Mais il sanctionnera avec beaucoup de célérité la moindre erreur des policiers. Aucun doute, il s'agit bien d'un socialiste.
À propos des manifestations d'hommage à George Floyd et en lien avec l'affaire Traoré, le ministre de l'Intérieur a déclaré que «l'émotion mondiale dépasse les règles juridiques».
On ne pouvait hier mettre un pied dehors sans écoper d’une amende de 135€, mais Castaner assure aujourd’hui à tous ceux qui violeront l’interdiction de rassemblement qu’ils échapperont à toute sanction car, dans l’affaire Traoré, l’émotion l’emporte selon lui sur la loi !
LA QUESTION. La crise sanitaire s'arrête-t-elle quand les nécessités politiques reprennent ? Invité ce mardi matin sur RMC, Christophe Castaner a indiqué qu'il n'y aurait «pas de sanction et de procès-verbal» dans le cadre des manifestations à la mémoire de George Floyd et en lien avec l'affaire Traoré en France, malgré l'interdiction légale des «rassemblements de plus de dix personnes» dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Avec une justification étrange : «Je crois que l'émotion mondiale, qui est une émotion saine sur ce sujet, dépasse au fond les règles juridiques qui s'appliquent». Pour montrer son soutien des objectifs affichés par les manifestants de lutter contre le racisme, Christophe Castaner a même ajouté qu'il serait «parfaitement à l'aise» avec l'idée de poser un genou à terre, pour reproduire le geste d'excuse des militants américains.
Après les révélations de StreetPress, Christophe Castaner saisit la justice
Le ministre de l’Intérieur saisit la justice après les révélations de StreetPress. Ce jeudi, nous publiions une enquête révélant que des milliers de fonctionnaires de police partageaient des messages et des montages racistes dans un groupe Facebook.
Ce jeudi 4 juin, en début de soirée, StreetPress publiait une enquête révélant que des milliers de fonctionnaires de police partageaient des messages et des montages racistes et sexistes au sein d’un groupe Facebook privé. Selon l’hebdomadaire Le Point, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a signalé au Procureur de la république les propos racistes des fonctionnaires. « S’ils sont avérés, ces propos inacceptables sont de nature à porter gravement atteinte à l’honneur de la police et de la gendarmerie nationales, dont les hommes et les femmes sont engagés au quotidien pour protéger les Français, y compris contre le racisme et les discriminations », commente auprès de l’AFP une source dans « l’entourage du ministre de l’Intérieur ».Vendredi soir, une enquête a bien été ouverte et a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), selon l’AFP. Les chefs d’ouverture sont l’injure publique à caractère raciste et la provocation publique à la haine raciale. En parallèle, l’association La maison des potes a annoncé qu’elle allait déposer plainte contre X pour ces messages à caractère racistes.Sur le réseau social, un groupe Facebook privé, baptisé « TN Rabiot Police Officiel », réunit plus de 8.000 personnes : des policiers principalement (ou se présentant comme tel), et quelques gendarmes et membres de familles de fonctionnaires. À l’abri des regards indiscrets, les fonctionnaires se lâchent : dans des posts ou en commentaires, on peut lire des centaines de message racistes, sexistes ou homophobes et des appels au meurtre.source: https://www.streetpress.com/sujet/1591364554-racisme-police-apres-revelation-reaction-christophe-castaner******
On a infiltré un groupe Facebook où des milliers de policiers s'échangent des messages racistes
Le ministre de l’Intérieur de Macron est décidément un homme qui ne craint pas les paradoxes.
Après avoir lâché ses féroces forces de l’ordre contre les Gilets jaunes qui ne demandent qu’à survivre dans leur pays livré à l’immigration et à la récession, tout en vilipendant les policiers qui ont usé de violences, le voici maintenant qui propose d’associer certains citoyens à un livre blanc de la sécurité intérieure, tout en ne facilitant pas la légitime défense ! Ce faisant, il fait fi des propos de l’ancien directeur général de la sécurité extérieure qui prédit une nouvelle explosion des banlieues, et que faute d’intervention de l’armée, il faudra se résoudre à abandonner des territoires et leur habitants à la loi de la pègre et de la charia*.
