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La violence - meurtre, viol, agression physique – est endémique dans les centres d'accueil pour refugiés en Allemagne, indique un rapport des services de renseignement qui a fuité dans la presse. Les autorités allemandes, apparemment impuissantes à endiguer ce crescendo de violences, ont invoqué le droit à la vie privée des criminels pour justifier le silence qu'ils observent sur un phénomène de grande ampleur.
Bad Säckingen. Au centre de requérants de Langfuhren, le manque de soin des locataires fâche des bénévoles : cuisinières crasseuses et noircies, lave-linges aux portes arrachées, pour ne citer que deux exemples. La sous-préfecture parle de différence des systèmes de valeurs.
Lors de la visite, plusieurs plaques et fours sont allumés alors que la cuisine est déserte. Les cuisinières livrées le 28 avril sont dans un piètre état. Selon un bénévole : lorsqu’une pièce d’un appareil est endommagée, elle est remplacée immédiatement. Même chose lorsqu'une pièce est volée. Les cuisinières ont été remplacées après une année seulement.
Selon Doris Junger, directrice des services sociaux de la sous-préfecture de Waldhut « Il existe un service de nettoyage quotidien dans le centre de requérants. Malgré ce nettoyage, la cuisine, par exemple, est à nouveau dans le même état de saleté qu’avant l’intervention 5 minutes plus tard.
Un incendie s'est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche dans un bâtiment destiné à accueillir un foyer de réfugiés près de Dresde, dans l'est de l'Allemagne. Berlin dénonce des «actes répugnants» alors que le sinistre a provoqué une «joie non dissimulée» de badauds présents sur les lieux.
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