des bobards à longueur de temps et trompent énormément.

Fidel Castro ne fut pas seulement un sanguinaire révolutionnaire, un dictateur féroce, un boucher pour les pauvres Cubains, un ennemi politique sans état d’âme, qui transforma, « l’île en une énorme prison entourée d’eau » selon les mots de sa propre sœur Juanita qui n’ira pas à son enterrement. Au nom d’une révolution des pauvres sensée libérer les prolétariens et apporter le bonheur à Cuba il en fit son domaine personnel pour son plus grand avantage et se maintenir au pouvoir. De révolutionnaire marxiste il devint millionnaire capitaliste tout en cultivant, pour le public et les médias complaisants, l’image idyllique du chef incorruptible et détaché des biens matériels : le pur des purs révolutionnaires qui en privé nage dans l’or pendant que son peuple meurt de faim.

Les extrémistes de gauche rendent homme à un assassin communiste en treillis militaire, les mêmes qui haïssent tout ce qui porte un uniforme lorsqu'ils sont en Europe...

Selon le magasine Forbes, Fidel Castro faisait partie des hommes « les plus riches parmi les rois, les reines et les dictateurs. » La fortune de Castro est estimée à 900 millions de dollars dus en partie aux revenus d’une minière d’or et de nombreuses entreprises d’États sous son contrôle. Certains observateurs occidentaux et cubains expatriés parlent aussi d’une banque en Angleterre et de 270 entreprises de par le monde sous son emprise. On est bien loin des quelques pesos avec lesquels il se targuait de vivre, à l’instar de la majeur partie des Cubains.

Ségolène Royal, ministre français de l'environnement, fait l'éloge du dictateur: "Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin."

Yacht en bois rare, whisky de 12 ans d’âge, belles femmes, jacuzzi, étaient quelques unes des commodités que s’offrait le Lider maximo. Propriétaire d’une île paradisiaque proche de Cuba, Cayo Piedra, il aimait y recevoir des personnalités comme l’inhumain président de l’Allemagne de l’Est Erich Honecker qui décida de l’érection du mur de Berlin ou l’écrivain communiste Gabriel García Márquez.

« Il laissait entendre que la révolution ne lui donnait aucun répit, aucun plaisir, qu’il ignorait et méprisait le concept bourgeois de vacances. Il mentait  »

affirme un des ses anciens compagnons d’armes resté à ses côtés jusqu’en 1994, le lieutenant-colonel Juan Reinaldo Sanchez, réfugié ensuite à Miami et décédé mystérieusement après ses révélations sur le dictateur cubain parues dans un livre intitulé « Double vie de Fidel Castro ».

« Il était convaincu que Cuba était sa propriété » écrit Sanchez.

Outre la vie capitaliste, tant honnis en public mais si aimée en cachette, il aimait les femmes : il eut plusieurs épouses, plusieurs maîtresses et huit enfants qui tout comme lui aiment la vie luxueuse. Le colonel Sanchez raconte :

« Pendant que son peuple mourrait de faim Fidel Castro a vécu avec toutes les commodités. Et cela est vrai aussi pour ses huit enfants, les diverses épouses et amantes. Le tout dans le plus grand secret » 

L'hypocrisie communiste: l'argent et les marques...

En somme, la révolution marxiste pour les pauvres, avec les pauvres, par les pauvres, ne dément pas sa réputation : elle est la voie royale à la vie de milliardaire capitaliste pour ses chefs communistes. Le dictateur soviétique Staline, maître incontesté de toute l’URSS durant des décennies, eut la 5e plus grosse fortune de tous les temps selon le magazine Forbes. Fidel Castro, idole des bien-pensants de gauche pleuré par l’hôte du Vatican, a été son disciple fidèle : aussi tyrannique, sanguinaire et meurtrier, il s’est fabuleusement enrichi en terrorisant le peuple cubain et mettant sous coupe réglée les richesses de l’île.

Les pauvres ont vraiment bon dos !