Pour parachever le tout, un rapport de la DGSI ** tenu secret, si secret que la presse en a connaissance, fait état de 150 quartiers tenus par des islamistes. On ne sait d’ailleurs si ces quartiers s’additionnent aux 751 zones de non-droit. On ne sait pas non plus si les habitants de ces 150 quartiers paient des loyers, combien la Caf leur verse de prestations, si l’Insee les a recensés, et rien ne filtre sur le nombre de millions d’euros déversés dans ces quartiers par la généreuse politique de la ville.
Incapable de lancer une véritable rattenkrieg dans ces zones, le ministre Castaner préfère tout savoir du fusil de grand-père chez de paisibles citoyens, des fois qu’il serve à les protéger, ce que ne font plus la République et l’État-Macron, tout au contraire en condamnant les victimes qui ont osé se défendre.
Présentation du Système d’information sur les armes
+ d’infos sur https://www.demarches.interieur.gouv.fr/particuliers/armes
Armes détenues légalement par les Français : encore plus de flicage de l’État, par le président du Parti de la France, Thomas Joly
« Le ministère de l’Intérieur, affolé à l’idée que les Français puissent se défendre en cas de conflit sur le territoire français, remet complètement à plat son fichier des armes civiles, et serre violemment la vis.
Désormais, chaque arme sera immatriculée à vie dans le fichier du Système d’information sur les armes.
Les autorités espèrent que cette refonte permettra de recenser des armes qui, jusqu’ici, étaient passées entre les mailles du filet. Ainsi, bon nombre de fusils de chasse ne sont pas pris en compte. Avant 2011, ils pouvaient être achetés librement, leur détention n’étant pas soumise à déclaration. Il faut ajouter le matériel de la Seconde Guerre mondiale allant du Colt 45 au pistolet-mitrailleur Sten, conservés comme souvenir familial ou historique.
La nouvelle fumisterie de LaREM est arrivée : un livre blanc de la sécurité intérieure pour réfléchir à la sécurité de demain. Pas pour prendre les mesures urgentes d’aujourd’hui !
Le ministère de l’Intérieur organise une conférence de certains citoyens pour recueillir leurs idées et leurs propositions. Comme pour les 150 guignols écolos, des citoyens ont déjà été triés pour, in fine, dire ce que Macron a d’ores et déjà décidé pour ne surtout pas lancer l’assaut contre les zones de droit islamisé en France.
Pour le bla-bla-bla ministériel, c’est là-dessous
« La France connaît de profondes mutations qui se reflètent dans la société et dans les nouvelles formes de délinquance et de criminalité. Il faut donc réfléchir à la sécurité de demain.
Le Livre blanc doit dresser un état des lieux de la menace et de ses évolutions puis définir une stratégie pour répondre aux défis à venir, avec le souci d’améliorer la relation entre les forces de sécurité intérieure et la population.
Engagés en octobre 2019, les travaux préparatoires ont réuni l’ensemble des acteurs de la sécurité, qui ont posé les fondements du Livre blanc. Celui-ci a vocation à se traduire par des textes réglementaires et législatifs ou des instructions de politique publique. »
Une démarche de démocratie participative pour les pigeons et les dindons de la farce. Notez les termes délicieux d’ « usagers de la sécurité » et de « diversité de la population ».
« Le ministère a voulu associer à la concertation les citoyens, « usagers » de la sécurité. Dans chaque département, les préfets organiseront des assises territoriales auxquelles les habitants pourront participer.
De plus, 100 citoyens issus de toute la France et représentant la diversité de la population ont été sélectionnés par un institut de sondage pour former une conférence de citoyens. Les 11, 12 et 25 janvier 2020, au ministère de l’Intérieur, ils prennent part à des formations et avec des experts. Puis ils se penchent, au sein d’ateliers, sur le thème des relations entre la population et les forces de sécurité, sous quatre angles :
quelles sont les attentes des citoyens à l’égard des forces de sécurité, et comment mieux y répondre (par l’information, la formation) ?
Quelle place pour le numérique dans les relations entre les citoyens et les forces de sécurité ?
Comment les citoyens et les forces de sécurité peuvent-ils lutter contre les incivilités ?
Comment les citoyens peuvent-ils, avec les forces de sécurité, devenir acteurs de leur sécurité ?
