Vaud : Notre compagnie de navigation sur le lac Léman toujours davantage au service des frontaliers français

Durant des années, les contribuables suisses ont financé cette "compagnie de navigation" qui est utilisée par de nombreux frontaliers. On a même pu voir une association de frontaliers exiger des horaires à sa convenance alors que cette Compagnie est avant tout au service du tourisme. Oui, ils s'en contrefichent.

A présent, la Suisse perd la gouverne de sa propre compagnie de navigation puisque la France aura son mot à dire par le biais de cette "contribution financière" (comme si la France avait financé l'entretien de ces bateaux depuis toutes ces années!). En clair, les socialistes vaudois activent la pompe aspirante au service des Français et les contribuables suisses sont encore une fois pris pour des imbéciles.

Il n'y a plus guère de Suisse ni de frontières. Par le biais de "traités", nos autorités contournent notre souveraineté, tout comme le "Grand Genève" est synonyme de pompe aspirante pour le chômage français et d'émiettement de notre territoire national. C'est le but de ces politiciens apatrides, atomiser la Suisse par le biais de tractions supranationales dont le peuple ne comprend rien et contre lesquelles il ne peut s'opposer.

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Deux nouveaux bateaux permettront de développer la desserte lacustre entre la France et la Suisse. Un essor qui s’accompagne d’une nouvelle clé de répartition financière.

Les projets de développement de la mobilité se multiplient dans le bassin lémanique. [...]

Près de 1,25 million de pendulaires la traversent chaque année. Les prévisions annoncent une hausse de 4% de passagers transfrontaliers ces prochaines années. Ces voies de communication lacustre nécessitent également d’être développées. Jeudi, les autorités vaudoises et leurs homologues de France voisine ont signé une «convention de coopération» qui lance l’achat de deux nouveaux bateaux de grande capacité pour la Compagnie générale de navigation (CGN). «Une signature qui renforce encore davantage les liens entre les deux rives», a lancé Josiane Lei, la maire d’Évian, qui recevait dans sa ville les voisins d’en face pour la partie officielle.

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«Ce ne fut pas un long fleuve tranquille», se rappelle Nuria Gorrite [NDLR : Evidemment socialiste], présidente du Conseil d’État vaudois et cheffe du Département des infrastructures. Les négociations ont été longues pour aboutir à une «vision nouvelle de ce territoire partagé» [NDLR : Le terme "Suisse" est désormais absent de leurs discours, tout est dans la manipulation sémantique.].

24heures.ch

 

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