Francesca de Villasmundo

http://www.therealcuba.com/?page_id=74

https://www.alvexo.fr/blog/news/classement-des-plus-grosses-fortunes-du-monde/

http://www.ilgiornale.it/news/politica/lusso-privato-e-ben-nascosto-compa-ero-fidel-1338075.html

 

Berne: L’Ambassadeur de Cuba fait l’apologie de l’assassin Fidel Castro sur la RTS

Christian Hofer: On rappelle que le dictateur Fidel Castro a nommé Che Guevara « procureur suprême » de la prison de la forteresse de la Cabaña, exécutant les individus après une parodie de procès. De surcroit, Castro est responsable du massacre du remorqueur 13 de Marzo, navire rempli de familles fuyant le régime cubain ainsi que de l'emprisonnement des dissidents politiques. Et aujourd'hui la RTS donne la parole à cet ambassadeur pendant que des prisonniers politiques moisissent dans les geôles cubaines.

C'est ainsi que l'on manipule l'histoire, par le biais de médias orientés, laissant des communistes passer sous silence les atrocités commises par leur idéologie, les tortures et autres exécutions de masse. Évidemment, la RTS ne dit pas un seul mot sur la persécution des homosexuels à Cuba, les gauchistes ne pouvant pas reconnaître décemment que leur propre doctrine a été coupable d'atrocités contre les homosexuels, même s'il s'agit de leurs amis LGBT.

Et c'est pour cette raison que le communisme n'a pas été interdit au même titre que le nazisme malgré ses millions de morts, les médias de gauche protégeant systématiquement leurs petits copains.

A écouter à tout prix: l'audio de cet ambassadeur: Aucune critique sur les tortures, le harcèlement des dissidents ou les exécutions. Mais encore et toujours l'apologie du communisme.

**********

Le nouvel ambassadeur de Cuba en Suisse a pris ses fonctions à Berne il y a deux semaines. Après la mort du leader Fidel Castro, il revient pour la RTS sur les relations des deux pays et sur les erreurs de son régime.

Cuba et la Suisse sont semblables, nous sommes deux petits pays entourés de grandes puissances.

Manuel Aguilera de la Paz, ambassadeur de Cuba en Suisse

"La relation entre la Suisse et Cuba a toujours été bonne. Nous allons continuer à renforcer les liens, en particulier, économiques et commerciaux", a estimé le nouvel ambassadeur cubain en Suisse, Manuel Aguilera de la Paz, dans l'émission Tout un monde de la RTS.

Le système politique cubain n'est de loin "pas parfait", a reconnu l'ambassadeur, interrogé sur le peu de liberté d'expression et d'organisation à Cuba. "Mais la forme d'organisation politique que nous avons choisie est aussi une réponse au fait que nous avons dû nous défendre face à cette grande puissance que sont les Etats-Unis", poursuit-il. Chose rare, l'ambassadeur a toutefois reconnu que son pays avait commis des erreurs.

"Nous avons commis beaucoup d’erreurs, mais en réalité, aucune erreur stratégique. Nous avons amorcé une transition pour améliorer notre système socialiste, et ça va continuer", a-t-il détaillé.

L'économie, principale préoccupation

"Nous avons commis des erreurs dans la construction économique, mais nous n'avons jamais abandonné les idées fondamentales de justice sociale, de démocratie populaire, de participation du peuple, de répartition équitable des richesses ou encore de défense de l'internationalisme", a encore précisé Manuel Aguilera de la Paz.

Manuel Aguilera de la Paz a dit ne pas craindre immédiatement l'arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis, estimant que celui-ci s'est régulièrement contredit et que ses paroles ne présageaient pas forcément d'une remise en cause du rapprochement avec Cuba entamé sous l'impulsion de Barack Obama.