* Pierre Brochand, ambassadeur de France, ancien directeur général de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) de 2002 à 2008, intervenait il y a quelques mois lors du séminaire « Immigration et intégration » de la fondation ResPublica. Extraits choisis de son intervention, disponible dans son intégralité (60 pages) : Fondation-res-publica.org
« Ce n’est pas livrer un secret d’État que d’imaginer que, si une situation d’anarchie ouverte s’étendait et se prolongeait au-delà de ce que furent son extension et sa durée en 2005, il n’y aurait plus d’autres recours pour la contenir que l’appel aux forces armées, sous des formes d’ailleurs peu évidentes à définir, sauf à abandonner des pans entiers du territoire, ainsi que leurs habitants, à une résurgence de l’état de nature au sens hobbesien du terme. » source http://www.fdesouche.com/1323477-lancien-directeur-de-la-dgse-dresse-un-bilan-desastreux-de-limmigration-en-france
751 zones de non-droit, 150 quartiers tenus par les islamistes : guerre inévitable !
** « La DGSI vient de cartographier les quelque 150 quartiers « tenus » selon elle par les islamistes : un document classé secret-défense, qui n’a pas été divulgué, à l’exception de l’Intérieur, même aux ministres intéressés.Lesquels se voient présenter le document oralement par un fonctionnaire assermenté, tant le sujet est sensible…
Outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, depuis longtemps touchées par le phénomène, y figurent plusieurs cités du Nord : entre autres Maubeuge, où l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a atteint 40 % dans un bureau de vote et où « la situation est alarmante » ; l’agglomération de Denin ; ou encore Roubaix, où, « bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes », selon un préfet. Mais aussi des zones plus inattendues, comme en Haute-Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou Bourgoin-Jallieu. Encore plus surprenante, « l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables », poursuit ce préfet, comme Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir. » source https://www.lejdd.fr/Societe/islamisme-emmanuel-macron-cherche-un-plan-3943893.amp?__twitter_impression=true
Mes propositions à effets immédiats pour le livre blanc de la sécurité
Pierre Cassen évoque l’acharnement dont il a été victime, de la part du préfet des Yvelines, Serge Morvan. Tireur sportif, en possession, tout à fait légalement, d’armes, il s’est d’abord vu interdire l’autorisation de posséder des armes de poing, pour aller au stand de tir.
C’est une histoire scandaleuse, qui le touche en premier lieu, que Pierre Cassen a décidé de rendre publique. Tireur sportif, ayant acquis ses armes en toute légalité, n’ayant jamais été condamné pour la moindre violence, il se voit sommé par une préfecture de province, suite à une requête de la préfecture des Yvelines, de rendre ses armes, sous peine de perquisition policière.
La députée du Pas-de-Calais a fustigé le secrétaire d’Etat qui ne s’est pas encore expliqué devant les députés sur “le scandale d’Etat monstrueux” qu’est l’affaire Benalla.
Le ton est monté dans les couloirs du Palais Bourbon entre Marine Le Pen et Christophe Castaner ce samedi 21 juillet. Sortant de l'hémicycle après la suspension anticipée des débats pour la pause du dîner, la présidente du Rassemblement national (ex-FN) s’en est pris au secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement en train de parler avec des journalistes dans la salle des Quatre Colonnes, alors que selon elle, « tout le monde (le) réclame » dans l’hémicycle pour qu’il s’explique sur l’affaire Benalla.
Marine Le Pen s'exprime également à l'assemblée nationale sur cette affaire face aux politiciens de La République en marche:
« Vous allez partir vous planquer en rasant les murs »
« C'est hallucinant (...) Vous êtes en train de faire une conférence de presse, de diffuser vos éléments de langage », lui a lancé la députée du Pas-de-Calais. « Je ne suis pas obligé de me caler sur ces moments rares où vous êtes dans l'hémicycle », lui a rétorqué le délégué général de LREM, sans répondre à sa question sur son absence devant les députés. « Vos amis de LREM refusent de vous convoquer, pourquoi? », a demandé Marine Le Pen, entourée par des caméras, dont celle de BFMTV. « Si je suis convoqué par la commission d'enquête, je viendrai. Et j'apprécierais que vous en fassiez autant si un juge vous convoque », a assuré le secrétaire d’Etat. Ce à quoi Marine Le Pen a répondu : « Comme d'habitude, vous allez partir vous planquer en rasant les murs ».
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