Source

Au Venezuela l’armée s’impatiente

Venezuela-1

   
Un mouvement citoyen, au sein même de l'appareil chaviste, opère ces temps-ci pour forcer le despote gauchiste Nicolas Maduro à renoncer au poste de président du Venezuela. Ce mouvement implique actuellement les principales institutions du pays.
-
Ainsi, le général Alexis López Ramirez (photo ci-dessus) a participé à des conversations qui visent à convaincre l'armée de demander à Nicolas Maduro de démissionner le plus vite possible. Il ne s'agit pas pour l'armée de prendre le pouvoir, mais d'assurer au plus vite une transition vers des élections véritablement démocratiques (mais notre chère gauche européenne va certainement alléguer que c'est "Pinochet - Le retour"...).
-
Alexis López Ramirez met actuellement en route une coordination qui veut forcer, depuis un bon moment déjà, le président Nicolas Maduro à démissionner, étant donnée la situation catastrophique que vit depuis longtemps le pays, entre misère extrême et chaos généralisé. Nicolas Maduro est le successeur du "cynocéphale" Hugo Chavez, qui s'était comporté en véritable dictateur bouffon.
-
De plus, Hugo Chavez avait été jusq'uà autoriser sur son territoire des "représentations officielles" des Farc, et, même, du Hezbollah ("Hezbollah Venezuela" : voir photo). Sous la présidence de Hugo Chavez et sous celle de Nicolas Maduro, l'appareil répressif vénézuélien a été - et est encore - dirigé par des agents cubains. Tout ceci ne préoccupe nullement les médias européens, au point qu'on est en droit de les suspecter d'être des complices castristes et silencieux du sanglant chavisme soi-disant "bolivarien"...
-
Michel Garroté
-

Le marketing gauchiste du Pape François !



La revue de presse LSB souligne combien ce communiqué du père Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, est étonnant : « La brève rencontre entre Mme Kim Davis et François à la nonciature apostolique à Washington DC a provoqué des commentaires et discussions. Afin de contribuer à une compréhension objective de ce qui a transpiré je suis capable de clarifier les points suivants : François a rencontré plusieurs dizaines de personnes qui avaient été invitées par la Nonciature pour le saluer comme il se préparait à quitter Washington pour New York. Ces brèves rencontres se produisent sur toutes les visites papales et sont dues à la gentillesse et la disponibilité caractéristique du Pape. La seule vraie audience accordée par le pape à la nonciature était avec un de ses anciens élèves et sa famille. Le pape n'est pas entré dans les détails de la situation de Mme Davis et sa rencontre avec elle ne doit pas être considérée comme une forme de soutien de sa position dans l'ensemble de ses aspects particuliers et complexes ».

On aimerait, souligne LSB, que les services du père Lombardi adressent également des communiqués pour préciser que prendre comme lecteur à la messe pontificale à New York un ardent militant LGBT (Mo Rocca), rencontrer Mgr Gaillot et adresser ses « sentiments de spéciale considération et de respect » à Fidel Castro n'est pas non plus à interpréter comme un soutien.

Michel Garroté, 2 octobre 2015

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/etrange-communication-vaticane.html

   

Le Pape François à Cuba – Encore une erreur pontificale ?


Pape-Cuba-1


La profanation de Cuba -- Che Guevara à la place du Christ lors de la messe du pape François (extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page) : Il est difficile d’imaginer que cet arrangement - Che Guevara à la place du Christ - se soit fait sans l'accord de François. Des semaines avant un voyage à l'étranger, les cérémoniaires du Pape se rendent sur place pour étudier les détails des messes qui y seront célébrées, et bien sûr, en premier lieu, l'emplacement. Il y a donc le pape François et Che Guevara. L'égorgeur argentin (216 exécutions et meurtres divers certifiés par le projet Cuba Archive) regarde d'en haut et protège le pape qui dit la messe.

C'est l'iconographie que le régime cubain, toujours attentif aux symboles, a décidé pour la Place de la Révolution qui se prépare à accueillir le pape compatriote du "Che". La scène sur laquelle l'autel est placé - une structure préfabriquée blanche, basse, une simple croix en bois - se dresse juste en dessous de l'énorme portrait de Guevara, couvrant la façade. Impossible de cadrer le pape François sans voir au-dessus de lui, dominant, le compagnon d'armes de Fidel Castro. Impossible d'écouter l'évangile sans lire la sempiternelle phrase sculptée sur le bâtiment : « Hasta la victoria siempre » (fin des extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page).

Le cardinal-traître (extraits adaptés ; voir deuxième lien vers source en bas de page) -- Le cardinal Jaime Lucas Ortega y Alamino, au cours de ses 34 années à la tête de l'Archidiocèse de La Havane, s'est transformé en l’un des défenseurs majeurs, indispensables, du régime communiste... C'est un pasteur prêt à donner sa vie pour les loups et non pas pour le troupeau qui lui a été confié, troupeau orphelin et impuissant. Le comportement du cardinal de La Havane Jaime Ortega y Alamino à l'égard des dissidents est depuis longtemps critiqué par l'opposition non seulement catholique.

De l'indignation a été suscitée par exemple par le fait que, dans une interview du 5 juin à la chaîne espagnole Cadena Ser, il a nié la présence de prisonniers politiques dans l'île. C’est la réconciliation entre Catholicisme et communisme. Autre fait troublant : le Nonce apostolique arrivé en 2011, l'archevêque Bruno Musarò, a été transféré en Égypte le 5 février dernier, quelques mois après avoir déclaré qu’à Cuba, "l'État contrôle tout" et que "le seul espoir est de s'enfuir de l'île", tout en déplorant le délabrement, la pauvreté et l'oppression que le peuple est contraint d'endurer (fin des extraits adaptés ; voir deuxième lien vers source en bas de page).

La question qui tue -- (extraits adaptés ; voir troisième lien vers source en bas de page) - Y a-t-il eu quelques changements positifs pour le peuple cubain après l'annonce de la visite papale ? Y a-t-il aujourd'hui plus de liberté religieuse dans l'île ? Réponse : après l'annonce et jusqu'ici il n'y a eu aucun changement positif pour le peuple cubain. L'absence de liberté maintient les cubains dans la pauvreté, au-delà de la situation d'injustice due à l'absence de droit qui a provoqué des dégâts immenses. La situation est en ce moment la même. À Cuba il n'y a pas de liberté religieuse.

Il y a le Bureau des Affaires Religieuses du Comité Central du Parti communiste (le seul parti politique reconnu à Cuba) lié à la Sécurité de l'État (la Seguridad), qui se charge de surveiller, intervenir, confisquer, perquisitionner, convaincre et menacer tout membre de l'Église dont les opinions ou les comportements déplaisent au gouvernement des Castro. Ceux-ci ont la compétence et la permission d'intervenir et contrôler à chaque moment tout aspect de la vie ecclésiale à Cuba qui ne satisfait pas le Gouvernement. Par ailleurs, l'Église n'a pas accès aux médias, les familles ne peuvent pas choisir une éducation chrétienne pour leurs enfants, car elle n'existe pas. L'actuel responsable du Bureau des Affaires Religieuses du Parti communiste a précisé, en vue de la prochaine visite du Pape, que l'éducation religieuse a été éliminée par la Révolution (fin des extraits adaptés ; voir troisième lien vers source en bas de page).

Michel Garroté, 22 septembre 2015

http://benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/le-che-a-la-messe-de-franois.html

http://benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/cuba--lenvers-du-decor.html

http://benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/cuba--lenvers-du-decor-2.html

   

Ebola: Un médecin infecté va être transféré à Genève

Un médecin cubain de 43 ans a été infecté par le virus Ebola en Sierra Leone. Il va être évacué sur Genève.

Un médecin cubain de 43 ans, le Dr Feliz Baez Sarria, a été infecté par le virus Ebola en Sierra Leone. Cuba y a envoyé 165 personnels de santé pour aider le pays à lutter contre l'épidémie, a annoncé mercredi le chef de la délégation cubaine.

Source